TEMOINS TEMOIGNAGES

Mercredi 19 février 3 19 /02 /Fév 00:52

 


 

Ville/Code postal

Rhone-Alpes, Rhone, Lyon, Lyon - 69003

Mon âge

44 ans

Description

Peut être l'as tu imaginé: t offrir entièrement au plaisir d'un homme qui jouerait avec ton corps tes sens ton excitation sans que tu n'ai aucun contrôle?

tu te laisses faire tu te laisses aller à l 'excitation de laisser le plaisr monter en toi sans rien contrôler.. juste en ressentant ce qui se passe sans rien pouvoir faire...

te laisser déshabiller ou rahibllier, toucher palpe, caresser,
laisser ton torse sous les mains d un homme, ta queue caressée sans relache sans que tu puisses controler la vitesse du va et vient...

sentir une langue decouvrir ton corps...

laisser ta bouche ton corps tes couilles ta queue ou ta rondelle libre aux mains d un homme...

ca te dit?

en plus tu es plutot bomec? un joli corps à découvrir?

alors ecris moi...décris toi (éventuellement photo)

je te repondrais...

moi 177 65 44 brun yb joueur sensuel et sexuel

 

 

L'annonce ne disait pas tout. J'ai répondu et je ne l'ai pas regretté. D'aucun point de vue.

 

 

 

 

 

Par sarah zin - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Mercredi 19 février 3 19 /02 /Fév 00:36

L'ANNONCE DISAIT...

Ville/Code postal
Mon âge
45 ans
Description
j'ai 45 ans, je cherche un jeune passif pour s'amuser, je reçois sur Lyon

L'annonce ne disait pas tout
J'ai répondu et je ne l'ai pas regretté

 

 

Par leculosapaye - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Lundi 17 février 1 17 /02 /Fév 22:20

TEMOINS TEMOIGNAGES récit fictif mais vraisemblable

Le contact de sa peau rugueuse sur la mienne me donna la chair de poule. J'étais ferré. Pouvais-je savoir que c'était la marque du Destin ?

C'est pratique les djellabas

à part vous, personne n'en saura rien lol

La ville où habitaient mes parents était jumelée avec une ville d’Algérie. C’est de cette façon que j’ai pu effectuer plusieurs voyages là-bas au cours de mon adolescence. Nous partions en groupe de jeunes et nous étions accueillis dans des familles, soit seul, soit par deux, en fonction des possibilités d’hébergement. Pour ma part, j’ai toujours été reçu seul mais ce n’est pas là que j’ai le plus approfondi mes connaissances du pays... Pour la première expédition je n’avais que 15 ans et demi et c’était mon premier grand voyage sans les parents et la première fois que je prenais l’avion. Rien que cela m’aurait suffit mais j’ai découvert bien d’autres choses.

Le voyage durait deux semaines mais dès le deuxième jour, nous avions le droit de pouvoir nous balader sans les monos à condition de prévenir et d’indiquer où nous allions. Le but était de nous immerger le plus rapidement possible dans la culture du pays. Dès la première sortie, nous avions repéré une place sur laquelle il y avait de l’animation. Outre le souk qui s’étendait dans les ruelles adjacentes, il y avait aussi des groupes de musiques et autres attractions.

Le troisième jour en fin d’après-midi, nous nous sommes retrouvés sur la place alors qu’il y avait plus de monde que d’habitude. J’appris par la suite que c’était un jour de fête et qu’à cette’occasion, tous les habitants descendaient dans la rue. Il y avait de la musique partout, des danseurs et même des conteurs. Absorbé par un spectacle de musique, je n’ai pas vu les autres du groupe partir et me suis retrouvé seul. Cela n’était pas pour me déplaire. Je pouvais rentrer quand je le voulais car nous avions quartier libre. De plus, je me sentais à l’aise au milieu de cette joyeuse pagaille, bousculé de droite et de gauche par cette foule au dialecte inconnu. Alors que le groupe faisait une courte pause, je me suis mis à observer un peu autour de moi (et c’est d’ailleurs à cet instant que je me suis rendu compte que les autres étaient partis). Mon regard croisa celui d’un homme d’une quarantaine d’années qui me regardait en souriant. Il était vêtu d’une djellaba, comme la plupart des autres hommes, pas très grand, moustachu et bedonnant. Sur le moment je ne prêtais guère attention à lui, me disant inconsciemment qu’il devait s’adresser à quelqu’un d’autre, d’autant que la musique recommençait mais sur un rythme un peu plus soutenu. Cela eut pour effet de faire bouger l’assistance, voire d’en faire danser certains. Coincé au troisième rang, je gesticulais timidement, d’une part faute de place et d’autre part pour ne pas paraître ridicule.

C’est alors que je sentis une présence derrière moi. Me retournant, je vis l’homme qui m’avait souri. Il avait les bras croisés sur le ventre et semblait écouter lui aussi la musique. Les mouvements de foule faisaient que de temps à autre, je me retrouvais plaqué contre lui. Étant encore bien innocent, c’est à la limite que je voulais m’excuser à chaque fois que je me cognais à lui, mais assez rapidement, je compris que nos contacts n’étaient pas essentiellement dûs à moi, et assez ambigus. En effet, je sentais souvent ses mains frôler le bas de mon dos et mes fesses. Au bout d’un moment, pour en avoir le cœur net, je décide de changer de place discrètement. Et là je me suis aperçu qu’il me suivait. Intrigué de savoir ce qu’il voulait, je laissais faire les choses. De nouveau dans mon dos, ses attouchements se firent de plus en plus précis. Mon cœur s’accélérait à chaque fois qu’il me touchait. Je sentais parfaitement le dos de ses mains se placer sur mes fesses, n’étant vêtu que d’un maillot et d’un short de plage (pratiquement aussi fin qu’un caleçon...) sans rien dessous.

Sans que je m’en sois rendu compte, la nuit était tombée et les seuls éclairages qu’il y avait étaient ceux de la scène. Cela devait l’encourager au même titre d’ailleurs que le fait que je ne me sauve pas en courant. Je fus surpris lorsqu’il commença à me caresser plus directement. Une de ses mains s’était plaquée sur mes fesses et je sentais ses doigts essayer de se diriger vers mon anus. Apeuré, de peur que cela ne se voie, je ne bougeais pas et serrais les fesses. Du coup, je sentis encore plus les doigts inquisiteurs tenter de forcer le passage mais sa détermination était bien plus forte et le faible rempart qui me protégeait était bien faible. Rouge de honte, je jetais des regards aux alentours pour essayer de savoir si quelqu’un s’était aperçu de la chose mais dans l’obscurité, je ne distinguais que vaguement les visages de mes voisins et je n’osais pas me retourner. De plus la foule était devenue tellement compacte qu’il m’était difficile de m’en dégager. Le mec devait s’en douter et en profitait.

Il remonta sa main jusqu’à l’élastique de mon short et glissa la main à l’intérieur. Le contact de sa peau rugueuse sur la mienne me donna la chair de poule. Il me caressa longuement, puis ressortit sa main pour la glisser sous mon maillot et venir me caresser le ventre, me plaquant contre lui. C’est alors que je sentis son sexe se frotter contre mes fesses au rythme de la musique. À priori, il ne portait rien sous sa djellaba. J’avais la tête qui bourdonnait et je me demandais jusqu’où il allait aller. À mesure qu’il bougeait, ses pressions se faisaient de plus en plus fortes et je sentais sa bite grossir dans mon dos.

D’un coup, je l’entendis discuter avec un autre homme. Sa main me lâcha et il se recula un peu. Les deux hommes rigolaient. Je me suis dis que c’était terminé et qu’il allait me laisser mais c’est alors que je sentis qu’une main avait attrapé l’élastique de mon short et qu’on me le descendait. Je voulus empêcher la chose mais une autre main saisit la mienne et me la tira en arrière pour venir la positionner sur un sexe. Je compris que c’était le deuxième homme qui m’avait attrapé pour pouvoir laisser le champs libre au premier. Celui-ci ne se gêna pas et descendit mon short pour découvrir et exhiber mes fesses. Pendant ce temps, on me relevait aussi mon maillot.

L’autre main de celui qui me déculottait glissa sur mon ventre pour y appuyer, m’obligeant à me plier légèrement pour bien exhiber mon cul. Les deux hommes rigolaient de plus en plus fort à chaque fois que je tentais de me dégager. Je devais faire de l’effet car le sexe que l’on me forçait à toucher était de plus en plus dur et me paraissait énorme. On m’écartait les globes et des doigts venir tâter de ma rosette. Je n’osais imaginer le spectacle que je donnais et ne savais pas si d’autres hommes en profitaient. J’étais coincé entre ces deux mecs et je me faisais tripoter le cul. Enfin, je devrais plutôt dire que je me faisais doigter le cul car l’un d’eux avait réussit à faire entrer un doigt et s’amusait à le faire coulisser en moi. En fait, je ne sais même pas s’il ne le faisait pas chacun leur tour.

Puis la musique prit fin. La foule commença à se disperser. Je sentis que l’on me tirait en arrière. Les deux hommes m’entraînaient avec eux. L’un m’attrapa par la taille et l’autre me passa un bras autour du cou, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Ils m’emmenèrent dans un endroit isolé, toujours en discutant et rigolant entre eux. À chaque fois que j’essayais de dire quelque chose, cela les amusait et ils répondaient en arabe des trucs que je ne comprenais évidemment pas.

Arrivés dans la cour de ce qui ressemblait vaguement à un garage, l’un d’eux me tira sur mon maillot alors que l’autre descendit mon short. Je me suis retrouvé nu comme un ver en un rien de temps, car même les sandalettes que je portais avaient valsé. Ils se mirent alors à me caresser partout sur le corps, en insistant bien sur mes fesses et mes seins qu’ils pinçaient. J’essayais bien de me débattre mais je n’avais aucune chance. À deux, ils me bloquaient facilement, me faisant passer de l’un à l’autre, s’amusant avec moi, me plaquant contre eux pour me faire sentir leur sexe dressé sous la toile.

Puis l’un d’eux souleva sa djellaba alors que l’autre me maintenait et je vis apparaître une bite énorme. Il m’attrapa par la nuque et m’obligea à me plier, aidé de l’autre qui m’avait saisi par la taille, les fesses plaqués sur son pieu. Après quelques ruades bien ridicules de ma part, le gland se positionna sur mes lèvres et d’une poussée m’écarta les lèvres pour s’enfoncer dans ma bouche. Son propriétaire entama des va-et-vient, s’enfonçant de plus en plus profond. Celui qui se trouvait dans mon dos ne restait pas inactif. Il avait lui aussi remonté sa djellaba et je sentis sa bite glisser entre mes jambes. Il la faisait coulisser au rythme des assauts de celui que je suçais.

Puis ils changèrent de position, et celui qui passa derrière moi positionna son gland bien mouillé à l’entrée de mon cul. Pris de panique je lui demandais dans un couinement et la bouche pleine de ne pas faire ça, mais c’était peine perdue. Plusieurs tentatives furent nécessaires, à grand renfort de salive, avant que je sente le gland commencer à entrer. La douleur était atroce, d’autant que c’était pour moi la première fois que je me faisais enculer. Le type donnait des grands coups de reins pour faire pénétrer son pieu dans mes entrailles en me tenant par les hanches. À mesure qu’il avançait, son débit de parole s’accentuait et son souffle se faisait de plus en plus rapide. Alors que je pensais que le plus dur était passé, il s’enfonça complètement d’un coup sec et je crus que j’allais m’évanouir. Je sentais ses couilles venir battre contre mon cul. Il resta un moment comme ça puis se mit à me pilonner les intestins, m’attrapant bien par la taille pour s’enfoncer au plus profond à chaque fois. L’autre alternait en me faisant sucer sa bite et ses couilles rasées. J’étais pris en sandwich et j’avais bien du mal à garder mon équilibre.

Ils changèrent plusieurs fois de position et j’avais l’impression que cela ne s’arrêterait jamais. À peine une bite sortie de mon cul qu’elle arrivait dans ma bouche ce qui me faisait en laver les moindres recoins ! J’avais mal aux joues, le cul en feu et les yeux embués de larmes. Mon calvaire s’arrêta lorsque celui qui m’enculait se retira d’un coup et que je sentis son sperme atterrir sur mon dos. L’autre se retira alors de ma bouche et se vida sur ma tête. Ils laissèrent retomber leur djellaba et après avoir retrouvé leurs esprits, s’en allèrent tranquillement, me laissant seul, avec du sperme dégoulinant de partout. C’est à cet instant que je me suis rendu compte que je bandais comme un porc. Rien que d’y penser, j’ai joui sans me toucher.

après cette révélation à moi-même, peut-être aurez vous envie de la suite ?

En fait vous allez trouver la suite horrible. Moi jai bien vécu et survécu. Cette agression, car c'en était une, m'a "trouvé" à un moment crucial de ma vie. C'était il y a 16 ans, j'en ai 31 maintenant.

Je n’avais en mémoire qu’un seul visage, celui du moustachu. Je le revis le lendemain matin. En fait il faisait partie d’une famille de ceux qui hébergeait un des moniteurs et parlait très bien le français. Il me fit comprendre que si je ne voulais pas qu’il raconte ce qui s’était passé, je devais lui obéir et faire ce qu’il pouvait me demander...

En agissant ainsi il avait inversé les rôles : de victime je devenais complice de son crime. J'ai gardé le silence et le secret..

Sauf que j'avais aimé et que, depuis ce voyage, je n'ai pas cessé d'aimer ça. Il faut croire que j'avais d'authentiques dispositions.lol. Aurais-je été le même si je n'avais pas fait cette rencontre ? J'aurais mis du temps à devenir ainsi, mais je le serais devenu certainement.

Salim (c’était son prénom) s’arrangeait toujours pour faire partie du groupe dans lequel j’étais lors des excursions ou des activités. Il me tenait à l’œil et je sentais sans arrêt son regard et sa pression sur moi. Heureusement tout cela s'est arrêté à la fin de ce séjour mais il avait eu le temps de répéter ses viols et de me faire violer par d'autres. Et cela pour de l'argent.

 

Depuis, quand l'argent se mêle de mes affaires de "coeur", de cul je veux dire, j'exulte. Je suis vénal et j'adore porter des djellabas et en faire porter à mes partenaires ou "clients".

 

 

 

 

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Samedi 15 février 6 15 /02 /Fév 01:34

Hallucinations ? (authentiques, dessinées par un consommateur)

je les percevais d'une drôle de façon sans pouvoir vous les décrire.

J'imagine qu'ils ont eu envie de moi parce qu'ils me trouvaient à leur goût et voulaient faire une fête à mes dépens. Je confronte les infos du net avec mes "souvenirs".

*à noter qu'il y en a d'autres à côté desquelles le GHB est ringard.

 

 

 Récit d'un gars qui en a absorbé à son insu et a dû subir tout ce qui en découlait..

 

La montée est très rapide (entre 5 et 20 minutes)

J'ai commencé à me sentir bizarre, désorienté, peut-être 10 minutes après un verre de jus de fruit probablement un peu alcoolisé. Tout bruit me parvenait amplifié, toute parole un conseil, un ordre...


Puis il s'est passé pas mal de choses, mais je ne m'en souviens plus. Je me rappelle m'être retrouvé en crise sans en comprendre la raison, en train de pleurer alors que je ne savais plus pourquoi. On me disait de me calmer, que c'était rien, et je répétais que j'avais un copain et que je ne voulais pas qu'il se passe quoi que ce soit, mais je ne savais même plus pourquoi nous avions cette conversation. Il me semble que le Vieux avait tenté de m'embrasser, mais je n'en suis pas complètement sûr, bien que ça semble probable vu que ça correspond à ce dont je me souviens ensuite... C'est ce qui est difficile: j'ai essayé de reconstruire le puzzle, mais il manque des pièces. Il y a aussi des pièces qui sont des suppositions à partir de bribes de souvenirs. Des fois je me demande si j'ai imaginé certains éléments parce que je voulais trouver une explication pour que le puzzle se complète, ou si je m'en souviens vraiment. Des fois je suis perdu dans mes efforts de mémoire.

Ce déséquilibre induit des activités rythmiques pathologiques identiques à celles observées pendant les crises d'épilepsie non-convulsives, de type « absence », qui se caractérisent par des pertes de conscience.

Là je me reconnais à nouveau, en ce qui concerne les absences et les pertes de conscience.

Comme l'alcool, le GHB en petite dose lève l'inhibition sociale mais sans "gueule de bois"*.
Je n'ai pas de souvenir particulier de levée de l'inhibition sociale. Enfin, sauf si on parle du fait que je n'ai pas réussi à réagir, parce que j'étais à moitié dans les vappes. En revanche, pas de gueule de bois, oui c'est l'élément qui ne collait pas dans ma déduction "trop bu": comment pouvais-je avoir TELLEMENT bu, AU POINT de coucher avec des mecs que je n'aimais pas, et n'avoir AUCUN effet lié à une soirée alcoolisée!?

Mais, au fur et à mesure que le dosage augmente, l'euphorie disparaît et les effets sédatifs apparaissent en premier plan.

C'est davantage de cette sensation dont je me souviens...

Elle donne parfois des sentiments de vertige et une envie de vomir.

Oui, c'est les premiers symptômes "anormaux" que j'ai constatés. Sauf que je ne comprenais rien à ce qui se passait. J'avais honte de me retrouver dans cet état chez eux. Je faisais tout pour le cacher. Je ne me souviens même pas dans quelles conditions je me suis vomi dessus... Ni même si je l'ai senti venir..

L'effet de détente qui accompagne la prise de GHB peut se renforcer jusqu'à la somnolence.

Oui... Tout d'un coup, après les vomissements, la crise de larmes, la perte de repères, pouf, je ne tenais plus debout... Et on m'avait déjà dit de m'allonger.

À noter que le GHB n'a pas de propriétés aphrodisiaques réelles, mais provoque une désinhibition sexuelle causée par l'effet sédatif.

Dit comme ça, je comprends mieux comment ça s'est passé... J'ai aucun souvenir de "propriétés aphrodisiaques" (je me souviens pas d'avoir bandé), je me rappelle plutôt être étendu à voir ce qui se passe sans comprendre quoi que ce soit ni pouvoir réagir parce que je suis incapable de penser quoi que ce soit...

En tout cas dans tous les souvenirs que j'ai... ce qui est sûr c'est qu'à aucun moment je n'ai "apprécié"... même quand je les ai "aidés", c'était par "obligation" (enfin je réagissais sans réagir, tout ce qui se déroulait semblait "normal", comme si je "devais" faire tout ce pour quoi on me guidait...) Je sais que certaines victimes doivent en plus supporter cette culpabilité-là :( .. Mais justement du coup je culpabilise qu'il ne me soit pas venu en tête l'ébauche de l'idée de faire stopper ce qui se passait alors que je souffrais physiquement dans ma chair...

Le mélange GHB/alcool peut renforcer de façon dramatique les effets de l'un et de l'autre. De plus, il peut provoquer une hypnose et une amnésie

Pour moi l'amnésie n'est que partielle... Enfin, le lendemain j'avais très peu de souvenirs, un ou deux flash seulement. Mais je me souvenais aussi de l'"après", vu que les effets devaient déjà être pas mal dissipés au moment où je suis parti après m'être rendu compte que j'étais nu dans leur lit..
Ceci dit au fil des jours, des semaines, beaucoup d'autres souvenirs sont revenus, comme ça poum! je pensais à autre chose et hop l' image d'un sexe nu près de mon visage! Et ensuite des jours et des jours et des semaines à digérer cette image... Et ainsi de suite...


Versées dans la boisson d'une personne qui ne se doute de rien, les "drogues du viol" la maintiendront dans un état actif, mais avec des manifestations de somnolence (plus rarement de quasi-inconscience) et ce, pour une durée variable.

C'est tout à fait ça... :(


Après l'absorption d'une telle drogue, les victimes peuvent aussi ressentir des étourdissements ou devenir désorientées.

Désorienté oui c'est ce qui s'est très rapidement passé...

putain les salauds.


Dans l'ensemble, les "drogues du viol" sont des substances qui peuvent affecter de façon significative ou même annihiler les fonctions qui permettent généralement de résister ou de tenter de résister à une agression sexuelle.

Quelque part ça rassure de le lire dans des études... On se sent moins dingue..

On mentionne souvent les effets suivants de ces drogues: jugement faussé, absence d'inhibition donnant une impression de collaboration ou de soumission, confusion, ainsi qu'excitabilité dans certains cas.

Pas de souvenir d'excitabilité. Mais ça aussi ça me fait très peur: si jamais parmi mes oublis il y a des passages où j'ai participé ? rien que d'imaginer j'en ai envie de vomir, c'est terrible! Dites-moi que j'ai pas pu faire ça, c'est pas possible! Je pourrais jamais m'en remettre...

Par contre tout le reste, je l'ai clairement ressenti. "Jugement faussé", oui, complètement, j'étais complètement hors de la réalité. Je constatais tout ce qui se passait mais je ne savais plus qui j'étais (ni même que j'existais), je ne savais plus non plus qui ils étaient, j'avais l'impression que tout était "normal", j'étais comme un robot, déshumanisé !

Le GHB n'est pas la drogue la plus fréquemment employée. 9 fois sur 10 les agresseurs auraient utilisé des barbituriques ou des neuroleptiques mélangés à de l'alcool.

Oui. C'est possible. Dans le fond je saurai jamais exactement ce qui m'est arrivé...

Cependant, associé à de l'alcool, le GHB entraîne des vomissements.

Moi qui vomis jamais.. Là devant eux (sur le coup j'avais honte mais ils n'y ont même pas fait attention! ça les a même pas surpris ils ont même pas levé un sourcil! ils savaient ces enfoirés!)... Y'en avait plein mes cheveux, mes chaussures, mes vêtements.. Et ils m'ont allongé comme ça dans le lit sur l'oreiller...

 

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Samedi 8 février 6 08 /02 /Fév 14:19
TEMOINS TEMOIGNAGES  Et même 45 ans c'est jeune encore...je pouvais mesurer ma chance !

 

— Oh oui, que c'est bon! Tu as du faire ça des centaines de fois mon petit salaud. T'es vraiment doué avec ta bouche.

 

  Confessions of a Hotel Insider 
Ma première expérience gay, celle qui a tout déclenché et qui a donné suite à de nombreuses autres.
C'était l'été et j'étais "groom" dans un palace de la Côte d'Azur. Ce matin de juillet ensoleillé s'annonçait bien, j'étais de bonne humeur et j'étais invité le soir même à une des plus grandes fêtes organisée sur la Côte cet été. Il était 8h45 et je devais apporter le petit déjeuner à un client.
J'arrivais donc devant la porte et je frappai.
— Oui, entrez!
— Bonjour Monsieur.
— Bonjour jeune homme.
— Voici votre petit déjeuner Monsieur.
— Merci, posez-le ici sur la petite table.
— Voilà. Puis-je faire autre chose Monsieur?
— Oui s'il te plaît. Aide-moi à monter cette valise dans l'armoire, elle est très lourde, elle contient de nombreux scénarios de films.
Je l'aide donc à hisser cette valise. Je me rends compte qu'il pose un regard très appuyé sur moi. Mon idée se confirme quand il me dit:
— Eh bien tu es fort en plus d'être un sacré beau gosse!
— Euh, merci Monsieur.
— Ne sois pas gêné. Un beau jeune homme comme toi, tu dois souvent te faire draguer par les clientes et même par les clients.
C'est le fait qu'il dise "clients" et pas seulement clientes qui m'a fait comprendre où il voulait en venir. Je n'avais jamais eu de relation homosexuelle. J'étais hétéro mais depuis longtemps j'avais de plus en plus envie d'essayer quelque chose de nouveau.
— Oui Monsieur ça m'arrive en effet parfois. Il arrive que des femmes de passage, sans leur mari, me fassent des avances mais je suis ici pour le travail.
— Ça te dirait de me faire plaisir et de gagner 50€ aussi?
Je n'étais pas sûr de ce qu'il avait en tête mais je m'en doutais et le fait de me faire payer pour ça m'excitait.
— On a tous besoin d'un peu d'argent. Que dois-je faire?
— Me donner du plaisir et t'en donner aussi bien sûr.
— Que voulez-vous dire?
Et tout devint très clair quand il a ouvert en grand son peignoir. Il ne portait strictement rien dessous. Je me retrouvais pour la première fois dans une telle situation: en compagnie d'un homme d'environ 45 ans totalement nu. J'étais que je le veuille ou non rabaissé au niveau d'une simple pute. J'allais baiser un homme pour de l'argent. Mais en fait l'argent n'était qu'un bonus car je savais que j'en avais envie.
— J'accepte votre proposition. Par où voulez vous que je commence?
— Je savais que tu accepterais. J'ai envie de toi! J'ai envie de sentir mon sexe dans ta belle bouche. Suce-moi, mais d'abord va fermer la porte à clé et retire vite tes vêtements. Je veux te voir à poil. Je veux savourer la beauté de ton corps. Je suis sûr que t'as une belle queue à me présenter. Elle te plaît la mienne?
— Oh oui! C'est avec un grand plaisir que je vais vous sucer.
En effet il avait une belle bite. Je le regaRdai sous tous les angles pendant que je me déshabillais. Je prenais vraiment du plaisir à me dévêtir et à exhiber ma nudité à cet homme mature qui avait plus d'une vingtaine d'années de plus que moi. Je me retrouvais d'un coup totalement impudique.
J'avais envie de toucher à ce corps nu, je voulais qu'il me touche, qu'il me caresse. J'avais jamais ressenti cette sensation un peu bizzare auparavant. Le côté un peu interdit du sexe homo pour moi qui avait toujours été hétéro renforçait mon excitation. Je suis maintenant tout nu face à cet homme qui vient de s'asseoir dans le sofa et qui a écarté ses cuisses pour que je le suce. Je m'approche alors de lui, me mets à genoux et le regarde en souriant.
— Vous avez une bite extra, je vais la déguster.
— J'aime les petits minets comme toi. Tais-toi et suce!
Je saisis son sexe à pleine main et approche ma bouche. Il est bandé comme un taureau, c'est un vrai morceau de bois de 18 cm de longueur pour 5 cm de diamètre. Je commence à lui lécher son gland, il est gros et rouge. Je le suce bien, en faisant le tour avec ma langue. Je bave sur cette belle verge tendue tellement j'en ai envie. Je ne tarde pas à prendre sa bite à pleine bouche. Il est très excité, il bouge son cul sur le sofa et me caresse de ses mains moites. J'applique un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide sur sa bite.
C'est merveilleux, je la sens aller et venir dans ma bouche, elle coulisse, elle glisse. Je suce, j'aspire. Je le branle de ma main.
— Oh oui, que c'est bon. Tu as du faire ça des centaines de fois mon petit salaud. T'es vraiment doué avec ta bouche. Oh oh, je sens que je vais jouir. Retire-toi si tu veux pas que je t'éjacule dans la bouche.
J'ai sorti sa bite de ma bouche mais pas pour ne pas recevoir son sperme. J'étais excité comme une chienne. Je voulais voir son sperme sortir et gicler sur mon corps.
— Allez-y, videz-vous les couilles sur moi je veux tout recevoir. Je veux en être recouvert.
Je l'ai branlé avec une telle force que sa sauce a jailli d'un coup sans que je puisse me mettre en position. Une épaisse giclée s'est étalée sur mon visage. C'était chaud et bon. J'avais jamais goûté à du sperme mais j'en avais sur toute la face, ça me coulait dans la bouche. Je continuais à le branler toujours aussi rapidement et je sentais ses nombreuses saccades de sperme chaud et gluant se répendre sur tout mon corps en sueur. J'avais du sperme qui me coulait dans la bouche, dans le cou, sur mes tétons, ça continuait encore à sortir de sa queue toute rouge. Quand il fût vidé, je l'ai encore sucé pour recueillir ce qui restait et lui coulait le long de la verge.
J'étais en extase. Je me suis allongé par terre, savourant ce moment en sentant tout ce sperme chaud étalé sur mon corps.
— Ouahh, j'en reviens pas d'avoir joui comme ça. Tu as été extra. Tu m'as pompé comme une pute professionnelle.
Il est venu s'assoir à côté de moi qui était allongé par terre. Il m'a caressé les couilles puis le sexe avant de porter ses caresses sur mes pectoraux. Il prenait plaisir à m'étaler son sperme dessus. Il s'est penché sur moi et m'a embrassé à pleine bouche, goûtant du même coup à son propre sperme qui tapissait ma bouche.
— Lève-toi et va prendre une douche. Il faut que tu partes maintenant sinon la direction de l'hôtel va se demander où tu es passé. Viens ici demain à la même heure. On va encore bien s'amuser tous les deux et un autre billet de 50€ t'attendra.
Je suis allé me doucher, j'ai pris les 50€  et je suis parti en lui promettant de revenir le lendemain...
"Laissez monsieur, j'ai l'habitude..." 
...dans les prochains jours
   
Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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