la-prostitution-masculine

Photos d'ambiance :  Scènes de la vie "d'artiste"

[...]Dans la salle des toilettes, ça gueulait dans une cabine. Roger fut d’abord surpris mais le jeune lui dit:

— T’inquiète, c’est Mounir, un de mes confrères! Il adore faire ça hard et il est bruyant!

Un jeune arabe se faisait prendre sauvagement par un homme de cinquante berges pendant que 4 à 5 autres hommes se branlaient devant la porte ouverte et attendant leur tour pour pouvoir l'enfiler également. Roger trouva ça assez excitant de voir sans participer. Le jeune beur gigotait du cul en parlant beaucoup:

— J'aime sucer des bites bien dures, j'aime sentir le sperme qui remplit ma bouche. J’aime sentir des mastards dans ma chatte... J’aime me faire tirer à la chaîne...Allez-y ! 

— Pas de problème! lui répondit l’enculeur. C’est ce qui t’attend !

Avec l'autre jeune, Roger est entré dans le premier wc à gauche. Il s’est approché du mec et a commencé à le caresser sous son tee-shirt en descendant vers son short. Sa tige était raide...

— Tu ne fermes pas le verrou?

— Non!

— Je croyais que tu aimais pas qu'on te regarde!

— Ça vient de changer! J’ai envie qu’on me voit en train de te...

— J’adore!

— Alors c’est parfait pour les deux!

Le type, là, au fond, ne se branlait pas. Il regardait seulement. Roger était persuadé de l’avoir déjà vu. Il essaya de se concentrer pendant que le prostitué s’attaquait à sa bite bien dure. Se retrouver dans cette position avec un garçon à ses pieds en train de lui dégorger le poireau... lui rendit la mémoire! Le type bizarre qui ne faisait que mater c’était le voyeur de l’allée! 

Le jeune semblait trouver sa bite à son goût car il ne pipait plus mot. Il dégustait. Avec ses deux mains, il dégrafa le pantalon de Roger qui tomba sur ses chaussures. Roger joignait l’utile à l’agréable: il observait le manège du voyeur et subissait les caresses du jeune gars. Celui-là allait obtenir ce qu’il voulait. Roger saliva sur ses doigts, se pencha et pénétra le petit trou du garçon. Serré mais souple !  Soudain par un trou dans la cloison, une bite peu excitante apparut. Personne ne s’en préoccupa mais ça participait à l'ambiance de folie. Les mains du jeune gars parcouraient tout le corps de son client, ne négligeant aucune partie. Au bout d’un moment, Roger l’obligea à se relever et il colla son corps au sien.

— J’ai envie de tes lèvres! J’espère que tu embrasses?

— D’habitude, non! Avec toi, je vais faire une exception. T’es pas comme les autres, toi.

Ils se sont embrassés longuement et le gars est ensuite redescendu pour engloutir l'énorme queue de Roger.

— Elle te plaît, hein?

— Elle est géniale.

Il bouffait la grosse queue et passait sa langue partout.

— Tu la veux dans le cul?

Mais c'était pas dans son plan :

— Non, je veux que tu me craches à la gueule! lui répondit le prostitué. Balance-moi ta purée... 

Roger tint encore un peu le coup mais il était si excité qu’il finit par tout lui balancer sur le visage. De longues coulées de sperme descendaient le long de son cou.

Sammy cria .

— Eh, mec! T’as cinq minutes?

— Même trente! Je suis crevé. J’ai déjà fait quatre clients.

— C’est Akim qui va être content.

— Akim, je l’emmerde!

— Cause toujours!

— C’est bon de croire qu’on peut être libre...

— On l’est dans sa tête, non?

— De moins en moins!

— À propos, mon loulou, j’ai rencontré un vrai beau mâle, monté comme un taureau... [...]

et toujours de nouveaux arrivants à la tasse

— PAS SI SI SÛR que tu jouisses du cul comme ça !...Ecoute ça : " il commença à bouger sa bite entre mes fesses. Très vite, ce fut bon, très bon. Il accélérait et j'encaissais sa queue bien dure, et je bandais. C'était l'extase. Puis il sortit sa queue et gicla sur mon dos. Avec un soupir de contentement, il grogna :

 —Tu n'as pas joui cette fois-ci, mais tu vas apprendre à jouir du trou.

Puis il me remit deux doigts dans le cul et me dit de me branler. En quelques secondes, je me transformais en fontaine de sperme..." Ce n'est pas ça jouir de l' anus ! n'est-ce pas ? 



— C'EST JOUIR SANS MEME SE TOUCHER : quand ça vient du trou tu le sens et tu es subjugué. Pour ça,  le baiseur, (l'enculeur, l'actif) doit lui-même apprendre". Ce savoir-faire est d'abord accessible par les hommes qui soit sont longs à venir, soit ont appris à se contrôler. A partir de là, un gars qui n'est pas pressé, qui sait mettre du velours dans sa pénétration, qui t'a à l'usure, va réussir à te mener au ciel pour un orgasme long profond, un orgasme du coeur où les respirations, les "ventousages" des bouches deviennent fusionnels. Et c'est important ! 

— J'ai vu des vidéos d'accouplements gays et même hétéros où le passif part vraiment dans un voyage de plaisir prolongé

— Tu es un magicien. Moi, à un moment de ma jeunesse, je me mettais au lit  en journée, je fermais les yeux et je me masturbais. Arrivé au plateau, j'essayais de ne pas redescendre et de rester au bord de l'orgasme éjaculatoire jusqu'à atteindre le point de non-retour où c'était quand même la fin et je restais longtemps à rêver . Actuellement il y a un de mes godes, pas le plus gros du tout, pas le plus long, pas le plus rigide, qui me conduit à un état très proche de ce que tu décris. Mais il me faut entrer dans un état second, évoquer des bonheur sexuels et psychiques passés pour atteindre une extase satisfaisante. Egoïstement je me verrais bien passer ma vie avec toi...mais je dirais...tu te dois au monde

—  « En tantra, l’orgasme ordinaire est un sommet. L’homme monte assez vite et redescend assez vite. Et puis, il y a l’orgasme de la vallée qui n’est pas éjaculatoire. Il peut durer plusieurs heures. Mais jouir du cul tu l'as vu, c'est tout simple. Je m'installe en toi en te caressant de l'extérieur et de l'intérieur. Mon gland est placé sur la petite bosse de ta prostate dans ton intérieur et je vais et je viens insensiblement. A un moment, à ta façon de me répondre vaguement quand  je te parle, à la régularité de ta respiration, je sens que tu montes vers l'orgasme. L'idéal est que cette montée dure le plus longtemps possible.Je crois qu'il ne serait pas nécessaire que tu éjacules, mais inexorablement ça va arriver. Nous sommes, hélas, faits ainsi et, sauf à reprendre à zéro, ça met fin à ton rêve. Je ne suis pas du genre (comme j'en connais) qui expédient le plus vite possible leur partenaire vers l'éjaculation pour s'en débarrasser. Les clients ne pensent pas que je pourrais les ramener à l'extase et ne me demandent pas de recommencer. Tant mieux quand même, ils me rappellent. Je gagne ma vie en rencontrant un maximum d'amateurs. Je reconnais que c'est loin de me déplaire. Leur plaisir est le mien.  »  



 Juste ce qu'il faut...