Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 02:07

‘En tant qu’hommes, on peut avoir un plaisir fou par son cul en faisant appel à certaines glandes. C’est comme si on jouissait de la bite mais multiplié par mille.’

 

 

 

Cette chambre d’hôtes gays accueille des amateurs de fist, qui consiste à pénétrer l’anus avec la main. Rencontre.

(Du Cher) Ce n’est pas une maison bleue accrochée à une colline. C’est une maison d’hôtes pour passionnés du « fist », cette pratique qui consiste à introduire une main, voire un bras dans un vagin ou un anus. C’est aussi un mythe, une maison qui étonne ou fait rire par son concept. Nous avons voulu rencontrer François, Juan Carlos et Nelly, les penseurs de ce lieu original.

Au téléphone, François prévient tout de suite :

« Bon, il y a déjà des journalistes qui sont venus, mais c’était des hommes. Vous, vous êtes des femmes... Ça va donc être compliqué d’assister à une soirée, nous n’avons pas envie de mettre nos clients mal à l’aise. »

Avec Audrey, photographe de Rue89, nous nous sommes donc rendus dans cette maison d’hôtes gays du Cher en pleine journée. Il faisait très beau. Les champs de colza coloraient d’un jaune magnifique le pays. Et puis il y avait des vaches et des moutons.

On arrive à Assigny, village de 174 habitants, où est située la Fistinière. Ici, pas de problème. La maison d’hôtes est très bien acceptée. François nous accueille. Il est imposant, souriant, porte un pantalon en cuir noir et vous regarde de ses yeux bleus aussi limpides que ceux d’un chat. Il explique :

« Le site internet est connu par beaucoup de gens aux alentours, il y a pleins de gens que ça amuse, mais tout le monde se rend compte qu’on est pas des vieux monstres pervers, qu’on est des gens comme tout le monde. »

La maison, qui date du XVIIe siècle, est tout à fait charmante.

 


Juan Carlos et François dans le jardin de la Fistinière (Audrey Cerdan/Rue89).

 

Thé et petites meringues à la noix de coco

« Je vous présente Juan Carlos, mon mari », nous dit François avant de nous inviter à nous installer dans le grand salon de la maison. Nelly, sa sœur, s’installe également à leurs côtés. Ils ont ouvert la Fistinière en 2007, et la tiennent depuis tous les trois. On boit du thé, avec quelques meringues à la noix de coco. Commence alors le récit de leur aventure.

Leurs parcours sont improbables. De ceux qui troubleraient une conseillère en orientation. Avant de créer la Fistinière, François tenait une boutique de robes de mariées, Juan Carlos faisait des prothèses orthopédiques et Nelly avait une brasserie.

D’origine colombienne, Juan Carlos arrive à Paris en 1984. Il y découvre la pratique du fist :

« J’aime bien faire la comparaison avec l’éducation grecque où il y avait l’expérimenté, pour ne pas dire le vieux, qui apprenait au jeune. Dans le fist, c’est souvent ça. On apprend avec quelqu’un qui le pratique déjà. »

A la fin des années 90, il rencontre François. Les deux hommes tombent amoureux et très vite cette pratique occupe une place de choix dans leur vie sexuelle. Une vie sexuelle complètement affranchie de la gêne et des tabous qui y sont liés. François et Juan Carlos racontent tous les deux avoir un autre mari et ne jamais être jaloux.

A l’époque, ils rêvent d’un endroit convivial et hygiénique, dédié à leur activité manuelle favorite avec à disposition tout le matériel nécessaire. Des préservatifs aux gants en latex. Cette idée ne va bientôt plus les lâcher. (Voir et écouter le diaporama sonore en haut d’article)

 


François, Juan Carlos et Nelly à la Fistinière, en avril 2011 (Audrey Cerdan/Rue89).

 

En famille

Enthousiaste, Nelly rejoint vite son fère et Juan Carlos dans le projet. « Sa vie n’était alors pas très rose » raconte François. « Elle avait un mari avec qui ça n’allait pas très bien. » L’alliance familiale ne pose problème à aucun d’eux trois. Juan Carlos explique :

« Dans leur famille, la sexualité n’est pas du tout taboue, je pense que ça leur a permis d’être ouvert à beaucoup de choses. »

L’organisation du gite est bien rodée. Les garçons s’occupent de l’accueil des clients et de s’assurer que les soirées se passent bien. :

« Si quelqu’un a un peu trop bu, on le surveille car ça peut vite devenir dangereux. »

A Nelly revient la grande responsabilité de la faire la cuisine :

« Avant de faire un fist, on fait un lavement, donc il faut des aliments faciles à évacuer. Avec les tomates, il faut enlever la peau et les pépins. Il faut toujours des féculents. »

Nelly : « J’aime beaucoup fister des garçons »

Pendant les soirées du samedi soir, à l’origine, Nelly n’était pas censée pénétrer la « chapelle fistine », située à l’étage, dans le grenier de la maison. Mais un jour, un client le lui a demandé. Après s’être assurés que cela ne posait pas de problème aux autres clients, François et Juan Carlos ont accepté que Nelly vienne assister à leur « jeux » :

« J’aime beaucoup fister des garçons. La première fois que je suis montée, François et Juan Carlos étaient un peu gênés, moi pas du tout. »

Elle comprend les garçons

Juan Carlos réagit :

« Je l’ai toujours dit : Nelly c’est un pédé dans un corps de femme. Sexuellement, nos pratiques ne lui ont jamais posé de problèmes. Elle a cette mentalité très ouverte et accepte que la sexualité soit un jeu. »

François, pour sa part, explique que beaucoup de leurs clients sont bisexuels :

« Le fait de prendre du plaisir par le cul avec une femme, ça les excite. »

« Autour de cet anus, il y a un individu tout de même »

Le plaisir. Dans l’imaginaire collectif, mettre une main dans un anus, c’est plutôt une pratique violente. François et Juan Carlos pensent tout le contraire. Il faut être très doux, justement pour éviter un accident :

« Les intestins c’est très fragile. A l’entrée de l’anus, si on force, il peut y avoir une déchirure, donc une infection. Pour éviter ça, il faut dilater. »

Il raconte le rituel du fist :

« Il faut que les ongles soient bien coupés, limés, même si on porte des gants. Il faut utiliser un bon lubrifiant, attendre que les anneaux et le sphincter s’ouvrent successivement. Et puis autour de cet anus, il y a un individu tout de même, il faut être à l’écoute, savoir si ce qu’on lui fait lui plaît et surtout ne jamais forcer. »

François enchérit :

« On peut y aller doigt par doigt ou assurer la dilatation par massage. Il faut toucher, caresser, voir comment ça s’ouvre et ne jamais brusquer. »

Certains candidats au fist préfèrent une fois sur place ne s’en tenir qu’à un doigt, tandis que d’autres acceptent qu’on les pénètre jusqu’à l’épaule.

« Qu’il s’agisse d’une pénétration de la main ou d’un bras, pour se faire fister, il faut vraiment le désirer fort, sinon ce n’est tout simplement pas possible. “

François et Juan Carlos ne sont pas lassés de cette pratique. Ils parlent d’une jouissance folle. ‘C’est LA jouissance’ dit Juan Carlos en insistant sur le ‘LA’ :

‘En tant qu’hommes, on peut avoir un plaisir fou par son cul en faisant appel à certaines glandes. C’est comme si on jouissait de la bite mais multiplié par mille.’

 


Juan Carlos près d’une installation de fist-fucking (Audrey Cerdan/Rue89).

 

‘Il y a une grande recherche spirituelle dans cette sexualité’

Au-delà de ce plaisir charnel, ils parlent d’une philosophie de vie, d’un art de vivre :

‘Ce qui m’a plu dans cette pratique du fist, c’est le respect absolu qu’il y a entre les deux personnes. Le fait d’introduire la main dans les intestins de quelqu’un, c’est une pratique très intime. Plus intime ça n’existe pas. Tout est dans la confiance et le respect.’

Surprise. A la fin de l’entretien Juan Carlos confesse qu’avant de faire des prothèses orthopédiques et de tenir la Fistinière, il a failli devenir prêtre. Il a été séminariste et se dit encore croyant. :

‘Il y a une grande recherche spirituelle dans cette sexualité. Je trouve de toutes manières que la spiritualité est partout, dans tout ce qu’on fait, on a pas besoin d’être entre les quatre murs d’un séminaire ou d’un couvent pour la vivre. Le message christique c’est l’amour. Aujourd’hui, j’ai l’impression de vivre ma vocation ici.’

Même si Nelly, François et Juan Carlos racontent avoir accueilli des gens du monde entier, la Fistinière ne fait pour l’instant pas de bénéfices. En hiver, ils ont une vingtaine de clients par mois, en été le chiffre s’élève à une centaine de personnes. Les garçons disent tout juste réussir à payer les factures. Ils n’en ont pas l’air moins heureux. Epanouis.

 


Dessin de Baudry.

 

Photos et illustration : Juan Carlos et François dans le jardin de la Fistinière ; François, Juan Carlos et Nelly à la Fistinière, en avril 2011 ; Juan Carlos près d’une installation de fist-fucking

 

 

 

 

 

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 00:04

 mail en or !

jeanmarievaudon@tiscali.it

 20:14 (Il y a 3 heures)
   
A prostitutionmasculine.

cher Ami

L'autre jour j'étais à l'eros center je regardais un filmX dans la salle et deux mecs sont sortis d'une cabine. Un vieux, un jeune très beau. Visiblement ils étaient trop à l'étroit dans la cabine...et ils cherchaient sans doute un public. On les matait. Ils reprirent leur jeu sur les sièges. C'était du fist. Le vieux fistait le jeune, mal installé, qui était pâmé, renversé sur son siège. Le visage crispé, mais heureux, il était ailleurs, les yeux révulsés. Cela dura un moment. Le vieux enfin sortit son poing de l'anus du jeune, tourna un peu sur lui-même, murmura quelque chose comme "Putain il en veut lui..." et, tournant les talons il prit les escaliers et disparut.

Je m'approchai, le jeune était dans les vaps', bien réellement shooté par le fist. Il mit du temps à se lever. Je me mis en devoir de le soutenir, ne sachait nt où il voulait aller. Il me dit "laisse, ça va aller" . Je le suivis à la cabine lui portant son jeans et ses affaires. Il s'assit  la porte de la cabine ouverte et ses jambes dépassant dans le couloir. Il haletait encore légèrement.

Je lui dis : "Putain, toi ! tu m'as étonné.  T'es crevé on dirait, non ? " Il hocha la tête en réponse, continuant, très pâle, à récupérer. J'étais censé être là pour assister sa récup'. En réalité, je voulais savoir des choses sur le fist. Son fist. Son trip.

Il chercha ses cigarettes dans son jeans en boule sur le siège voisin. Il fumait de manière affamée et inspirée. Il était moitié là et moitié dans son trip qui semblait se prolonger. Ca se voyait dans son visage et dans ses yeux encore voilés de plaisir (???). -"c'était bon ?" Hochement éloquent de tête. Je le plaignais et l'admirais, complètement subjugué par la scène. J'avais vu des vidéos, mais c'est pas comme le vrai réel. Il me dit : - "tu comprendrais pas." -"Si ! Pourquoi non ? " Ca y était. Il réussit à me fixer dans les yeux. Il était sorti de son rêve. Il se rhabilla rapidement et prit les escaliers à son tour sans me dire ni au-revoir ni merci. Brusquement je ressentis que, si j'avais été un voyeur privilégié, allant regarder la main dans le cul en gros plan, aussi j'avais été indiscret. Mais bon, je regrettais pas. Je crois que jamais je ne franchirais le pas.

Ou alors il faudrait que ce soit moi aussi avec un initiateur qui sache me persuader, me donner envie.

Claudio, merci pour ton site, ce que j'y lis me plaît. C'est un peu pareil que ce jour-là : le suis voyeur, je vis très fort, émotivement, les récits et tout ce que tu publies sans toutefois arriver aussi loin.

Bonne suite, j'attends tes posts avec avidité. @+

_______________________________________________________________________

Oh, salut Jean-Marie !  Merci ! Ce que tu racontes, pris sur le vif, vaut tous les récits érotiques.

  Là j'avais dans mes archives la confession d'un jeune homme initié au fist en quelques jours avec

un guide plein d'expérience et de savoir-faire (encore un mec mûr).

 

"   — Tu as l’air en forme petit, je vois que tu bandes.

—  c’est le plug.

— Ah, montre ça.

Il se rapprocha du divan et prit la pompe sur laquelle il appuya un bon coup, sans que cela ne change rien. Il eut l’air surpris

— Tu as déjà gonflé au maximum ?

— Ouais, je pense (je me sentais rougir.)

— Tu penses ? J’en suis sûr. Tu es incroyablement doué, petit.

Il se retourna et déplia la bâche étrange qu’il tenait sous le bras. Puis il attacha une sorte de sangle à l’un des anneaux fichés dans une poutre que j’avais remarqués la veille, lorsque je calculais pour m'évader. Il attacha des sangles de la sorte à chacun des quatre anneaux. Je constatai que la matière que j’avais prise pour une toile était en réalité du cuir. Jean se retourna vers moi.

— Voilà, leçon du jour : le sling. Je vais t’y installer.

Il se saisit une nouvelle fois de moi et me déposa sur le dos dans le sling, attachant mes chevilles et me poussant à saisir les chaînes derrière moi, me forçant par là à lui présenter mon cul à hauteur de torse. Dans un grognement, il saisit la base du plug.

— Je vais le retirer

— Non, dégonfle-le, ça ne passera jamais !

— Si si, tu vas voir, détends-toi, je vais y aller doucement.

Et il tira doucement. Pendant quelques secondes, je crus que mon cul allait exploser, puis le plug glissa d’un coup, me laissant complètement vide. Jean émit un sifflement.

— Ton cul est super ouvert.

Il m’enfonça deux doigts qui rentrèrent sans difficulté. C’était à peine si je les sentais. Il en ajouta un troisième, puis un quatrième, et bientôt un cinquième. C’était super bon, mais je ne bandais plus. 

— Encore, encore, le suppliais-je.

— Plus que mes doigts ? alors, c’est ma main. Tu es sûr que tu veux ?

— Oh oui, c’est bon, trop bon. Prends-moi le cul avec ta main.

Il retira ses cinq doigts, puis saisit une bouteille d’un autre lubrifiant que celui qu’il avait utilisé sur le plug. Celui-ci semblait plus visqueux et plus élastique. Il s’enduisit la main jusque sur l'avant-bras et puis repositionna ses cinq doigts devant mon cul. Il les enfonça doucement et je sentis mon sphincter s’ouvrir grand pour les accueillir. Il me dit de pousser, comme pour rejeter ses doigts et je contractai le cul un maximum. Lorsque je relâchai, sa main avança un peu en moi et les articulations de la base de ses doigts glissèrent dans mon cul. Je sentis une petite douleur dans le pourtour de mon cul hyper-dilaté. Mais il maintint la pression et, progressant millimètre par millimètre, il arriva à la base du pouce. Je n’en pouvais plus, c’était trop gros. Il me dit de recommencer à pousser, ce que je fis de toutes mes forces, persuadé qu’il ne passerait pas plus loin… Mais, alors que je relâchais à l’issue de l’effort, il enfonça toute sa main jusqu’au poignet dans mon cul. Je n’y croyais pas vraiment : j’avais une main dans mon cul, l’énorme main de Jean ! Cette pensée et la sensation incroyable dans mon cul provoquèrent une vague de plaisir qui parcourut tout mon corps. De ses doigts habiles il me caressait l'intérieur. J'y voyais trouble. J'étais à lui encore plus que quand il m'enculait de sa grosse bite et, quelques minutes plus tard, par des convulsions hyper jouissives, j’expulsais une quantité que je jugeai hallucinante de sperme.

Jean retira lentement sa main et je me sentis complètement vide. J'aurais eu besoin de tendresse mais Jean se saisit de moi, me libérant du sling pour me laisser tomber lourdement sur le sofa. Il me regarda et m'offrit un énorme sourire. Il rayonnait.

— Tu es très doué. Ca t'a plu ?

— Oui, mais je croyais pas y arriver.

— Tout est dans la tête tu sais. Voilà ! tu deviens une lope, avec une vraie chatte de mec bien souple.

Je rougis à cette phrase. Oui, je devenais accroc à mon cul, ce cul qui était toujours béant et que je n’arrivais plus à refermer sur l’instant, cette énorme cavité qui venait de se prendre la main de Jean."

________________________________________________________

Voilà. J'apprécie comme toi. J'ai jamais fait non plus. J'espère que tu as aimé.

Amitiés @+

J'ai trouvé ça comme photo de fist :

everythingyoucanputin: http://everythingyoucanputin.tumblr.com/

"le regard voilé...il est ailleurs"

bottomfagwhore: My wrecked cunt

"une vraie chatte de mec bien souple"

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : TEMOINS TEMOIGNAGES
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 15:00

 

   Le patron s'appelle Bruno...prêt à me céder à un client...

je me livre à vous comme je me suis donné à eux...

Le patron est là. Seul. Debout devant moi. C’est enfin le moment, où tout peut se décider, où chacun de nous va dévoiler son jeu. Et c’est à lui de commencer. Je suis toujours assis sur le comptoir, mon verre à la main, face à lui. Il me regarde. Comme s’Il n’arrivait pas à se décider. Comme s’Il ne savait pas par où commencer. Comme s’Il hésitait, comme s’Il avait peur. Il sourit légèrement puis en me regardant dans les yeux me dit simplement : “T’es une vraie petite salope toi, pas vrai ?”

“Un ami est venu me rendre visite. Il t’a croisé au bar, Il a très envie de toi. - Qui est-ce ? - Chhh… Ne pose pas de question, d’accord ? - … - D’accord ?” Comme je fais mine de me retourner, Il m'en empêche. “Tu es d’accord ? insiste-t-il -

…je réponds - ouihhh. La voix empreinte d'émotion”
Mais j’en tremble presque. De peur ? Ou d’excitation. A ce point, je ne sais plus.

 

- Chhh… c'est un ami, tu le connais aussi.

J’entends du bruit derrière moi. Des pas qui s’approchent, le bruissement de vêtements qu’on défait. Montée d’adrénaline. Des mains se posent sur mes fesses. Caresses. Mon dos. Mes seins. Plus rien. Le patron a reposé mon visage contre le comptoir. Une main posée sur mes cheveux Il regarde l’autre.

Douleur fulgurante. Il m’a frappé. Sur les fesses. Du plat de la main, il m’a frappé. Et il recommence. Encore et encore. Chaque fois, mon corps bute contre le bois du bar et m’arrache des cris aigus. Je ne cherche pas à les retenir. Je connais ce genre d’hommes, je sais que ça l’excite. J’ai mal mais c’est supportable. Il retient ses coups. Mais continue. Encore. Encore. Ça brûle. Je serre les dents. before, during and after. I’d love to be whipped and punished
Je n’aime pas ça. Il ne s’arrêtera que quand mes fesses auront atteint la teinte recherchée. Un rouge vif. Luisant. Il ne me touche pas. Sauf du plat de sa main. Il frappe. Encore. Encore. Les larmes commencent à monter. Je ferme les yeux. Le patron, caresse mes cheveux. Et l’autre continue. J’ai l’impression que ça dure depuis de longues minutes déjà. Et il continue. Et cette fois, je pleure tout à fait. J’ai arrêté de crier et ne pousse plus que quelques gémissements.

Et puis il s’arrête. Enfin. Je sens qu’il approche son sexe de mon orifice. Je ne suis plus du tout excité maintenant. Il me pénètre. Brutalement. Profondément. M’arrachant à nouveau des cris. Il commence un lent et profond va et vient. Je ens et ne vois pas. Dans ma tête j'imagine des images en gros plan Son sexe me paraît épais, je me sens déchiré.

eatsuckfuck: torontojock: (via poztony, poztony, bb-ironflat) you watch it go in and out real good, when it gets nice and juicy you can taste it(via torontojock)(via eatsuckfuck) The glow in his eyes, as he watches his father fuck his twin brother, is just, priceless! Je me dédouble en pensée ...j'imagine en gros plan son gros sexe me pénétrer

Et il accélère. Il me baise fort. J’ai mal mais la situation m’excite et je commence à y prendre plaisir. Je plonge mon regard voilé dans celui du patron. Il me dévisage, guette le froncement de mes sourcils, ma bouche qui se déforme dans l’étreinte. Je ne le quitte pas des yeux. C’est comme si c'était avec lui que je baise vraiment. L’autre continue à me pilonner tantôt plus vite et tantôt langoureusement, tandis qu’il caresse doucement mes cheveux. Enfin Il m’embrasse à pleine bouche. Je le ventouse et m’accroche à sa bouche comme tout à l’heure à sa bite, comme un naufragé

 

Le voilà qui s’arrête. Il se retire. Je sens qu’il maintient mes fesses fermement écartées tandis que sa langue s’approche de mon trou. Il la glisse doucement sur le haut de mes cuisses. La caresse est douce alors que mon cul me brûle. Il remonte lentement. Je sens mon anneau se gonfler d’excitation quand il s’y pose délicatement. Je tressaille. Il lape. Il fait ça bien. C’est rare, des hommes qui sachent me prendre. Comme ça. C’est… si bon. Je suis totalement immobilisé. Mon torse contre le bar, mon visage dans Ses mains, mes yeux dans les Siens. Mes jambes maintenues dans les mains de l’autre, à la merci de la jouissance. Qui monte. Tranquillement. Sans un faux mouvement. Est-ce que ? Oui. Il glisse une main vers mes fesses. Il va le faire. Il glisse un doigt dans mon cul. S’il continue, c’est sûr je vais jouir.

Mais il s’arrête. Se relève. Son doigt toujours en bonne place. De l’autre main, il continue de caresser ma verge. Je sens mon anus se dilater progressivement. Est-ce qu’il va... ? Je crois qu’il va le faire. Il crache.iammegadaddyissues: After all of Daddy’s guests have satiated themselves with my worn-out hole, when i’ve been fucked so long and hard and deep that i can no longer keep my pussy closed … that’s when Daddy takes His pleasures. Daddy loves a wet, sloppy, loose hole. As for me, i’m too exhausted and sore to move.

Je sens que son doigt glisse, de mieux en mieux, de plus en plus profondément. Je veux qu’il le fasse. Je gémis. J’ai envie de lui crier de le faire. Mais. Ce n’est pas mon rôle. J’attends. C’est ce que je dois faire. Il prend son temps. Je crois qu’il a senti mon impatience. Il veut me torturer un peu. C’est son rôle, à lui. Et enfin… il m’encule.
J’ai peur qu’il me fasse mal mais je suis tellement excité que je doute que ça puisse arriver. Je sens enfin sa pine. Dans mon cul. Il pénètre lentement mais avec assurance. En moins d’une minute il est chez lui. "Hold him tight" said Uncle Ben as he kept pushing his fat 8 inch thick dick in my boy hole. Uncle Blake tightened his grip on my wrists as he watched his brother pushing his deep into their nephew’s boy hole. His rock hard dick twitched with anticipation as he too will bury his dick deep into the boy’s pussy. Held under their weight the boy squealed like a pig as he thought of the moment when his father asked his brothers to fuck the gay out of his son. Sa main toujours sur mon sexe. La langue du patronqui me maintient et que je suce. Je suis plein. Et heureux. Je crois qu’Il commence à se branler. Et l’autre accélère. Accélère encore. Si ma bouche n’était pas obstruée, je hurlerais pour de bon. Mon plaisir monte et monte. A ce moment, la seule chose que je redoute c’est qu’il s’arrête. Je vais jouir. Je me prends à rêver qu’il jouisse dans mon cul. C’est tellement excitant.
C’est si bon, tout ce qu’il y’a dans ma tête c’est “Mon dieu que j’aime me faire enculer !” L’autre garde le rythme, ne cesse pas le va et vient sur ma queue et… je jouis. Le patron retire sa langue de ma bouche et alors je me mets à crier si fort qu’on doit m’entendre de la rue. Je sens que mes jambes vont se dérober. L’autre me maintient d’une main, il s’immobilise, je l’entends grogner. Il tremble. Je tremble. Il a déchargé dans mon cul. Je lui en suis… très reconnaissant. Ce sentiment me surprend moi-même. Il reste un moment sans bouger. Puis, quand il se retire, je me sens humide entre les cuisses.

It was sunday and Dan was incharge of the house and their three sons. His wife had gone to her parent’s house with their two girls and won’t be back till next week. Last month dan and his friend fucked his oldest boy in the attic. That day the boy spoke back to his father in front of his friend and he needed to be taught a lesson. It was afternoon and his three sons (oldest 19 and other two younger than him) were playing in the living room. Dan was already down with his 5th beer. He came into the living room holding his 6th bottle of beer and said, “Hey billy, stop playing with your brothers and come upstairs in the attic with me.” Billy got nervous and asked, “Why?” not looking straight in his father’s eyes. "I need some fixing to do.", said dan as he adjuated his hard-on in his jeans. "I don’t want to. Can’t you do it yourself?" said billy as he pushed his fingers deep into the rug they were all sitting on. The other two boys avoided eye contact with anyone and kept staring at the rug. "Get up and come upstairs, I won’t ask again." he said as he started climbing the stairs. He looked back and billy was still sitting on the rug. "If you are not in the attic in 2 minutes, I will do that fixing right in front of your brothers." he said. He looked at the boy and knew that he would follow him up to the attic. He took another sip from his bottle. Billy was now standing at the base of the stairs. Go get me another beer from the fridge and come up. He looked at the other boys and said, “Your brother and I are working in the attic, don’t come upstairs. Just sit here and play.” The boys nodded their head as fast as they could. Billy climbed the stairs slowly, making a squeeking sound on the wooden stairs with each step. His dad was already naked and leaning against the wall sipping the last few drops from the bottle. Billy came few steps inside and stood in the middle of the attic. His dad walked past him and closed the door. He came behind the boy. His face an inch away from his neck. Billy could feel the heavy breathing down his neck and the smell of alcohol. Somehow unknown to him, his own cock started to get harden. His father took the beer bottle from his hands and it opened making a *pop* sound. He came in front of billy, his hard 8 inch dick swinging and poking billy’s front. “Your lips are just like your mother’s”, he said as he moved his fingers and thumb roughly on the boy’s lips. After two hours Dan came down with his shirt hanging on his shoulders, all sweaty, his jeans just hanging by the waist, zipped but unbuttoned. He looked at the boys who were still sitting on the rug, silent and avoiding eye contact with him. “You boys hungry? Want me to make you some burgers?” The boys nodded vigorously. “Come on, let’s go in the back and start that grill.” said dan and he opened the back door. The boys rushed after their daddy in the backyard. Once they were gone, billy came down from the attic slowly. He was start naked and holding torn pieces of what earlier happened to be his clothes. The stairs still made that squeeking sound, sticky liquid leaked from his buttocks down to his legs as he walked. His own dick was still amazingly semi-hard. From the living room he saw his dad, shirtless, flipping burgers on the grill. He stood in the living room as he looked at his body admiring his shoulders as more and more cum leaked and travelled down his own leg on to the rug.

Je suis haletant, les larmes aux yeux. Le patron m’embrasse. Essuie mes larmes. Tandis que l’autre se rhabille et sort. Quand j’entends la porte claquer, je me laisse glisser sur le carrelage froid. Il me rejoint. S’assoit à mes côtés et me prend dans ses bras. Il caresse mes cheveux, mes épaules, mon ventre. Après toute cette chevauchée sauvage, j’ai tellement besoin d’un câlin. Et c’est si rassurant de savoir qu’Il sait ça. Nous restons comme ça de longues minutes.

Et puis il se relève et m’attrape par le bras. Il me présente sa bite et il est temps pour moi de lui marquer ma gratitude. Je suis épuisé mais tellement reconnaissant que je n’aurai pas de mal à trouver l’énergie pour le satisfaire. Il a perdu son érection. Je le prends donc tout doucement dans ma bouche. Je titille son gland avec ma langue, remplis ma bouche avec sa bite. Mais elle ne gonfle pas. Je descends ma bouche sur ses cuisses, l’embrasse, le caresse. Je glisse mes mains sous ses couilles, les soulève légèrement, les lèche, remonte jusqu’à la base de son sexe, le reprends. Mais mes caresses sont sans effet. Je sens qu’il trépigne, qu’il est mal à l’aise. Cela va rendre notre relation plus complexe. Même s'il est comme moi, en attente qu'on le baise, je vais l'aimer, aimer sa complicité. On peut monter des coups tous les deux : les amis sont bien plus fidèles que les amants. A lui je m'en remets en confiance. Il pourrait m'en demander plus...
Tout à coup il me soulève et me serre contre lui. Alors que je pose sur lui un regard interrogateur il me dit “Non, mais… T’es pas un garçon qu’on baise, toi. T’es un mec dont on tombe amoureux.”

 

 

 

 

 

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : RECITS & ROMANS PHOTOS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 23 avril 3 23 /04 /Avr 06:27

Chiche  !  j'enlève le bas ?  

Oslo : " retour vers le futur" ?

 

Oslo : le Parc Vigeland

Jeudi 15 mars 2014

Tenue indécente

Décidément, l'art norvégien a la vie dure.

Après la retentissante affaire du Cri d'Edvard Munch, tableau mystérieusement disparu pendant 2 ans, un frileux inconnu a prié les nus du parc Gustav Vigeland d'Oslo d'aller se rhabiller. Tous les organes génitaux et les raies des fesses des athlétiques statues alignées sur le pont ont été censurées par des bandes de sparadrap noir soigneusement collées. L'auteur de la blague a laissé un message pour expliquer son geste : il reproche à la société moderne, et en particulier aux journaux et à la publicité, de véhiculer trop d'images de nudité et affirme que les statues du parc Vigeland ont franchi la limite. ( du vrai Mussolini ! )

Je trouve l'incident assez cocasse, mais j'espère seulement que l'auteur de la plaisanterie ne fait pas partie des hordes de naturistes qui débarquent sur les plages méditerranéennes chaque été. Qu'il y ait une dérive de l'utilisation de la nudité est une chose (il parait que même la petite sirène a des décolletés de plus en plus affriolants ;-) mais s'en prendre aux statues de Gustav n'est pas une solution. De toutes façons, plutôt que de faire avancer le débat, cet incident aura juste permis de faire un peu plus de publicité pour le parc, qui en vaut vraiment le détour.

Ce qui me fait quand même rigoler est d'imaginer le temps et la patience nécessaires à la réalisation du méfait. Pour m'être promenée dans le parc d'Oslo, je sais que les statues sont nombreuses, et à raison d'un bout de scotch pour chaque sein, chaque sexe et chaque raie des fesses, sans même se lancer dans un calcul scientifique qui tiendrait également compte de la grande taille des mannequins, facile de conclure que ça fait vite des rouleaux...

 



Sources :Aftenposten & La Repubblica

Munich : un pas vers le futur ?

 

 En Allemagne, la pratique du nudisme n’est désormais plus cantonnée à des plages et autres berges de lacs : mardi 14 avril, la ville de Munich a décidé d’autoriser l’absence de vêtements dans ses rues au sein de six zones précisément délimitées, a relevé le quotidien britannique The Telegraph.

Expiration de la loi allemande interdisant la nudité
 
La troisième plus grande ville d’Allemagne a ainsi tranché un flou juridique laissé par l’expiration, en automne dernier, d’une loi fédérale interdisant la nudité dans l’espace public.
 
La mesure prise par Munich, qui fait suite à plusieurs mois de débats, ne fait que légaliser une pratique déjà répandue dans cette aire urbaine. De nombreux Allemands avaient déjà pris l’habitude de se prélasser dans le plus simple appareil le long de la rivière Isar qui traverse la ville ou encore dans le Jardin anglais local.
 
Cette résolution municipale n’est pas tout à fait surprenante de la part de l’Allemagne : c’est dans ce pays qu’a été créée, en 1920, la toute première plage nudiste.

_____________________________________________________________________

 

Arles : Copé se choque d'un livre sur la nudité recommandé aux enseignants

Midilibre.fr (libre !!! hihi)
10/02/2014, 11 h 37 | Mis à jour le 10/02/2014, 11 h 43

 

Jean-François Copé fustige en direct l'album 'Tous à poil !".
Jean-François Copé fustige en direct l'album 'Tous à poil !". (COPIES D'ECRAN)

Invité dimanche sur RTL et LCI, Jean-François Copé a vivement critiqué un livre sur la nudité, présent dans une brochure destinée aux enseignants. Une sélection d'albums jeunesse, citée par Cécile Duflot, pour "bousculer les stéréotypes fille garçon".

Jean-François Copé s'est vivement emballé, hier dimanche sur RTL et LCI, contre un ouvrage pour enfants conseillé aux enseignants. Un ouvrage titré "Tous à Poil !", faisant partie du catalogue "jeunesse" des Editions du Rouergue, basées à Arles.

Présent sur le plateau du Grand Jury,le président de l'UMP a assuré que son "sang n'a fait qu'un tour" lorsqu'il a découvert l'ouvrage, apparemment classé dans un centre de documentation pédagogique.

Le livre est constitué de doubles-pages dans chacune desquelles est mise "à poil" une figure courante dans la vie d'un enfant ou dans la société. "A poil le bébé, à poil la baby-sitter, à poil les voisins" a énuméré Copé.

"A poil la maîtresse ! A poil le PDG !"

"Je tourne les pages, à poil la mamie, à poil le chien, à poil la maîtresse, vous voyez c'est bien pour l'autorité des professeurs, à poil la chanteuse, à poil le docteur, à poil le président directeur général, ah bah oui, bien sur".

Certains extraits ont été publiés et vivement critiqués sur Twitter par l'aile ultra-conservatrice de la droite.

faire tomber les stéréotypes

Comme l'a répondu sur Twitter au LabEurope1 Cécile Duflot, le livre fait partie d'une sélection de 92 albums présentées dans la brochure "Pour bousculer les stéréotypes fille garçon".

 

_________________________________________________________________

Chiche ! la prochaine "Manif pour tous" défilera à poil !

Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : RIGOLER
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 21 avril 1 21 /04 /Avr 14:20
...Roi de la drague et de la rigolade
Rouleur flambeur ou gentil petit vieux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux...Gérard Lenorman
13 avril 2014 publié par 237 on line
 
La veine qu'elle a ! Une bonne pine au juste prix.Ils se sont rencontrés en faisant du shopping. Elle sait quoi faire de son fric, et Lui de son temps. C'est en Afrique. Vu le chômage, c'est pareil en Europe. Les jeunes cherchent des solutions.
Maintenant, par la loi, on cherche à les priver de cette solution. 
ABIDJAN: Un jeune-homme en chomage se prostitue à une une vieille blanche pour 100.000 par mois
N'est-ce pas qu'on est cons avec nos préjugés "moraux" ?
"Le problème de chômage auquel sont confrontés les jeunes de notre pays pousse certains sur des chemins tortueux, en déphasage avec le bon sens, la religion et les bonnes mœurs LOL !. C’est le cas de ce jeune dans un quartier populaire de la commune I dont nous taisons le nom."
          
Arrangement  : Elle était riche, il était pauvre
Un jeune du nom de MD, subissant le chômage n’a pas eu mieux que d’accepter de gagner sa vie à la sueur de son sexe  , après avoir accepté la proposition d’une « femme blanche approchant la cinquantaine » de louer ses services contre la modique somme de 100 000 FCFA par mois. Colosse, bien bâti, l’aspect sportif, ce jeune-homme, la trentaine bien sonnée a décidé de gagner sa vie d’une autre manière après avoir tapé à toutes les portes à la recherche d’un emploi, sans succès. C’est dans cette situation que le jeune en question sera remarqué par une ressortissante occidentale dont nous taisons le nom et la nationalité.
En effet, selon nos sources, désœuvré, le jeune en question passait le plus clair de son temps devant le commerce d’un ami en train de prendre du thé. Une boutique située dans la rue par laquelle passe cette blanche tous les jours pour se rendre au travail. C’est aussi, une boutique dans laquelle, la dame fait son marché. Et c’est comme ça qu’elle aurait remarqué le jeune "MD".
Une méthode discrète du genre "mille et une nuits"ou "les libertins de Venise"
 Cette dame qui frôle la cinquantaine est connue dans le quartier pour ses penchants pour les jeunes. Elle traîne longtemps dehors, seulement en quête d’un partenaire facile, d'un jeune bien viril. Quand elle a fait son choix, elle fait intervenir une personne discrète pour le "recrutement" qui fixe un rendez-vous chez elle avec son nouvel « amant vénal » pour négocier les « accords».
 La dame en question travaille dans une organisation internationale et vit dans une très grande résidence avec son gardien et ses autres employés. Elle reçoit souvent chez elle nombreux de ses compatriotes et collaborateurs pendant les week-ends. Après en avoir parlé à un de ses amis qui lui a conseillé de ne pas accepter une telle proposition qui est en déphasage avec nos mœurs, le jeune "MD" n’a pas écouté les conseils de ce dernier. Car, attiré par la proposition financière à lui faite par la « vieille blanche »qui serait sans mari depuis des années. Et qui, pour satisfaire sa libido, loue les services des jeunes qui n’hésitent pas à se vendre. C’est ainsi qu’il commença son « service ».
 Une fin édifiante :
Mais au bout de quelques mois, il va commencer à fatiguer. Aussi, à cause des exigences de madame qui deviennent de plus en plus grandes, au bout de quelques semaines, indique notre source, MD était méconnaissable par ses amis et sa famille qui croyaient plutôt qu’il serait malade. Car il avait sérieusement perdu du poids. Mais aussi, il passait tout son temps à dormir car dans son « travail », la blanche en question ne lui accordait aucun repos. Ce qui va le pousser, à rompre le contrat avant que cette vieille blanche ne se cherche un autre gigolo.
Selon notre source, après avoir rompu ce contrat, le jeune MD a eu un emploi et travaille aujourd’hui à l’intérieur du pays où il a commencé à gagner honnêtemen t sa vie à la sueur de son front et non à la sueur de son… Mais le hic serait qu’il n’arrive plus à être fertile avec sa nouvelle femme. D’aucuns estiment qu’il serait atteint d’un problème d’impuissance sexuelle, en raison de l’énergie qu’il aurait fourni pendant un long moment pour envoyer la vieille blanche au septième ciel. D’autres disent qu’à force de s’habituer avec la vieille ‘’peau grattée’’ qu’il ne trouve plus de sensation auprès de nos filles.  Tout compte fait, maintenant il préfère nos jeunes hommes et le rôle passif et la vieille dame s’est déjà cherché, un autre « employé »,  qui aurait déjà pris du service.
G. Diarra
 
 Illustrations fake :
 
   
Du bon sexe mature avec un black qui prend bien profond ce vieux cul de blanche !
Du bon sexe mature avec un black qui prend bien profond ce vieux cul de blanche !
>
Jolie mature montre son beau sexe poilu!
Jolie femme mature montre son beau sexe poilu prêt à dévorer des pénis !
>
Mature bien chaude dépucèle un ami de son fils !
Mature bien chaude dépucèle les amis de son fils !
>
Mamy aime se faire limer par les potes de son fils !
C'est exact, elle aime se faire prendre par les potes de son fils !
>
Ce jeune mec savoure pleinement de limer la chatte à cette vieille coquine blonde !
Ce jeune mec savoure pleinement de limer la chatte à cette vieille coquine blonde !
>
Voila une femme mature qui sait comment satisfaire un homme !
Voila une femme mature qui prend plaisir à satisfaire un homme !
>
Gif d’une mature qui se fait étrangler pendant une sodomie douloureuse !
Au club libertin. Ne croyez pas que la sodomie soit douloureuse !
>
Il encule la mère de sa copine pendant qu’elle regarde!
J'y crois pas ! Il encule la mère de sa copine pendant qu’elle regarde!
>
Du sexe mature bien comme on aime avec ici une fellation qui donnera envie à tout les amateurs du genre!
Du sexe mature bien comme on aime avec ici une fellation qui donnera envie à tout les amateurs du genre!
>
Du bon sexe mature avec une femme très charmante !
Rien de triste ! Du bon sexe mature avec une femme très charmante !
>
Mature bien chaude apprend la masturbation à un jeune homme
Gardienne de la virilité de ses amants. Ainsi ce jeune homme.
>
homme arabe se fait sucer le sexe par une mature blonde qui a vraiment faim !
homme arabe se fait sucer le sexe par une mature blonde qui a vraiment faim !
>sacré bon boulot le jeune !  il a bien mérité sa récompense.
        
Au club libertin : 
                  
 
                     Les  soins de kiné, d'infirmiers, quelles juteuses occasions !  
>
infirmier black baise sa patiente blanche
                             
Par la-prostitution-masculine-gay - Publié dans : RECITS & ROMANS PHOTOS
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : PD-pute-escort
  • PD-pute-escort
  • : gay baise annonce Gay
  • : DEFENSE ET ILLUSTRATION DE LA PROSTITUTION ENTRE HOMMES - beaux jeunes bien équipés pour défense (et défonce lol) des clients qui se trouvent trop TIMIDES,vieux, trop moches, trop obèses et mal dotés et aussi trop passifs ...pour être actifs lol.mais généreux avec les chéris qui s'offrent.!
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • la-prostitution-masculine-gay
  • PD-pute-escort
  • Ne vous intéressez pas à moi : nous sommes ensemble et intéressés par "la chose" Postez à statostupito@yahoo.it

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés