TEMOINS TEMOIGNAGES

Mercredi 5 mars 3 05 /03 /Mars 17:34

TEMOIGNAGES

Je ne me suis pas gêné avec lui pour lui faire comprendre ce que je cherchais...

Après deux expériences passives je me suis dit que si c’est si simple de ramasser un mec dans la rue et se le faire, je dois être en mesure de recommencer quand je le souhaite, quitte à y laisser quelque contrepartie : je suis littéralement affamé.

Je ne serais pas si difficile : pourvu qu'il soit raide et bien actif, un vieux, un laid ferait tout à fait l'affaire...

Je me balade dans mon quartier en quête d’un homme qui me satisfera. Tout le monde m’excite C’est dimanche et il n' y a pas grand monde dehors et beaucoup de commerces sont fermés. Un peu au hasard, je me rends chez l’épicier arabe en bas de ma rue. Le gérant, un quadra barbu, que je connais bien me salue. Je sais pas trop quoi prendre, alors je tourne un peu en rond. Là je vois dans la pièce du fond un jeune beur en train de regarder un match de foot sur une petite télé. C’est le fils du gérant. Je le connais un peu, il était en 6ème dans mon collège quand j’étais en 3ème, il doit donc avoir 20 ans maintenant. Un vrai branleur pas prêt à faire grand chose sauf sur un terrain de foot. Il porte un short de foot, assis sur une chaise, un pied sur la table de l’écran, et se balance. Il ne remarque pas que je l’observe et se gratte copieusement le sexe. Ça m’a suffi pour m’exciter encore plus. Ça commence à durer et je me demande s’il ne fait que se gratter… Je suis bouche-bée, son paquet a l’air bien massif. J’en ai envie maintenant. J’ai trouvé ma prochaine cible. Je regarde derrière moi et je vois son père résoudre des sudoku à la caisse à l’entrée. Il n’y a personne d’autre dans l’épicerie. Je ne sais pas comment procéder, c’est inédit pour moi. Je me retourne à nouveau et je vois que le fils a changé de position. Il a maintenant les deux pieds à terre, les genoux écartés et plus orientés vers moi. Je ne sais pas si je rêve. Est-ce qu’il a vu que je l’observais, ou est-ce que j’imagine que c’est pour moi ? Il recommence à se gratter. Je vois distinctement la silhouette de son sexe maintenant. Putain qu’il m’excite ! Je m’approche de sa pièce lentement pour pas faire trop de bruit, en faisant mine de chercher dans les étagères. Là, il me surprend et me fixe. Je m’arrête net et je tourne la tête. Je suis comme un gosse. Son regard descend vers ma ceinture. Quoi ?! Je baisse la tête. Merde. Je bande. Il a coupé le son de la télé. Toujours sur sa chaise pivotante, il me fait face, les jambes écartées et me montre que lui aussi est dur et le programme télé à été zappé : c'est un DVD gay. Comment soupçonne-t-il mes goûts sexuels ? Je regarde une dernière fois derrière moi et je marche lentement vers lui, en me touchant la queue. Il se touche à son tour. J’arrive devant lui et devant la pièce et je m’arrête. Il prend mon bras, me tire et ferme la porte. Là j’entends la voix du père qui hurle quelque chose en arabe. Il lui répond « Rien, laisse tomber ! ». Avec son index, il me fait le geste du silence. Je hoche la tête avec un grand sourire sur les lèvres. Il ne me sourit pas, lui. Grand brun ténébreux, j’aime. Je n’hésite pas, avec ma main, je saisis son sexe à travers son short fin. Putain, elle est énorme. Je sens que je vais l’adorer, celle-là. Il ne bouge pas pendant mes caresses. Puis soudain, il m’abaisse et frotte sa bite à mon visage. « Goûte ! » dit-il en chuchotant. C'est bon ! Il me fait signe entre pouce et index qu'il veut de l'argent.

Je sors 10 euros. Il secoue la tête. 15 euros. Sans dire ok il accepte de mauvais gré. Je ne le savais pas vénal, mais qu'est-ce que ça fait ? Au lieu d'acheter des conneries dans leur magasin je me payais du bon temps !

Un corps superbe !!

 

« Suce maintenant! » Il baisse son élastique et me sort sa pine, que dis-je, son énorme manche et me la fourre directement dans la bouche. J’aime le musc qui se dégage de son pubis légèrement épilé. A ma grande déception, je n’arrive pas à tout mettre dans ma bouche. Elle est vraiment trop longue et trop large. Mais tellement bonne…J'en ai pour mes ronds ! Son gland circoncis occupe le fond de ma bouche et tape dans ma gorge, et je commence à sentir un léger goût salé. Il mouille le salaud. Et j’ai envie de me faire bourrer le cul par son gros pilon. Je me redresse en un saut, et lui montre mon cul. Il a vite compris ce que je voulais. Je crache dans ma main et applique ma salive autour de mon trou. Je commence à me doigter devant lui pour l’exciter davantage. Il fait de même et lubrifie sa queue. Deux secondes plus tard, j’étais contre la porte, et la moitié de sa bite était en moi. J’étais complètement dilaté et je l’acceptais avec des petits gémissements silencieux pour ne pas attirer l’attention de son père, juste derrière. Ça n’en finissait pas d’aller au fond de moi. Je crois qu’il touche ma prostate maintenant qu’il est à la garde. Je me retiens de juter et de hurler de plaisir. Il commence des va-et-vient doux d’abord pour ne pas secouer la porte, mais au bout d’un moment, il s’est lâché, et je pense que tout le quartier nous a entendus. Sa belle queue me râclait toutes les parois de mon cul en n’oubliant pas de toucher mon point G à chaque assaut. Il a mis sa main sur ma bouche pour la couvrir. Mais ça ne servait pas à grand chose, je jouissais quand même du cul. Je n’ai rien contrôlé et ma semence s’est mise à gicler contre la porte. Il en a recueilli un peu pour l’appliquer sur son sexe et le faire mieux coulisser. Il avait un rythme très soutenu, très sportif, et il était super endurant. A l’occasion, je mettais mes mains en arrière pour toucher son corps. Je parvenais à toucher ses petites fesses musclées et son torse. Clairement, ça le rendait fou. Il me mitraillait comme personne ne me l’avait fait avant. Je prenais vraiment mon pied. Il était super doué avec son membre. Je sentais ses couilles chaudes claquer contre les miennes. Je sens la cadence augmenter encore et je comprends qu’il va jouir. J’avais pas envie que ça s’arrête… Sans retenue, il pousse un râle grave et puissant en déversant son jus de couilles dans mes entrailles. Sauf qu’il ne s’arrête pas pendant son éjaculation. Il glisse en moi dans ce mélange de nos deux spermes dans mon anus en feu. Je sens encore sa queue se contracter et cracher les dernières gouttes de son foutre. Il se retire lentement de toute sa longueur en soupirant longuement. Je me retourne et je peux lire un léger sourire sur son visage. Je ne sais toujours pas s’il est gay, ou s’il voulait juste tirer son coup. Franchement, je préférerais que ça soit la deuxième solution ! Je me rhabille, le cul dégoulinant et huileux, lui est en train de nettoyer sa queue avec un sopalin. Je le regarde faire et ça le fait marrer. Sans rien dire, j’ouvre la porte, reprends mes affaires et j’essaye de faire comme si de rien n’était. Ça n’a pas duré si longtemps que ça, je pense que le père n’a rien grillé. Je passe devant sa caisse et le salue. Il me répond « ah, toi aussi il t’a fait entrer dans l’arrière boutique ? Tss, il fait ça tout le temps, ça m’énerve ». Je ricane, un peu surpris et sors à toute vitesse, content d’avoir assouvi mon désir.

 

Ce qui s'est passé est dû moitié à ma séduction, moitié à ce que vous savez...je plains les vieux, les tordus, les boîteux qui n'ont pas ma chance !...

Par ever - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 02:00

RECIT REEL

Avoir un(e) ASSISTANT(e) SEXUEL(le) c'est bien légitime pour eux- elles-"les handis" ESCORT POUR HANDI surtout comme Loic...lequel, laquelle d'entre nous ne voudrait pas l'être ou le devenir?

Plus tard, "qui vivra verra" mais beaucoup de liaisons de même sexe sont vécues au départ en protestant sur son hétérosexualité...ainsi, nos deux compères... LOIC ET MARTIN

 

 

Je sais, j’ai eu «de la chance». Une nuit passée avec des copains au début des grandes vacances dans le mobil-home de mes parents, partis depuis peu de temps, quelques canettes de bière alors que je n’en ai pas du tout l’habitude, un mégot mal éteint d’une de mes premières cigarettes (et la dernière...) tombé sur la moquette et ce fut l’incendie, sournois au début mais qui s’est rapidement développé du fait de ma léthargie.

Quand je sortis de ma torpeur, le mobil-home était embrasé, la porte inaccessible et la température si élevée que la peau de mon visage cuisait littéralement. Affolé, suffoquant à cause de la fumée, j’ai défoncé à coups de poings la paroi incandescente, là où le feu l’avait déjà fragilisée. Je suis ainsi parvenu à sortir sans même sentir la douleur et j’ai à peine vu les voisins alertés par les flammes qui me roulaient dans l’herbe humide pour éteindre le feu qui prenait à mes vêtements, avant que je sombre dans une semi inconscience... Une sirène, la bienfaisante morphine, puis une salle d’opération.

J’ai appris après, de la bouche de ma mère en larmes, que je m’en étais sorti par miracle. Mon corps était intact sauf une brûlure superficielle au visage et des cheveux grillés - grâce à mes sauveteurs qui avaient éteint les flammes de mes vêtements. La figure me cuisait un peu, mais une crème apaisante me soulageait. En revanche mes mains étaient dans un état catastrophique et une reconstitution s’est avérée nécessaire, faite par un chirurgien de renom. Je ne souffrirais – sauf complication imprévue - d’aucune séquelle mais leur immobilisation pour cinq semaines était incontournable, après dix jours d’internement en service des grands brûlés. J’avais au bout des bras deux «poupées» dont on devait refaire les bandages trois fois par jour et il m’était impossible de faire quoi que ce soit. Je subissais en plus des démangeaisons pénibles, signe d’une bonne cicatrisation, paraît-il.

Mes parents ne sont pas cons. Le mobil-home était assuré, ils avaient gardé leur fils unique, ils comprenaient que la punition naturellement infligée était largement à hauteur de la sottise. J’ai donc échappé aux remontrances et nous nous sommes organisés dès la sortie de l’hôpital. Le matin, mon père me lavait avant qu’un VSL m’emmène à l’hôpital pour le renouvellement de mon pansement, Ensuite je revenais à domicile où je patientais parfois seul – quand des copains ne pouvaient se déranger. Ma mère rentrait me faire manger, becquetée par becquetée à midi, je revenais à l’hosto pour changer les «poupées», on me ramenait chez moi jusqu’au soir; j’avais chaque après-midi et souvent le matin la visite de mon ami Martin que je connais depuis toujours: j’ai su plus tard qu’il avait fait annuler son séjour d’été, sans me le dire, pour rester à mes côtés pendant cette période. Retour le soir à l’hosto pour les soins, puis quand mon père rentrait, toilette; ensuite dîner, etc. Sinon, dans la journée, télé, parties d’échecs avec Martin qui déplaçait mes pièces selon mes indications. Quasi impossibilité de lire. Bref, l’emmerdomètre affichait le niveau maximum - sauf quand mon meilleur ami était là avec sa bonne humeur perpétuelle.

Imaginez vous ce que c’est que de vivre sans vos deux mains? Pour la douche, mon père me mettait entièrement nu, cachait les «poupées» (nom des gros pansements) dans des sacs étanches et m’aidait à entrer dans la baignoire où il me savonnait avant de me rincer. Humiliant, à 15 ans, surtout quand cela provoquait des bandaisons intempestives qu’il tentait de ne pas voir mais qui demeuraient, provoquant de graves frustrations. Je vivais au cours de la journée en peignoir et en caleçon ample - ce qui me permettait, en me tortillant pour baisser ce dernier – de satisfaire mes besoins naturels en m’asseyant sur le siège des toilettes. Pour pisser, cela allait mais pour déféquer, impossible de me nettoyer seul. Je tentais donc de le faire avant ma toilette et mon père me lavait le cul avec un torchon pour éviter un contact par trop intime. L’ambulancier qui conduisait le VSL m’aidait à enfiler un jogging quand personne n’était avec moi, le temps des déplacements.

Ce qui était le plus pénible, c’était encore l’impossibilité de me masturber. Vous imaginez, au seuil de l’adolescence, la perspective de ne pas se branler pendant au moins cinq semaines? Je pratiquais la chose depuis trois ans déjà, sans y attacher beaucoup d’importance d’ailleurs jusqu’à ce que je remarque à quel point la difficulté me frustrait. Alors qu’avant l’accident je me soulageais machinalement deux ou trois fois par jour (toujours seul et pudiquement), le manque m’obsédait littéralement: je ne pensais «qu’à ça». Au bout de quelques jours, j’imaginai un substitut: poser un torchon sur mon lit, me mettre nu à plat ventre et tenter de jouir en me frottant dessus. Je parvenais certes à éjaculer, à baisser la «pression», mais la jouissance était des plus médiocres.

C’est Martin qui me «sauva» après une semaine de cet enfer. Il avait la clé de la maison (j’aurais été incapable d’actionner la serrure) et un après-midi où justement je me livrais à cet onanisme du pauvre, il entra. Il dut appeler d’en bas, mais absorbé par la recherche de la conclusion forcément frustrante de mon «activité» je ne l’entendis pas et il pénétra dans ma chambre au moment précis où je me frottais en geignant, en sueur.

Je sursautai, rouge de honte, Cherchant quelque chose à dire, confus, je me taisais quand il éclata de rire. Il faut dire qu’autant je suis pudique, autant il est extraverti sur les choses du sexe, même un peu exhibitionniste dans les vestiaires ou dans toute circonstance bonne à en parler, à se montrer, à délirer sur la chose. Cela durait depuis un an environ et m’excitait intérieurement, quoique je cachais soigneusement mes sentiments. J’aurais obtenu un billet de vingt euros à chaque fois que je l’ai traité d’obsédé, je serais millionaire!

Pourquoi cette timidité et cette réserve sur le sujet? Je l’ignore. J’étais certes fils unique mais mes parents m’avaient élevé de façon ouverte, j’étais sociable, sportif... Je n’étais certes pas le mieux doté de mes camarades (on me donnait même un peu moins que mes quinze ans) mais il y avait «pire» et si j’étais encore imberbe – sauf au pubis – on me trouvait mignon et pas trop gamin. Des filles m’avaient même déjà discrètement fait comprendre que si je faisais le premier pas, je pourrais peut être «sortir» avec elles... mais cette foutue timidité avait retardé le cours des choses.

Mais revenons à ce moment, de gêne inimaginable...

Mon ami éclata de rire, spontanément, avec fraîcheur et gentillesse.

— Putain, mais c’est vrai, j’y ai pas pensé, tu peux plus te pogner, mon pauvre!

— Ouais! bah c’est pas la peine d’en rajouter, dis-je tout rouge en tentant maladroitement de me rajuster

Il y eut un moment de silence et doucement il ajouta, le sourire aux lèvres mais pas du tout en se moquant:

— Je suis ton ami, non? Pourquoi tu m’as rien dit? À qui tu peux demander de te dépanner, sinon à moi? Je sais que t’as pas de copine! Pas à tes vieux, quand même!

— Tu déconnes, mec, répliquai-je. Je suis pas pédé!

— Mais qui te parle d’être pédé? T’as besoin de te branler comme tous les mecs, t’as pas de main, je te propose la mienne, c’est tout. En tout cas, si c’était l’inverse, c’est à toi que je l’aurais demandé parce que je sais que t’es mon ami et que tu le répéterais pas!

Je ne répondis rien, mais ma verge parla pour moi, se dressant de façon éloquente. Martin s’assit à côté de moi, et murmura:

— Ferme les yeux, pense à rien ou à quelque chose qui t’excite si ça peut t’aider.

Je secouai négativement la tête, mais sans rien dire. Une semaine de frustration, la perspective d’un mois de plus au moins (parce que les pansements retirés, je n’en aurais peut-être pas fini de suite), cela me trottait dans la tête. C’est inconsciemment que j’écartai les jambes... sans fermer les yeux. Martin sourit, et caressa ma queue d’un doigt léger, ce qui provoqua un gémissement de surprise. actionbuddy: Mind if I re-reblog this one again?… ;) Il la saisit et je la sentis palpiter, m’envoyer des ondes de plaisir comme jamais je n’étais parvenu à en créer seul. Il faut dire que personne ne m’avait jamais touché «là», sauf mon père pour la toilette et dans un tout autre contexte.

— Putain, rigola-t-il, elle est chaude et remuante, elle en a besoin la pauvre!

Son autre main caressa mes bourses et là je lâchai un râle de plaisir, pendant qu’il commençait à me masturber avec tendresse. Je me tordais de droite à gauche sur le lit.

— C’est bon, hein, Loïc, sourit-il... Tout seul on en perd, des trucs... Moi je l’ai déjà fait avec un autre, c’est pas pareil... rien à voir!

Je soufflais comme un phoque. J’avais tout oublié de mes réticences passées, mais la tension était énorme. Il ne fallut que quelques minutes pour qu’un orgasme foudroyant me transperce, me faisant projeter d’énormes jets de sperme sur mon ventre pendant que mes abdos se crispaient et que je me cambrais, sur la nuque et les talons. Martin continuait de me caresser les couilles en tenant ma verge bien serrées, et les ondes de plaisir ne semblaient pas devoir cesser... J’oubliai toute pudeur et lui souris.

— Merci mon pote, c’était génial... Tu sais, j’en avais besoin... Rien depuis l’accident!

— T’inquiète, Loïc, on le refera, dit-il en riant. Tant que tu veux, et sois pas gêné de demander si j’y pense pas tout seul. Moi tu sais, c’est au moins quatre fois par jour alors...

Je rougis un peu car je l’imaginais en train de s’astiquer et cela me donnait de nouveaux picotements: je l’avais déjà vu à poil bien sûr, même bandé, mais jamais «en action».

— Bon, en attendant, dis-je... on se fait une partie d’échecs?

— OK Loïc, à toi les Noirs cette fois! Attends quand même que je te nettoie, dit-il en rigolant et en passant le torchon sur mon ventre avant de remonter mon caleçon.

Cette partie se déroula assez vite parce que je manquais totalement de concentration... en seize coups j’étais mat, et Martin me regardait, hilare:

— J’aurais dû proposer un gage avant!

Ce fut inconscient... je ne répondis pas mais mon regard descendit sur mon entrejambe pendant que ma tige durcissait de nouveau.

— T’en as envie, hein? Encore, mon salaud... Putain j’aurais jamais cru ça de toi le mois dernier, seulement... Loïc la pudeur qui me traitait d’obsédé! Ouais, mais moi aussi, tout à l’heure ça m’a excité grave, alors on va faire ça ensemble...

Il se déshabilla lentement devant moi, souriant, un peu vicelard, désireux de me provoquer. Une fois de plus, comme dans les vestiaires, j’avais en face de moi son corps longiligne à la peau mate et imberbe, si on excepte une fine toison pubienne que manifestement il commençait à entretenir.

— Allonge-toi bien, mec, jambes serrées!

Puis il se mit à genoux sur moi, sa queue à hauteur de la mienne.

— Putain, dis-je, qu’est ce que tu fous? On va pas faire des trucs de... des trucs de pédés?

— Oh, ça je le fais depuis un an et je me crois pas plus pédé que toi... et même si je l’étais, si ON l’était, qu’est-ce que ça pourrait foutre si ça fait du bien? Tu sais, ça s’attrape pas!

Sa main s’avança et chopa nos deux bites, unies sous la même pression. J’avais le souffle coupé de bonheur de sentir contre la mienne ce morceau chaud qui palpitait. Il nous tripotait, en commentant:

— Finalement la tienne est plus longue, oh pas de beaucoup! Et un peu plus épaisse aussi... mais je décalotte mieux, on dirait... Fais voir tes couilles (il les caressait). Ah elles remontent à fond, les miennes pendent un peu... Tu devrais te tailler la touffe un peu, le zob a l’air un peu plus long. Et moi, je me rase les couilles (rire). Remarque, t’as pas grand chose dessus!

Il aperçut le tube de crème qui m’avait servi à soulager les échauffements que j’avais eus sur le visage, dont je ne me servais plus...

— Ouais! Avec ça, ça glissera mieux!

Il nous enduisit, pendant que je suffoquais de plaisir...

— OK, Loïc, on doit être à égalité: t’as déjà juté donc en principe t’es moins excité, mais c’est ma main qui agit, pas la tienne: ça doit compenser. Je branle les deux queues collées l’une à l’autre et le premier qui crache a perdu...

Le contact de sa tige, la douceur de sa main qui enserrait les deux bites bien lubrifiées, la subtile variation qu’il imprimait dans la pression, ses caresses faites avec l’autre main sur les couilles ou les abdos, ça me rendait dingue et je voulais que ça dure, que ça dure éternellement... Mais comme il l’avait dit, nous étions excités tous deux et au bout de quelques minutes, nous explosâmes de façon absolument synchrone.

— Merde! dit-il en rigolant... Faut recommencer, égalité!

Il gardait nos bites serrées à la base pour éviter qu’elles ne ramollissent, tout en continuant ses caresses, tantôt sur moi tantôt sur lui... Ça dura quelques minutes, puis il reprit son mouvement de va-et-vient. Là, ce fut plus long, il fut obligé d’insister, d’accélérer le mouvement. Je le voyais en sueur, bouche pincée, ses abdos crispés, haletant... Cette fois, de peu, c’est lui qui jouit avant moi, en criant de joie...

— Merde, j’ai perdu, rigola-t-il. C’est quoi mon gage?

J’étais complètement désinhibé.

— Pauvre vieux, t’es condamné à refaire ça demain, rigolé-je en même temps que lui, qui par jeu prenait un air boudeur.

Puis j’ajoutai, après une longue hésitation:

— Martin, euhh, s’il te plait...

— Oui?

— Je dois puer le foutre à cinq mètres et c’est mon père qui me lave. Ça t’emmerderait de m’aider à prendre une douche? Sinon il va se poser des questions.

— OK mais comment tu fais?

— D’habitude, il me protège les bandages avec des sacs en plastique qu’il ferme au sparadrap et me lave dans la baignoire; mais sous la douche, ça doit pouvoir le faire...

— Bah y’a pas de lézard! En plus je la prendrai avec toi, parce que j’en ai bien besoin aussi...

Il goûta une des traces de sperme sur sa poitrine...

— Tiens, ton foutre est moins salé que le mien!

Je rougis un peu, parce que je n’avais jamais goûté à ma semence.

— OK mec, on y va?

Après avoir bien protégé mes «poupées», il se glissa avec moi sous la douche et me savonna tendrement. J’étais vidé, donc je ne rebandais plus mais j’adorais ces sensations que j’essayais de lui rendre en me collant à lui. Ses lèvres s’approchèrent doucement des miennes... Une seconde après nos langues s’entremêlaient dans un baiser farouche, le second de ma vie - le premier avait été avec une fille, dans une soirée. Il dura une éternité...

— Martin, dis-je... Ça me fout les boules quand mon vieux me lave et que je bande devant lui; en plus je crois qu’il est encore plus gêné que moi. Ça t’emmerde si je lui demande que tu me le fasses?

— Pas de lézard, Loïc, si tu crois qu’il va pas se douter d’un truc. Tu vas présenter ça comment?

— Facile! Je lui dirai la vérité, qu’on se douche ensemble au sport, que j’ai l’habitude depuis des années. Mais tu sais, je crois qu’il sera soulagé, il est aussi emmerdé que moi. Tu restes dîner ce soir? On en causera avec mes vieux. Bon là faut que tu me sèches et que tu me passes mon jogging: le VSL vient me chercher dans un quart d’heure pour changer mes pansements. Tu m’accompagnes? Ça dure qu’une demi-heure et au retour on causera avec eux...

— D’acc! Le temps de passer un coup de fil chez moi pour prévenir ma mère...

Ils discutèrent un peu puis il revint:

— Elle est d’accord si je peux rester dormir chez toi: elle ne veut pas que je traverse la ville de nuit.

— Pas de lézard, tu l’as déjà fait...

Je rougis... Il avait souvent dormi à mes côtés mais jamais nous ne nous étions touchés... Une question me trottait par la tête... Il fallait que je me libère.

— Martin, tu crois que... je suis pédé? Parce que j’ai jamais joui comme tout à l’heure, tu sais...

Il me regarda, sérieusement, cette fois.

— Loïc, tu sais... Moi ça, je le fais souvent avec un mec. Ça m’empêche pas de triquer en pensant aux filles. Et... Bon jure-moi de garder le secret... L’année dernière... la mère de Luc a déliré et elle m’a dépucelé. Crois-moi, j’ai pas eu de mal à lui faire l’amour trois fois de suite alors que j’avais que quatorze ans et demi et j’ai adoré ça. Si j’ai pas recommencé c’est qu’elle a plus jamais voulu... et je flashe grave sur des filles! Moi je sais que je suis bi! Et toi, t’as fait des trucs avec une nana?

Je rougis.

— Rien encore... Cathy m’a bien branché à la soirée de mon anniversaire, on s’est même roulé un palot, elle m’a tripoté la bosse et moi ses seins, j’étais fou d’excitation, mais j’ai pas osé...

— Bah on dirait que t’es bi aussi, rigola-t-il. Et très con parce t’as une gueule d’ange et un petit corps d’athlète, et en plus tu hais te fringuer, et t’es pas con. Je vois bien comment elles te matent. T’as déjà raté de sacrées occases, je suis sûr. Bon, au final c’est génial! À nous les nanas et quand on n’en aura pas, on se fera plaisir ensemble. De toute façon, Loïc, ajouta-t-il plus bas, enfin sérieux, t’es mon meilleur ami, avec ou sans le sexe. Mais je crois qu’on oubliera jamais cet après-midi, quoiqu’il arrive.

On s’embrassait quand la sonnette retentit. C’était l’ambulancier. FIN

A TOUS LES COMPLEXéS :

Sois bon envers toi-même.

Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles: tu as le droit d’être ici. Et même si cela n’est pas clair en toi, sois assuré que tout se passe dans l’univers selon ses règles propres. Par conséquent, sois en paix avec ton Dieu, quelle que soit en toi son image. Et par-delà tes peines et tes aspirations, au milieu de la confusion de la vie, sois en paix avec ton âme. Max Erhmann Le manuscrit de Baltimore.1927

 

 

Par LOIC2007 - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Lundi 24 février 1 24 /02 /Fév 01:12

tous ces pauvres mecs que tu n'intéresses pas, qui te regardent comme si tu étais transparent... TEMOIGNAGES

L'APPEL DE LA DRAGUE EN PLEIN AIR

 

   

 

...tous des connards prétentieux qui ne savent pas ce qu'ils perdent ! De plus en plus nombreux chaque année, malheureusement...QUI TE FONT TE DEMANDER SI TU N'ES PAS MOCHE ? MAL FOUTU ? REPOUSSANT ? TROP VIEUX POUR EUX ...MEME S'ILS SONT VIEUX AUSSI, PAS MIEUX QUE TOI EVIDEMMENT ...

 

 

Tu avais décidé de ne pas sortir ce soir. Trop de déceptions. Trop de temps perdu. Trop d'allumeurs, trop de mecs qui ne savent pas ce qu'ils veulent. ou alors des vénaux incompétenyts et maladroits...escrocs ! Trop de soirées où tu rentres chez toi avec les couilles aussi pleines qu'avant de sortir. Parfois il fait froid dehors... Et il y a aussi le sexe virtuel. Jamais de déception, entre les vidéos pornos qui correspondent à tes fantasmes ou les histoires érotiques qui racontent tes désirs souvent inavouables. Certains gays sont tellement formatés, tellement coincés et hypocrites qu'ils devraient être hétéros. Tu n'oses pas toujours dire à ton partenaire d'une fois ce qui te fais vraiment tripper... A quoi sert de jouir à moitié ? On ne jouit pas que de sa bite. L'orgasme est aussi une activité intellectuelle... Mais oui ! Je suis favorable à la création d'un permis d'homosexualité. Trop de types n'ont rien à faire parmi nous... Bien-sûr, je suis prêt à donner des cours approfondis et tout disposé à faire passer les examens finaux pour la validation indispensable. Il est évident que je possède toutes les qualités requises et je suis un pédagogue inépuisable. Je ne te permets pas d'en douter ! Le "milieu" est un mal nécessaire qui n'enthousiasme personne, exceptés les patrons des établissements. Les lieux de drague ? Toujours les mêmes habitués. Les mêmes têtes, et plus grave, les mêmes queues. Assez déprimant de croiser vingt mecs et de se rendre compte que tu le les as tous déjà faits. Tu as l'impression d'être une salope. Tu n'es pas une salope, tu es juste, euh, comment dire... Et il y a aussi tous ces pauvres mecs que tu n'intéresses pas, tous des connards prétentieux qui ne savent pas ce qu'ils perdent ! De plus en plus nombreux chaque année, malheureusement...

 

Alors ce soir, pour toutes ces bonnes raisons, tu as décidé de rester chez toi. Tu as la possiblité de te faire jouir plusieurs fois et du Sopalin, que demander de plus ? Aucune main ne te branlera jamais comme la tienne. Il y a entre elle et toi une si vieille histoire d'amour ! On n'oublie jamais son premier partenaire. Que tu sois droitier, gaucher ou ambidextre (petit veinard, petit pervers !), ta main ne t'a jamais déçu. Aucune brouille entre vous deux, mon cher petit branleur. Elle fut ton premier amour, rassure-toi, elle sera aussi ton dernier.

 

Cependant, tu sens une chaleur t'envahir. Une chaleur qui vient du ventre, envahit tout ton corps et te monte à la tête. Ta (bonne ?) résolution flanche.

Rien ne vaut une bonne bite... Tu oublies tout d'un coup, la perte de temps, d'argent parfois et tu te concentres sur des souvenirs gratifiants... Ce mec taillé comme un athlète, le regard menaçant qui était en fait une salope de première catégorie... Et ce bel hétéro marié, qui a voulu que tu le baises violemment dans sa voiture. Qu'est-ce qui t'excitait le plus ? Son joli petit cul étroit ou la vue du siège bébé à l'arrière du véhicule ? Cet étudiant à l'apparence timide, mais monté comme un taureau, qui a vite perdu sa timidité devant ta bite... Ou ce duo qui a "dégénéré" en trio... Ton cul s'en souvient encore. Tant de bons souvenirs... Tu ne les aurais jamais connus en restant chez toi. Tu te dis maintenant que ce serait bête de rester enfermé. L'aventure est peut-être au coin du comptoir d'un bar, dans un fourré d'un bois, derrière les chiottes d'une aire de repos. L'aventure ou l'amour. Car tu restes un grand romantique, sans te l'avouer. Avoir un cul et une bite toujours disponibles à la maison, c'est quand même pratique. Cela évite de faire les courses. Sortir les poubelles à tour de rôle, adopter un chien, choisir des étagères à deux chez Ikéa, tu as beau être un animal sexuel solitaire, tu te laisserais en fait facilement apprivoiser par cet idéal.

 

La bite t'appelle, comment résister ? Toutes les bites sont belles (sur un air connu). Les grosses, les longues, les poilues, celles aux couilles rasées, les bites qui penchent à droite ou à gauche, celles qui sentent le savon ou embaument le mâle, celles qui se collent au ventre en bandant et celles qui forment un angle droit, les circoncises ou non, celles qui versent une larme d'émotion et de gratitude dès le début, les blanches, les noires... Quelle émotion, quel suspense quand tu t'approches d'un nouveau mec. Quelle émotion quand il te déballe direct la marchandise pour achever de te convaincre. Quel suspense quand une jolie bosse te laisse augurer d'un trésor caché. Tu touches cette bosse qui se développe sous l'effet de tes doigts affamés. Tu t'énerves sur son ceinturon (certains sont aussi pénibles que des ceintures de chasteté), tu baisses son pantalon, caresses son slip et le baisses enfin. Ton coeur bat très vite. Ta queue tremble, s'agite et se durcit encore. Tu embrasses cette bite qui t'a fait rêver. Tu es rarement déçu, elle t'a excité par avance. Une grosse bite ? Génial ! Et bon appétit. Une petite ? C'est aussi excitant de jouer avec et de l'avaler toute entière sans en laisser une miette. Tu as assez d'expérience pour savoir qu'une belle bite n'est pas forcément une grosse bite. Bien évidemment, ton partenaire s'occupe de ton dard et lui rend l'hommage qui lui est dû. La bite est magique. L'homme le plus froid et le plus réservé devient une salope qui t'excite avec ses mots salaces. Cet homme autoritaire qui impressionne son entourage aime se mettre à genoux devant la première belle queue venue. La tienne par exemple. Certains attendent de recevoir la récompense logique et légitime à leur pipe, le jus. Son goût est différent suivant les mecs. Ce qui compte en fait, ce qui t'excite, c'est l'idée qu'il se vide en toi, t'utilise comme un bon vide-couilles. Dans la plupart des cas, tu ne lui parles pas (non, désolé, les "ouais", "ouiiiiii", "t'es doué", "aaahhhh c'est gros ", "c'est bon" ne comptent pas), tu ne le reverras pas, mais ton amour-propre et ton amour du travail bien fait te poussent à le satisfaire pleinement. Cela t'amuse toujours, les mecs qui disent "merci"... Merci de quoi ? Toi aussi tu as pris ton pied. Et une bite dans le cul, ce n'est pas mal non plus ! Te faire ramoner au rythme de ses coups de queue jusqu'au moment où tu fais sauter la cervelle du petit chauve...

 

Non, je n'irai pas, je n'y vais plus...Tu résistes encore mais pour la forme. Tu veux croire que tu as de la volonté. Alors tu transformes de bonne foi ta faiblesse en un acte de volonté. Tu ne cèdes pas à tes instincts, non, tu fais l'effort d'aller vers les autres. Tu es mignon, je t'aime bien... Tu prends une douche, tu t'admires dans un miroir. Les couilles rasées de près, les joues en revanche bleuies par une légère barbe, tu es sexy à souhait. Fais-moi confiance. Tu enfiles un boxer propre (au cas où il te ramènerait chez lui pour que tu enfiles antre chose...). Tu mets dans ton blouson des capotes, ça peut servir. Tu es prêt, ça y est, ce soir comme tant d'autres soirs passés et à venir, tu obéis à l'appel impérieux de la bite...

Par suceurfou - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Jeudi 20 février 4 20 /02 /Fév 02:38

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Par wannonce - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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Jeudi 20 février 4 20 /02 /Fév 02:18

Il me jure que ce n’est pas si terrible que ça, en fait 

 

Il y a environ un an, j’ai répondu à une annonce Craigslist d’un type qui cherchait une coloc. Je suis tombée sur un type très sympa, qui disposait d’une belle chambre libre dans un grand appartement. J’ai emménagé chez lui, et on s’est de suite bien entendus. Ce n’est qu’au bout d’un moment que j’ai remarqué qu’il n’arrêtait pas de s’acheter des trucs, mais qu’il ne bossait jamais. J’ai pensé que c’était un dealer, ou alors un fils à papa, mais ces deux hypothèses ne tenaient pas vraiment le coup : il était complètement clean, et il ne passait jamais un coup de fil à ses parents. Au bout d’un moment, je lui ai posé la question. En fait, il est gigolo, et il a pas mal d’anecdotes intéressantes à raconter.

Quand as-tu commencé à faire le gigolo ?
Justin : La première fois que j’ai couché avec quelqu’un pour de l’argent, j’avais 20 ans, mais je l’ai fait en dilettante jusqu’à 23 ans. Après, c’est devenu une part importante de ma vie.

C’était une décision consciente, genre « tant que je couche, autant le faire pour de l’argent » ?

Oui, des potes à moi le faisaient déjà et ils m’en avaient parlé. Je me suis dit : puisque je le fais, autant le faire pour un peu de thunes. Je n’avais pas forcément besoin de le faire, c’est plus quelque chose que je pouvais faire.

La première fois, comment ça s’est passé ?
Le premier type avec qui j’ai couché pour de l’argent me l’a spontanément proposé. On s’était rencontrés sur un site, adam4adam. C’était un homme de 43 ans, marié avec des enfants, et il m’a dit qu’il fallait qu’on soit discrets, évidemment. Il m’a donné rendez-vous à Clever Park, à Robinson, qui est le parc où j’ai joué toute mon enfance.

T’as eu peur en t’aventurant dans ce business ?
Je n’ai pas vraiment réalisé que j’en faisais mon métier, c’était plus un truc pour me faire de l’argent de poche. Quand j’ai rencontré le type, j’étais hyper nerveux, mais ça m’a aussi filé une bonne décharge d’adrénaline. Il m’a filé une centaine de dollars. C’est cette décharge d’adrénaline qui m’a poussé à m’impliquer plus.

Tu considères ça vraiment comme un métier ?
C’est un truc qui me permet de gagner ma vie, mais je ne veux pas en faire une carrière. Mais au final, on devient insensible. Tu prends une profonde inspiration, tu te dis que ça sera bientôt fini, et tu penses aux billets qui t’attendent.

Mais c’est ta seule source de revenus ?

Oui, mais ce n’est pas quelque chose qui me définit, je suis un peu plus qu’une belle gueule et qu’un bon trou.

Comment tu trouves tes clients ? Et comment tu les sélectionnes ?
Je les trouve grâce à Internet (adam4adam et Craigslist quand je suis désespéré), ou parfois par le bouche à oreille. Des clients me conseillent parfois à d’autres clients.

Et comment tu opères une sélection ?

Ils doivent toujours me filer leur numéro de téléphone, et je les appelle en cachant mon numéro. Après les avoir rencontrés, si tout est OK, je leur file mon numéro s’ils veulent me revoir. Je les oblige toujours à m’envoyer quatre photos d’eux, avec différents arrière-plans ou différentes poses. Comme ça, je sais à qui j’ai affaire.

Et tu prends d’autres mesures de sécurité ?

Au début, quand je vivais à Pittsburg, j’avertissais toujours un ami de ma destination, mais ici, je n’avais pas de pote à qui me confier, donc je m’en suis tenu à des rencontres dans des lieux publics comme un Starbucks, dans la rue, à l’arrière d’un taxi, jamais chez eux.

Tu as des limites, ou est-ce que tout a un prix ?
Pas de sang, pas de merde, pas de bareback.

T’as une grille tarifaire, ou le prix varie à la tête du client ?

Je prends 200 $ de l’heure. Des spécialités comme l’uro, le crachat ou les coups de poing, je les facture 100 $ de plus. S’ils veulent passer la nuit, c’est de 1 000 à 1 500 $. Certains m’indiquent ce qu’ils peuvent se permettre, et j’accepte parfois de négocier, surtout avec les réguliers.

Quelle sorte de rôle jouent les drogues dans les rencontres ?
Les drogues sont primordiales. Beaucoup de mes clients consomment des drogues, pas tous, je dirais la moitié d’entre eux. Certains types sont des hommes mariés et sobres du New Jersey, d’autres sont des vieux de 72 ans qui carburent à la crystal meth et aiment se faire fesser. Pour moi, les drogues sont quelque chose de festif qui font partie de ma vie personnelle, mais quand je fais l’escort, je dois être au mieux de mes capacités et garder mes esprits.

Et le poppers ? T’en prends souvent quand tu bosses ?

À ma connaissance, c’est un truc que prennent les gays quand ils baisent, et c’est aussi banal qu’avoir des préservatifs à la maison. Quand tu sors de ton appart, tu prends tes clés, ton portefeuille, ton téléphone. Quand moi je sors de la maison, j’ai mon lubrifiant, mes capotes et mon poppers. Le client amène ses accessoires. Le poppers ne te fait pas planer assez longtemps pour que ce soit dangereux, à l’inverse des autres drogues.

C’est quoi, le profil type de tes clients ?
J’ai tout eu, du gay de base qui veut décharger, au juge qui veut me frapper, au docteur qui fume de la meth, un professeur qui aime l’uro et le propriétaire d’une usine de poulets qui adore se faire fister.

Ta pire rencontre ?
La pire, c’était un type de 150 kg que j’ai rencontré dans un motel du Kentucky qui voulait que je lui recouvre la tête d’une capuche et que j’attache des électrodes à ses organes génitaux. Aussi, il n’était pas circoncis et ça sentait le fromage.

C’est quoi la situation la plus embarrassante dans laquelle tu t’es retrouvé ?

J’ai rencontré un gars dans un bar de Palm Beach qui s’appelait Cashmere. On est allés chez lui, il a pris de l’héroïne pendant que je me douchais. Quand je suis retourné dans le salon, il était assis sur le canapé, complètement défoncé. Je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir, et il m’a dit qu’il était à fond dans l’étranglement, les trucs dans le genre. Je lui ai demandé à quel point, il m’a sauté dessus et m’a étranglé furieusement pendant deux minutes. Après, il s’est excusé et je me suis cassé, sans même essayer de pécho la moitié du fric qu’il me devait encore.

Et les expériences plaisantes, alors ? Parce qu’on parle quand même de sexe.

Honnêtement, ça ne m’excite pas du tout de faire l’escort. Physiquement, c’est même le contraire. Mais la gratification immédiate – l’argent – me motive. Je peux me faire plus en une seule journée que beaucoup en un mois.

Y’a des trucs que tu regrettes ?
Je vis ma vie sans regrets. Il y a des trucs qu’évidemment, j’aurais aimé ne pas avoir faits, mais chaque expérience te rend plus intelligent. Tout est apprentissage.

Se prostituer comme tu le fais, ça veut dire mener une double vie. Tu te vois continuer comme ça longtemps ? T’as des plans pour le futur ?

Je connais des types d’une cinquantaine d’années qui continuent à être escorts ; c’est quelque chose que je pourrais continuer à faire pendant le reste de ma vie. Est-ce que je veux en faire un métier ? Nan. Je ne sais même pas où je serai demain. J’aimerais bosser dans l’industrie de la mode, mais comme j’adore faire la fête… C’est Amanda Lepore qui dit : « Je n’ai pas le temps de travailler, je suis trop occupée à me préparer pour sortir. »

T’as des amis ou de la famille qui savent ? Comment t’imagines leur réaction ?
Ma mère sait, et elle y est formellement opposée, mais elle comprend que je fais ce que je veux. Elle ne sait pas tout en détail, mais elle sait. Une poignée d’amis proches savent aussi, et me soutiennent, du moment que je ne prends pas de risques. Si mon père, qui l’ignore, l’apprenait, je pense qu’il serait plus inquiet qu’en colère. Pour la société, c’est un des trucs les plus dégradants qui soient, mais qui a le droit de dire ce qui est la norme, et ce qui ne l’est pas ?

Quand est-ce que tu vas te décider à te lever avant trois heures de l’après-midi pour faire la vaisselle ?
J’y compte pas pour le moment.

 

 

 

 

Par VICE - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
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