TEMOINS TEMOIGNAGES

Vendredi 6 juin 5 06 /06 /Juin 15:05

 

Je ne sais ce qui m'a pris, mais je l'ai suivi, je voulais lui parler, savoir, mais je ne voulais pas lui faire peur. Je l'ai suivi de loin, il a contourné plusieurs pâtés de maison, repassant deux fois aux mêmes endroits. C'était sûr il m'avait vu le suivre.
Dans une rue déserte, il se retourna et me fit face...

De longs et puissants jets de sperme s'abattirent dans mon fondement. Il hurlait de plaisir. Je n'aurais pas imaginé qu'il devienne aussi bruyant et grossier. Il a pris son pied. Il resta en moi, puis se retira alors qu'il bandait encore, se présenta devant moi et m'enfonça sa bite dans la bouche.

Les semaines passèrent et plus rien, ni travail, ni rencontre, mes masturbations reprirent. Alors que je ne m'y attendais pas du tout, je suis tombé nez à nez avec Jean-Philippe en pleine rue.
− Bonjour Marc.
− Bonjour Jean-Philippe.
− Tu te promènes ?
− Oui et non, je cherche du boulot.
− Ce n'est que ça, il faut patienter.

Qu'attendais t'il par « que ça ». Je ne savais que pensais. Déjà, il me parlait, c'était pour le moins bizarre.

− J'aimerai te parler, mais pas dans la rue !
− Ou ?
− Tu peux venir ce soir chez moi ?
− Chez toi !
− Oui chez moi, je serai, normalement seul entre 20 et 21 h, si c'est le cas j'attendrais à l'entrée, surtout ne sonne pas. Si tu ne me vois pas à 20h05, c'est qu'il y a du monde, on verra alors plus tard.
− D'accord, pour moi c'est possible.

Je n'en revenais pas, il m'a parlé et de plus il veut que j'aille chez lui, alors que pendant 19 ans je n'y suis jamais allé. Cette affaire me sembla louche. A coup sur l'histoire du parc l'obligeait à me voir. Je devais être prudent, il me plaisait, mais ça ne fait pas tout. De plus c'était notre voisin, et je ne tenais pas à avoir de problème. Pour l'instant, en dehors de mon frère, les parents ne savaient pas que j'étais Gay. Une première approche récemment, me fit conseiller la prudence. Je pensai bien leur dire, mais je voulais avoir mon indépendance financière, donc avoir un appart, ce qui dans l'immédiat n'était envisageable qu'au prix de multiples privations.

Le soir venu, je suis allé à 20h devant son entrée, il m'attendait en jogging.
− Entre, je suis seul pendant une heure. Allons dans ma chambre.
Je l'ai suivi, contrairement a ce que je pensais, nous n'avons pas pénétré dans la maison par l'entrée principale, nous avons fait le tour de la bâtisse, il y avait un escalier en colimaçon, il ouvrit la porte donnant accès à une petite pièce.
− Enlève tes chaussures s'il te plait.
Il fit de même et ouvrit la porte donnant sur sa chambre. Elle n'avait rien a voir avec la mienne, deux fois plus grande, un grand lit en bois ancien, des meubles de style de la moquette et des tapis partout. Il me fit assoir sur un fauteuil, m'offrit une boisson et prit place en face de moi.
− Tu te doutes pourquoi je t'ai demandé de venir ?
Je fis l'innocent.
− Non.
− L'autre soir, tu m'as vu sortir du parc de … ?
− Oui.
− Tu sais ce qui s'y passe ?
− J'ai entendu des choses, mais je ne sais si c'est vrai.
− C'est un lieu de rendez-vous.
− Il y a des filles ?
− Peut être mais surtout des garçons.
− Tu es allé voir un garçon ?
− Oui, j'ai eu une relation avec lui, une seule fois.
− Pourquoi m'en parles-tu ?
− Je voudrais m'assurer que tu n'en parles à personne.
− Je ne vois pas pourquoi, j'en parlerai, c'est ta vie.
− Depuis que je sais que tu m'as vu, je ne sais plus quoi faire. Le soir ou tu m'as vu c'était une prise de contact avec un jeune. On s'est donné rendez vous pour quelques jours plus tard. J'avais envie, il a été honnête, mais j'avais honte de moi.
− Parce que, tu as eu une relation avec le jeune, ou parce que tu aimes les garçons ?
− Je suis attiré par les garçons, mais dans mon milieu, ce n'est pas très bien admis. Quand au jeune je l'ai sodomisé, mais je n'ai pas eu de plaisir particulier. Je lui ai permis de se masturber, peut être qu'il aimait, je l'ai bien payé. Tu sais tout.
− Je te remercie de ta franchise, aussi je me dois d'être franc avec toi, je savais toute l'histoire. Nous n'avons jamais eu de relation de voisinage, même, tu t'es toujours montré hautin, même dédaigneux envers moi. Il y a longtemps que j'en avais pris mon partie. Quand je t'ai vu sortir du parc, j'ai voulu savoir. J'y suis allé plusieurs soir à attendre, quand je t'ai vu je t'ai suivi, j'ai vu ce que tu as fait. Mais ça ne change rien au fait que c'est ta vie. Je peux t'assurer de ma discrétion.
− Tu as tout vu ?
− Oui, je t'ai vu et entendu. Ça c'est passé comme tu as dit. Comme tu as été franc sans chercher à biaiser, je suis honnête avec toi.
− Pourquoi m'as tu surveillé ?
− Simple curiosité, pas dans un esprit de méchanceté, ce n'est pas mon genre. Après t'avoir vu, je me suis dit que même les riches ont des soucis.
− Tu pourrais essayé de me faire chanter, me dénoncer aux parents !
− Tu ne me connais pas, ça se voit, l'argent, j'en ai peu, mais je le gagne honnêtement. De plus, il faudrait prouver que ça a eu lieu, encore que ça je pourrais. Mais je te le redis ce n'est pas mon genre. Tu aimes les garçons ?
− Oui, que les garçons hélas, mais je n'ai eu qu'une relation et tu la connais. Je peux te faire confiance ?
− Oui, je vais te montrer quelque chose et tu comprendras mieux pourquoi tu peux avoir confiance. Comme moi j'attends, ta confiance après ce que tu vas voir.

Je me suis levé, j'ai baissé mon short et mon slip. J'étais debout devant lui le sexe à l'air, mais surtout rasé intégralement.

Il écarquilla les yeux. Je me suis rhabillé.
− Tu te prostitue ?
− Non pas du tout, mais je suis homo et j'assume, mes relations sexuels ne sont que consenties et non lieu qu'avec des personnes avec qui au moins il y a un certain feeling, voir amitié. D'autres critères entre en ligne de compte.
− Pourquoi tu me le dis ?
− Tu es honnête, donc je peux te faire confiance, et ceux-ci peux te rassurer, je suis comme toi. Ne crois pas que ce me sois facile, mes rencontres sont, hélas, rare. Je ne conçois que des relations acceptées par les deux parties. La pratique dépends des désirs de l'un et de l'autre. Il est hors de questions que je paye pour une relation, ce n'est pas une question d'argent, mais uniquement, je pense qu'on ne peux pas avoir de plaisir, autant se masturber, ça fait autant d'effet. D'ailleurs tu en as fait l'amère expérience et pourtant le gamin était mignon.
− C'est vrai, ça a été un fiasco, bien sur j'ai joui, mais en me masturbant aussi. Tu aurais pu le dire sans te montrer a demi nu !
− M'aurais tu cru ?
− En effet, j'aurais été inquiet. Bien évidemment, tu peux être sur de ma discrétion! Je peux te poser une question ?
− Bien sur!
− Pourquoi tu te rases le sexe si tu ne te prostitue pas ?
− Je me rase le sexe et le cul pour deux raisons. Premièrement quand ton partenaire te fait une fellation, qu'il passe sans langue sur ton anus et qu'il te sodomise, il n'y a aucun désagrément avec les poils qui rentrent dans la bouche. Et deuxièmement, les zones rasées s'avèrent être très érogènes, multipliant de fait les plaisirs.
− J'aimerai te poser d'autres questions, accepterais tu de venir m'en parler une autre fois ?
− Si tu veux, ici ?
− Oui, je te tiens au courant, merci pour ta franchise.

Trois quarts d'heures plus tard, je repartais, il m'accompagna jusqu'au portail et me serra la main. Quels progrès en si peu de temps. Son comportement avait changé à mon égard, mais est ce que ça perdurerai ? Qu'es ce que je voulais, il me plaisait, quels étaient ces gouts. Avait-il envie de moi, quoique là, j'en étais plus certain. D'abord parce qu'il n'avait personne et lorsque je me suis nu, il a bandé aussitôt. Et plus simplement comment nous rencontrer sans éveiller les soupçons ?

Il revint tout nu avec un tube à la main.
− Tu veux bien me rendre service, habituellement je le fais tout seul, mais, comme tu es gay, tu connais, j'aimerai que tu me mettes de cette pommade sur ma rondelle et à l'intérieur de mon anus. C'est un antidouleur et un antiseptique. Ça ne te gène pas ?
− Pas du tout, je me lave les mains avant, questions d'hygiène, tu te mets ou ?
− Sur mon lit.
Je suis allé me laver les mains et je l'ai enduit de pommade, son anus était distendu, mais sembla apprécier ce doigt nouveau. Surtout le produit le soulagea.
− Tu fais pareil sur mon gland S'il te plait !
Je l'ai décalotté, lui ai enduit le gland, et refermé le prépuce. Puis je suis allé me laver les mains..
− J'aurais pu le faire tout seul, mais c'était pour me rassurer et être bien sur que ce n'était pas une relation sexuelle que tu voulais, voir profiter de moi, alors que je suis tout seul. Je pense que tu comprends mes craintes.
− Je comprends ta prudence, mais je t'affirme, que je ne veux que des réponses à des questions que je me pose. Physiquement tu es un beau garçon, même un très beau garçon, mais je ne cherche pas du sexe, mais des explications c'est tout. Et je te le redis, si ça te pose problème, je pars dès que tu me le demandes.
− Et si je te demande de te mettre tout nu ?
− Je peux bien sur, ça ne gène nullement, c'est même logique que tu me vois nu, vu que je te vois. Mais que si je peux prendre une douche, parce que je ne me suis pas lavé de la journée. Et je n'aime pas être sale.
− Pas de souci, tu sais ou est la salle de bain, je te donne le nécessaire.
Je suis revenu lavé et nu.
− Je te propose de manger avec moi, t'as pas mangé ?
− Non.
− On couche ensemble, en tout bien tout honneur, et tu me poses tes questions, ça te va comme plan ?
− Ça me va, je n'ai pas d'obligation.
Nous avons bu l'appétitif, puis nous avons diné ensemble en tête à tête. Une fois tout nettoyé, on s'est couché.
− Tu es le premier mec a couché ici. Je n'ai jamais couché avec un garçon. ça peut te paraître bizarre, mais c'est la vérité. Je t'écoute ?
− Tu te prostitue depuis longtemps ?
− Un an.
− Tu le fais pour l'argent ?
− Oui et, un peu pour le sexe. Il y a des situations ou je prends mon pied, mais je t'accorde que c'est rare. Hélas le fric en est la première raison. Mon père m'a foutu dehors l'an dernier a 17 ans, parce que je suis un sale PD. Je me suis retrouvé seul, je connaissais le parc et ce qui s'y faisait. Au début ça a été très dur, mais il me fallait vivre. Ici j'ai un toit, un petit loyer, la tranquillité. Donc ça va, je sais il y a des risques de maladie (A l'époque le sida n'excitait pas).
− Tout ces mecs ne sont pas propres, pas toujours jeunes, certains ne te payent pas !
− Il n'y en a qu'un qui me paye pas, le grand-père, il vient toute les semaines, mais sa retraite est petite, il me donne du fric trois fois sur quatre et comme il me fait toujours la même chose, je peux lui faire ce plaisir. Je suis un bon samaritain – Il rigola. Des sales, il y en a, tu as vu ce soir quand je me suis rincé la bouche, le mec il avait une queue dégueulasse, mais quand tu donnes ton accord pour une prestation, tu as intérêts à la faire, surtout si le mec est baraqué. Tu risques de prendre une sacré rouste et tu seras obligeais de lui faire quand même, voir plus et il ne te paieras pas. Dans ce cas tu essais de faire le vide dans ta tête et de faire au plus vite. La prochaine fois qu'il viendra je lui dirai non, que j'ai un autre rencard ou je lui laverai la bite avant.
− Et l'âge de tes clients ?
− Curieusement il y a des jeunes, ce sont souvent des mecs qui ont des copains qui les enculent, mais qui refusent l'inverse, alors ils viennent pour se satisfaire dans mon cul. En général il le font bien, j'arrive à prendre mon pied dans ces cas là. Il y a beaucoup d'hommes mariés et des pervers. Ils ont des idées à la con, et je ne veux pas, j'ai eu la chance que ça ne m'arrive qu'une fois, mais un mec m' a défendu.
− Tu pourrais rester plus longtemps et te faire plus de fric ?
− Non trop risqué, il y a les bastonnades anti PD. Quand ça arrive c'est toujours vers 2 – 3 heures du matin, en semaine c'est rare, le risque est plus grand la nuit du vendredi au samedi et du samedi au dimanche au sortir des boites. Ils viennent a plusieurs, te foutre une raclée et il te piquer ton fric.
− Ça t'es arrivé ?
− Une fois, ils sont venus, j'étais le premier qu'ils ont rencontrés et donc j'allais recevoir les coups, quand un mec leur a dit de laissez tomber parce que j'étais trop jeune, il y en a des plus vicelards plus loin. J'ai reconnu, dans mon « défenseur », un client, comme quoi. Mon voisin a reçu une sacré raclée, il lui ont piqué son fric. J'ai eu de la chance. Je me suis tiré aussitôt. Il ne faut pas compter sur les autres pour te défendre.
− Ce soir j'ai vu une femme !
− Oui elle vient apprendre a faire une fellation, son mec adore, mais elle n'y arrive pas et à mon avis elle n'y arrivera jamais, pour une seule raison, ça la dégoute et ça c'est quasi insurmontable. Mais elle vient, la première, elle paye, je bande je joui, pas de soucie pou moi.
− La première fois que je t'ai maté, en fait je suivait ton client, car je le connais et je voudrais en savoir plus.
− Comment veux tu que je m'en rappelle, il a fait quelque-chose de particuliers ?
− Oui. Il t'a fait baiser ton short, il t'a demandé si tu t'étais lavé le cul. Tu lui a pris la bite dans ta « gueule », c'est le terme qu'il a utilisé. Tu la sucé, puis tu t'es tourné, écarté tes fesses. Sans ménagements, il t'a enculé et joui dans ton cul. Quand il s'est retiré, il a mis des doigts dans ton cul et tu as du te masturber. Ensuite, tu lui as nettoyé, la bite et les doigts. Pour te payer, il t'a balancé des billets en disant que c'était la dernière fois. Tu t'en souviens ?
− Oui, il était bizarre comme mec. Notre âge, je l'ai vu une fois avant.
− Qu'avez vous fait ?
− Aussi bizarre que ça paresse, rien. Il m'a seulement demander de baisser mon short, il a tâté mes couilles, je me suis retourné, il a mis un doigt dans mon cul et c'est tout. Il m'a seulement dit qu'il reviendrait le jour ou tu l'as vu et que je devais avoir le cul propre (Sans sperme), qu'il m'enculerait et voulait connaître le prix. Rien que pour ça il m'a donné des billets et c'est tout. Quand tu l'as vu, tu sais ce qu'il a fait. C'est vrai que ça le dégoutait, mais il avait trop envie. Il m'a balançait les billets, mais il a été très généreux. C'est souvent le cas des gens qui ont très envie et qui trouvent, après coup, que c'est dégoutant, ils reviennent rarement, mais ils payent plus, beaucoup plus.
− Tu crois que tu le reverras ?
− Non, ce mec, il veut un mec régulier, c'est évident, mais il ne dois pas pouvoir recevoir, ou il n'a pas les moyens d'entretenir un minet à demeure, ce que j'aimerai qui m'arrive un jour.
− Tu aimerai être entretenu ?
− Bien sur, je préfèrerai me taper un seul mec et vivre bien, que de devoir me taper 5 a 6 mecs par soir avec les risques en plus. J'ai soif, pas toi ?
On a bu un verre.
− On dors ?
− OK bonne nuit.

Je couchais avec un mec, un beau mec et j'en n'avais pas envie. J'ai passé une partie de la nuit à réfléchir. Il s'est endormi, c'est lové dans le creux de mon ventre, tel un enfant rassuré.

On s'est réveillé vers 10h du matin. Je bandais comme un âne.
− T'es en forme quand tu te réveille toi !
− Peut être un rêve érotique.
− J'en faisais parti ?
− Les rêves tu sais ….
− Tu aimerais me la donner dans la bouche, pas comme client, comme un ami ?
A cette idée, il se mit a bander lui aussi.
− En ami tu prends la mienne, et toujours en ami je prends la tienne qui prends du volume.

Nous nous sommes mis tête bêche et nous nous sommes donnés du plaisir, dans une fellation d'amour. Il avait un beau sexe, il se l'était lavé dans la matinée, car j'en senti tout de suite la fraicheur. Il était à l'origine de mon érection, c'est certain. C'est avec un immense plaisir qu'il a prit ma verge et que je pris la sienne, nos fellations durèrent longtemps. Nous nous sommes vidé l'un dans l'autre avec délectation. Puis nous nous sommes embrassés longuement. Un baisé d'amis, d'amoureux.
− Merci.
− Merci à toi, ta semence je la garde, celle-ci c'est le fruit du plaisir.

Nous sommes restés ensemble jusqu'en début d'après midi, puis je suis parti. Il me fit savoir, deux mois plus tard, qu'il avait un ami qui pourvoyait à tous ces besoins. J'étais heureux pour lui.

J'en savais plus sur Jean-Philippe, et d'un certain coté, j'étais content que la rencontre à laquelle j'avais assisté, n'était qu'une passade. Mais si passade il y a, peut être avais-je un espoir. Depuis que je l'avais vu sortant du parc, je ne l'avais plu revu et j'attendais avec curiosité, notre prochaine rencontre. Serait-il plus causant, ou toujours aussi hautin.

Mais une autre crainte me vint à l'esprit et s'il avait tout bonnement changé d'endroit, dans cette grande ville il y avait plusieurs endroits, plus ou moins discrets et j'avais appris par le môme que l'endroit le plus prisé actuellement était un autre parc en sortie de ville....

 

 

 

 

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Mardi 29 avril 2 29 /04 /Avr 00:16

 

  they-all-do-it-like-that: Follow me: http://they-all-do-it-like-that.tumblr.com/  

PAS SI SI SÛR que tu jouisses du cul comme ça !...Ecoute ça : " il commença à bouger sa bite entre mes fesses. Très vite, ce fut bon, très bon. Il accélérait et j'encaissais sa queue bien dure, et je bandais. C'était l'extase. Puis il sortit sa queue et gicla sur mon dos. Avec un soupir de contentement, il grogna :

 Tu n'as pas joui cette fois-ci, mais tu vas apprendre à jouir du trou.

Puis il me remit deux doigts dans le cul et me dit de me branler. En quelques secondes, je me transformais en fontaine de sperme..." Ce n'est pas ça jouir de l' anus ! n'est-ce pas ? 



C'EST JOUIR SANS MEME SE TOUCHER : quand ça vient du trou tu le sens et tu es subjugué. Pour ça,  le baiseur, (l'enculeur, l'actif) doit lui-même apprendre". Ce savoir-faire est d'abord accessible par les hommes qui soit sont longs à venir, soit ont appris à se contrôler. A partir de là, un gars qui n'est pas pressé, qui sait mettre du velours dans sa pénétration, qui t'a à l'usure, va réussir à te mener au ciel pour un orgasme long profond, un orgasme du coeur où les respirations, les "ventousages" des bouches deviennent fusionnels. Et c'est important ! 

J'ai vu des vidéos d'accouplements gays et même hétéros où le passif part vraiment dans un voyage de plaisir prolongé

— Tu es un magicien. Moi, à un moment de ma jeunesse, je me mettais au lit  en journée, je fermais les yeux et je me masturbais. Arrivé au plateau, j'essayais de ne pas redescendre et de rester au bord de l'orgasme éjaculatoire jusqu'à atteindre le point de non-retour où c'était quand même la fin et je restais longtemps à rêver . Actuellement il y a un de mes godes, pas le plus gros du tout, pas le plus long, pas le plus rigide, qui me conduit à un état très proche de ce que tu décris. Mais il me faut entrer dans un état second, évoquer des bonheur sexuels et psychiques passés pour atteindre une extase satisfaisante. Egoïstement je me verrais bien passer ma vie avec toi...mais je dirais...tu te dois au monde

—  « En tantra, l’orgasme ordinaire est un sommet. L’homme monte assez vite et redescend assez vite. Et puis, il y a l’orgasme de la vallée qui n’est pas éjaculatoire. Il peut durer plusieurs heures. Mais jouir du cul tu l'as vu, c'est tout simple. Je m'installe en toi en te caressant de l'extérieur et de l'intérieur. Mon gland est placé sur la petite bosse de ta prostate dans ton intérieur et je vais et je viens insensiblement. A un moment, à ta façon de me répondre vaguement quand  je te parle, à la régularité de ta respiration, je sens que tu montes vers l'orgasme. L'idéal est que cette montée dure le plus longtemps possible.Je crois qu'il ne serait pas nécessaire que tu éjacules, mais inexorablement ça va arriver. Nous sommes, hélas, faits ainsi et, sauf à reprendre à zéro, ça met fin à ton rêve. Je ne suis pas du genre (comme j'en connais) qui expédient le plus vite possible leur partenaire vers l'éjaculation pour s'en débarrasser. Les clients ne pensent pas que je pourrais les ramener à l'extase et ne me demandent pas de recommencer. Tant mieux quand même, ils me rappellent. Je gagne ma vie en rencontrant un maximum d'amateurs. Je reconnais que c'est loin de me déplaire. Leur plaisir est le mien.  »  

 

 

 

" Toi t'as la queue qu'il faut, pile assez longue pour bien masser la glande, des fois,quand c'est trop long, trop-gros-qui-fait-mal... ça peut rater... Puis aussi, j'aime l'idée de me faire baiser par toi.  Merci!

— Merci à toi, tu paies après tout, mon chou ! 

—Tu as des trésors de tendresse sous ta carapace de macho bien viril. Ne nie pas  : tu aimes faire du bien. "

 



 Juste ce qu'il faut...



 
Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 02:07

‘En tant qu’hommes, on peut avoir un plaisir fou par son cul en faisant appel à certaines glandes. C’est comme si on jouissait de la bite mais multiplié par mille.’

 

 

 

Cette chambre d’hôtes gays accueille des amateurs de fist, qui consiste à pénétrer l’anus avec la main. Rencontre.

(Du Cher) Ce n’est pas une maison bleue accrochée à une colline. C’est une maison d’hôtes pour passionnés du « fist », cette pratique qui consiste à introduire une main, voire un bras dans un vagin ou un anus. C’est aussi un mythe, une maison qui étonne ou fait rire par son concept. Nous avons voulu rencontrer François, Juan Carlos et Nelly, les penseurs de ce lieu original.

Au téléphone, François prévient tout de suite :

« Bon, il y a déjà des journalistes qui sont venus, mais c’était des hommes. Vous, vous êtes des femmes... Ça va donc être compliqué d’assister à une soirée, nous n’avons pas envie de mettre nos clients mal à l’aise. »

Avec Audrey, photographe de Rue89, nous nous sommes donc rendus dans cette maison d’hôtes gays du Cher en pleine journée. Il faisait très beau. Les champs de colza coloraient d’un jaune magnifique le pays. Et puis il y avait des vaches et des moutons.

On arrive à Assigny, village de 174 habitants, où est située la Fistinière. Ici, pas de problème. La maison d’hôtes est très bien acceptée. François nous accueille. Il est imposant, souriant, porte un pantalon en cuir noir et vous regarde de ses yeux bleus aussi limpides que ceux d’un chat. Il explique :

« Le site internet est connu par beaucoup de gens aux alentours, il y a pleins de gens que ça amuse, mais tout le monde se rend compte qu’on est pas des vieux monstres pervers, qu’on est des gens comme tout le monde. »

La maison, qui date du XVIIe siècle, est tout à fait charmante.

 


Juan Carlos et François dans le jardin de la Fistinière (Audrey Cerdan/Rue89).

 

Thé et petites meringues à la noix de coco

« Je vous présente Juan Carlos, mon mari », nous dit François avant de nous inviter à nous installer dans le grand salon de la maison. Nelly, sa sœur, s’installe également à leurs côtés. Ils ont ouvert la Fistinière en 2007, et la tiennent depuis tous les trois. On boit du thé, avec quelques meringues à la noix de coco. Commence alors le récit de leur aventure.

Leurs parcours sont improbables. De ceux qui troubleraient une conseillère en orientation. Avant de créer la Fistinière, François tenait une boutique de robes de mariées, Juan Carlos faisait des prothèses orthopédiques et Nelly avait une brasserie.

D’origine colombienne, Juan Carlos arrive à Paris en 1984. Il y découvre la pratique du fist :

« J’aime bien faire la comparaison avec l’éducation grecque où il y avait l’expérimenté, pour ne pas dire le vieux, qui apprenait au jeune. Dans le fist, c’est souvent ça. On apprend avec quelqu’un qui le pratique déjà. »

A la fin des années 90, il rencontre François. Les deux hommes tombent amoureux et très vite cette pratique occupe une place de choix dans leur vie sexuelle. Une vie sexuelle complètement affranchie de la gêne et des tabous qui y sont liés. François et Juan Carlos racontent tous les deux avoir un autre mari et ne jamais être jaloux.

A l’époque, ils rêvent d’un endroit convivial et hygiénique, dédié à leur activité manuelle favorite avec à disposition tout le matériel nécessaire. Des préservatifs aux gants en latex. Cette idée ne va bientôt plus les lâcher. (Voir et écouter le diaporama sonore en haut d’article)

 


François, Juan Carlos et Nelly à la Fistinière, en avril 2011 (Audrey Cerdan/Rue89).

 

En famille

Enthousiaste, Nelly rejoint vite son fère et Juan Carlos dans le projet. « Sa vie n’était alors pas très rose » raconte François. « Elle avait un mari avec qui ça n’allait pas très bien. » L’alliance familiale ne pose problème à aucun d’eux trois. Juan Carlos explique :

« Dans leur famille, la sexualité n’est pas du tout taboue, je pense que ça leur a permis d’être ouvert à beaucoup de choses. »

L’organisation du gite est bien rodée. Les garçons s’occupent de l’accueil des clients et de s’assurer que les soirées se passent bien. :

« Si quelqu’un a un peu trop bu, on le surveille car ça peut vite devenir dangereux. »

A Nelly revient la grande responsabilité de la faire la cuisine :

« Avant de faire un fist, on fait un lavement, donc il faut des aliments faciles à évacuer. Avec les tomates, il faut enlever la peau et les pépins. Il faut toujours des féculents. »

Nelly : « J’aime beaucoup fister des garçons »

Pendant les soirées du samedi soir, à l’origine, Nelly n’était pas censée pénétrer la « chapelle fistine », située à l’étage, dans le grenier de la maison. Mais un jour, un client le lui a demandé. Après s’être assurés que cela ne posait pas de problème aux autres clients, François et Juan Carlos ont accepté que Nelly vienne assister à leur « jeux » :

« J’aime beaucoup fister des garçons. La première fois que je suis montée, François et Juan Carlos étaient un peu gênés, moi pas du tout. »

Elle comprend les garçons

Juan Carlos réagit :

« Je l’ai toujours dit : Nelly c’est un pédé dans un corps de femme. Sexuellement, nos pratiques ne lui ont jamais posé de problèmes. Elle a cette mentalité très ouverte et accepte que la sexualité soit un jeu. »

François, pour sa part, explique que beaucoup de leurs clients sont bisexuels :

« Le fait de prendre du plaisir par le cul avec une femme, ça les excite. »

« Autour de cet anus, il y a un individu tout de même »

Le plaisir. Dans l’imaginaire collectif, mettre une main dans un anus, c’est plutôt une pratique violente. François et Juan Carlos pensent tout le contraire. Il faut être très doux, justement pour éviter un accident :

« Les intestins c’est très fragile. A l’entrée de l’anus, si on force, il peut y avoir une déchirure, donc une infection. Pour éviter ça, il faut dilater. »

Il raconte le rituel du fist :

« Il faut que les ongles soient bien coupés, limés, même si on porte des gants. Il faut utiliser un bon lubrifiant, attendre que les anneaux et le sphincter s’ouvrent successivement. Et puis autour de cet anus, il y a un individu tout de même, il faut être à l’écoute, savoir si ce qu’on lui fait lui plaît et surtout ne jamais forcer. »

François enchérit :

« On peut y aller doigt par doigt ou assurer la dilatation par massage. Il faut toucher, caresser, voir comment ça s’ouvre et ne jamais brusquer. »

Certains candidats au fist préfèrent une fois sur place ne s’en tenir qu’à un doigt, tandis que d’autres acceptent qu’on les pénètre jusqu’à l’épaule.

« Qu’il s’agisse d’une pénétration de la main ou d’un bras, pour se faire fister, il faut vraiment le désirer fort, sinon ce n’est tout simplement pas possible. “

François et Juan Carlos ne sont pas lassés de cette pratique. Ils parlent d’une jouissance folle. ‘C’est LA jouissance’ dit Juan Carlos en insistant sur le ‘LA’ :

‘En tant qu’hommes, on peut avoir un plaisir fou par son cul en faisant appel à certaines glandes. C’est comme si on jouissait de la bite mais multiplié par mille.’

 


Juan Carlos près d’une installation de fist-fucking (Audrey Cerdan/Rue89).

 

‘Il y a une grande recherche spirituelle dans cette sexualité’

Au-delà de ce plaisir charnel, ils parlent d’une philosophie de vie, d’un art de vivre :

‘Ce qui m’a plu dans cette pratique du fist, c’est le respect absolu qu’il y a entre les deux personnes. Le fait d’introduire la main dans les intestins de quelqu’un, c’est une pratique très intime. Plus intime ça n’existe pas. Tout est dans la confiance et le respect.’

Surprise. A la fin de l’entretien Juan Carlos confesse qu’avant de faire des prothèses orthopédiques et de tenir la Fistinière, il a failli devenir prêtre. Il a été séminariste et se dit encore croyant. :

‘Il y a une grande recherche spirituelle dans cette sexualité. Je trouve de toutes manières que la spiritualité est partout, dans tout ce qu’on fait, on a pas besoin d’être entre les quatre murs d’un séminaire ou d’un couvent pour la vivre. Le message christique c’est l’amour. Aujourd’hui, j’ai l’impression de vivre ma vocation ici.’

Même si Nelly, François et Juan Carlos racontent avoir accueilli des gens du monde entier, la Fistinière ne fait pour l’instant pas de bénéfices. En hiver, ils ont une vingtaine de clients par mois, en été le chiffre s’élève à une centaine de personnes. Les garçons disent tout juste réussir à payer les factures. Ils n’en ont pas l’air moins heureux. Epanouis.

 


Dessin de Baudry.

 

Photos et illustration : Juan Carlos et François dans le jardin de la Fistinière ; François, Juan Carlos et Nelly à la Fistinière, en avril 2011 ; Juan Carlos près d’une installation de fist-fucking

 

 

 

 

 

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Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 00:04

 mail en or !

jeanmarievaudon@tiscali.it

 20:14 (Il y a 3 heures)
   
A prostitutionmasculine.

cher Ami

L'autre jour j'étais à l'eros center je regardais un filmX dans la salle et deux mecs sont sortis d'une cabine. Un vieux, un jeune très beau. Visiblement ils étaient trop à l'étroit dans la cabine...et ils cherchaient sans doute un public. On les matait. Ils reprirent leur jeu sur les sièges. C'était du fist. Le vieux fistait le jeune, mal installé, qui était pâmé, renversé sur son siège. Le visage crispé, mais heureux, il était ailleurs, les yeux révulsés. Cela dura un moment. Le vieux enfin sortit son poing de l'anus du jeune, tourna un peu sur lui-même, murmura quelque chose comme "Putain il en veut lui..." et, tournant les talons il prit les escaliers et disparut.

Je m'approchai, le jeune était dans les vaps', bien réellement shooté par le fist. Il mit du temps à se lever. Je me mis en devoir de le soutenir, ne sachait nt où il voulait aller. Il me dit "laisse, ça va aller" . Je le suivis à la cabine lui portant son jeans et ses affaires. Il s'assit  la porte de la cabine ouverte et ses jambes dépassant dans le couloir. Il haletait encore légèrement.

Je lui dis : "Putain, toi ! tu m'as étonné.  T'es crevé on dirait, non ? " Il hocha la tête en réponse, continuant, très pâle, à récupérer. J'étais censé être là pour assister sa récup'. En réalité, je voulais savoir des choses sur le fist. Son fist. Son trip.

Il chercha ses cigarettes dans son jeans en boule sur le siège voisin. Il fumait de manière affamée et inspirée. Il était moitié là et moitié dans son trip qui semblait se prolonger. Ca se voyait dans son visage et dans ses yeux encore voilés de plaisir (???). -"c'était bon ?" Hochement éloquent de tête. Je le plaignais et l'admirais, complètement subjugué par la scène. J'avais vu des vidéos, mais c'est pas comme le vrai réel. Il me dit : - "tu comprendrais pas." -"Si ! Pourquoi non ? " Ca y était. Il réussit à me fixer dans les yeux. Il était sorti de son rêve. Il se rhabilla rapidement et prit les escaliers à son tour sans me dire ni au-revoir ni merci. Brusquement je ressentis que, si j'avais été un voyeur privilégié, allant regarder la main dans le cul en gros plan, aussi j'avais été indiscret. Mais bon, je regrettais pas. Je crois que jamais je ne franchirais le pas.

Ou alors il faudrait que ce soit moi aussi avec un initiateur qui sache me persuader, me donner envie.

Claudio, merci pour ton site, ce que j'y lis me plaît. C'est un peu pareil que ce jour-là : le suis voyeur, je vis très fort, émotivement, les récits et tout ce que tu publies sans toutefois arriver aussi loin.

Bonne suite, j'attends tes posts avec avidité. @+

_______________________________________________________________________

Oh, salut Jean-Marie !  Merci ! Ce que tu racontes, pris sur le vif, vaut tous les récits érotiques.

  Là j'avais dans mes archives la confession d'un jeune homme initié au fist en quelques jours avec

un guide plein d'expérience et de savoir-faire (encore un mec mûr).

 

"   — Tu as l’air en forme petit, je vois que tu bandes.

—  c’est le plug.

— Ah, montre ça.

Il se rapprocha du divan et prit la pompe sur laquelle il appuya un bon coup, sans que cela ne change rien. Il eut l’air surpris

— Tu as déjà gonflé au maximum ?

— Ouais, je pense (je me sentais rougir.)

— Tu penses ? J’en suis sûr. Tu es incroyablement doué, petit.

Il se retourna et déplia la bâche étrange qu’il tenait sous le bras. Puis il attacha une sorte de sangle à l’un des anneaux fichés dans une poutre que j’avais remarqués la veille, lorsque je calculais pour m'évader. Il attacha des sangles de la sorte à chacun des quatre anneaux. Je constatai que la matière que j’avais prise pour une toile était en réalité du cuir. Jean se retourna vers moi.

— Voilà, leçon du jour : le sling. Je vais t’y installer.

Il se saisit une nouvelle fois de moi et me déposa sur le dos dans le sling, attachant mes chevilles et me poussant à saisir les chaînes derrière moi, me forçant par là à lui présenter mon cul à hauteur de torse. Dans un grognement, il saisit la base du plug.

— Je vais le retirer

— Non, dégonfle-le, ça ne passera jamais !

— Si si, tu vas voir, détends-toi, je vais y aller doucement.

Et il tira doucement. Pendant quelques secondes, je crus que mon cul allait exploser, puis le plug glissa d’un coup, me laissant complètement vide. Jean émit un sifflement.

— Ton cul est super ouvert.

Il m’enfonça deux doigts qui rentrèrent sans difficulté. C’était à peine si je les sentais. Il en ajouta un troisième, puis un quatrième, et bientôt un cinquième. C’était super bon, mais je ne bandais plus. 

— Encore, encore, le suppliais-je.

— Plus que mes doigts ? alors, c’est ma main. Tu es sûr que tu veux ?

— Oh oui, c’est bon, trop bon. Prends-moi le cul avec ta main.

Il retira ses cinq doigts, puis saisit une bouteille d’un autre lubrifiant que celui qu’il avait utilisé sur le plug. Celui-ci semblait plus visqueux et plus élastique. Il s’enduisit la main jusque sur l'avant-bras et puis repositionna ses cinq doigts devant mon cul. Il les enfonça doucement et je sentis mon sphincter s’ouvrir grand pour les accueillir. Il me dit de pousser, comme pour rejeter ses doigts et je contractai le cul un maximum. Lorsque je relâchai, sa main avança un peu en moi et les articulations de la base de ses doigts glissèrent dans mon cul. Je sentis une petite douleur dans le pourtour de mon cul hyper-dilaté. Mais il maintint la pression et, progressant millimètre par millimètre, il arriva à la base du pouce. Je n’en pouvais plus, c’était trop gros. Il me dit de recommencer à pousser, ce que je fis de toutes mes forces, persuadé qu’il ne passerait pas plus loin… Mais, alors que je relâchais à l’issue de l’effort, il enfonça toute sa main jusqu’au poignet dans mon cul. Je n’y croyais pas vraiment : j’avais une main dans mon cul, l’énorme main de Jean ! Cette pensée et la sensation incroyable dans mon cul provoquèrent une vague de plaisir qui parcourut tout mon corps. De ses doigts habiles il me caressait l'intérieur. J'y voyais trouble. J'étais à lui encore plus que quand il m'enculait de sa grosse bite et, quelques minutes plus tard, par des convulsions hyper jouissives, j’expulsais une quantité que je jugeai hallucinante de sperme.

Jean retira lentement sa main et je me sentis complètement vide. J'aurais eu besoin de tendresse mais Jean se saisit de moi, me libérant du sling pour me laisser tomber lourdement sur le sofa. Il me regarda et m'offrit un énorme sourire. Il rayonnait.

— Tu es très doué. Ca t'a plu ?

— Oui, mais je croyais pas y arriver.

— Tout est dans la tête tu sais. Voilà ! tu deviens une lope, avec une vraie chatte de mec bien souple.

Je rougis à cette phrase. Oui, je devenais accroc à mon cul, ce cul qui était toujours béant et que je n’arrivais plus à refermer sur l’instant, cette énorme cavité qui venait de se prendre la main de Jean."

________________________________________________________

Voilà. J'apprécie comme toi. J'ai jamais fait non plus. J'espère que tu as aimé.

Amitiés @+

J'ai trouvé ça comme photo de fist :

everythingyoucanputin: http://everythingyoucanputin.tumblr.com/

"le regard voilé...il est ailleurs"

bottomfagwhore: My wrecked cunt

"une vraie chatte de mec bien souple"

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Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 00:37

 

Dans leurs "bahuts " on trouve facilement à s'arranger !

 

 

          " Moi c'est Jori (1) Je passe souvent sur un lieu de drague à Avignon sur les bords de la Durance. Là, on trouve de tout et quelques routiers parfois, et ce jour-là, j'avais envie de me faire un mec, j'avais très faim. Je m'installe dans ma voiture et j'attends... Ça tourne et retourne les voitures et moi, j'ai pas envie de de genre là. Au bout d'un moment, un tracteur plus sa semi s'engage dans le passage, tourne et se gare.

Un mec en descend, je m'avance et je vois qu'il me regarde. Je le suis dans les petits bosquets, je ne le trouve plus! Merde, où est-il passé? Je marche, je scrute, rien et tout d'un coup (il devait m'espionner) je me vois arriver un mec, 35/38 ans, en jeans, chemise ouverte. C'est vrai, ce jour là il faisait très beau donc, la chemise ouverte sur un torse légèrement velu; une petite queue de cheval, mais très courte, des yeux bleus, charmant enfin à ma convenance. Je lui dis: "Bonjour!", il me répond bonjour et me dit: "J'aime la nature et les arbres qui bourgeonnent."

Je lui mets la main au paquet qu'il avait pas mal garni en lui demandant si ça aussi, ça bourgeonnait. Il me répond: "Ça dépend que de toi..." Il me demande ce que je fais, je lui dit: "Je te suce si tu veux..." Il me répond OK et m'entraîne dans un bosquet en contrebas, au bord de l'eau. Là il baisse son froc, je vois une longue bite, en semi érection. Je m'abaisse à son niveau, je lui sens la queue et les couilles, hum... bonne odeur! Je me la mets en bouche (la bite) puis je lui lèche les couilles, petites, mais bien ovales et poilues, et bien pendantes. Après, je commence à lui sucer son sexe qui ne tarde pas à grossir et à se raidir. Il me caresse les oreilles, les cheveux, je lui caresse les couillles en même temps puis je lui caresse les fesses, ses jambes longues, minces et poilues, les mollets, le dos. Je lui gratte le ventre, des seins au zob et ma bouche travailleuse qui l'astique.

J'entends: "Ho putain! que tu me suces bien! Tu me suces mieux que ma femme. Qu'est-ce que tu fais ça bien, tu aimes la bite toi hen salope? Elle est bonne ma queue, régale toi, tu aimes, tu es un bon petit suceur. Oh là! Là!" Moi, ravi, je continue de plus belle en serrant les lèvres sur cette belle pine. Il me dit: "Montre moi ton cul!" Je me relève, je baisse pantalon et slip, il me retourne, je me baisse pour lui montrer mon trou affamé et là il me dit: "Quel beau cul! Il faut que je te baise..." Il m'enfonce un doigt en me disant: "Tu en as envie hein salope?" Je réponds: "Oui!" Je sorts une capote, je lui enfile, je l'enduis de gel et j'enduis aussi mon trou en me disant "mon pauvre qu'est-ce tu vas te prendre!" vu l'engin, au moins 20 cm et 4 de diamètre.

Il me dit de me baisser en avant, il me tient par les hanches, et me dit: "Laisse toi aller, ça va rentrer tout seul!" Ho surprise, je sens un pieu me forcer et pénétrer sans mal, sans violence, et il commence à me limer le cul en me disant: "Que c'est bon! Ton cul, ha vraiment trop bon! Tu es large, tu pourrais t'en pendre deux, hein salope..." et moi pendant ce temps, je lui caresse les couilles, et lorsque je ne les touche pas, elles viennent effleurer et même frapper les miennes; en plus avec leurs poils, ça me fait de l'électricité. Aie, Aie, trop bon! Il gémit de plaisir et me lime de plus belle. De temps en temps, je lui caresse son trou du cul très serré.

Je m'appuie sur le sol de mes deux mains pour offrir mon cul en feu à ce pompier volontaire et lui dit haut et fort: "Ho ouiii! Baise moi bien, j'aime me faire tirer comme un grosse salope que je suis!" Il me dit: "Continue à me sortir ce genre de choses, tu m'excites!" et c'était vrai, j'ai senti son gigot se raidir et moi de continuer à glousser comme une salope qui se faisait bourrer comme une truie. Et le comble, c'est que j'ai pris mon pied, j'ai senti un plaisir m'envahir et j'ai joui en me faisant baiser, c'était terrible! Je lui caressais les couilles et en sentant mon anus se contracter lors de ma jouissance, en criant, de plaisir, je l'entends me crier à son tour: "oui! Moi aussi je viens! Je t'encule bien comme une salope que tu es, tiens, prends toi ça!" Heureusement qu'il y avait la capote, car lorsqu'il l'a otée, je peux vous dire qu'il y en avait un bon verre à liqueur et le mâle était ravi de m'avoir honoré tout en me déshonorant (sic).

On s'est revu de temps à autre et je peux vous dire que c'est toujours aussi excitant, et il n'est pas homo en plein car, lorsque je lui caresse son trou du cul, il se contracte et me dit qu'il n'aime pas qu'on s'occupe de son cul mais préfère se faire cajoler, sucer, caresser et ce qu'il aime par dessus tout c'est la baise, et je vois bien qu'il aime, mais qu'est ce que c'est bon! Il baise à merveille et moi je suis ravi..."

jori

 

Par jori - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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