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Mercredi 9 avril 3 09 /04 /Avr 01:20

 

"C'est Antoine qui m'a fait le coup et m'a initié."

 

briefopinion: Gimme more!

 

Cher ami Je vous écris pour vous dire combien il est difficile parfois d'échapper au regard sournois et aux petites phrases assassines, tout ça parce qu'on a plus de quarante ans et qu'on aime un (ou plusieurs) jeune(s) pédé(s) d' au moins vingt ans de moins que vous. J'ai toujours aimé les jeunes mecs. Lorsque j'avais vingt ans, nous avions le même âge et ça ne gênait personne. Puis les années ont passé et mon désir est resté intact pour les mecs de cet âge-là. Aussi je me suis efforcé de "rester dans le vent". Et qu'on n’aille pas me dire que c'est parce que j'aime le rôle d'initiateur! Au contraire, avec des plus jeunes, j’ai l'impression d'en apprendre tous les jours. Je me sens tellement bien avec eux. J’aime autant leur sérieux que leur insouciance. Ils savent baiser avec des préservatifs, par exemple. Pour dire la vérité, ce sont eux qui m'ont appris à baiser avec. Je ne savais pas. Je m'en foutais. C'est Antoine qui m'a fait le coup et m'y a initié.

On s'était rencontrés sur les bords de la Loire. J'ai tout de suite craqué pour son joli minois, ses yeux noisette et ses cheveux gris-blond . Il faisait doux, c'était l'automne. On a marché un peu ensemble avant de se décider à aller chez lui. Il avait un studio pas loin. Comme dans la majorité des cas, mon âge ne semble rebuter que ceux... de mon âge. Antoine était fougueux, empressé, et j'étais loin d'être son premier coup. J'ai admiré sa dextérité à me dessaper avant même que j'enlève quoi que ce soit. Son agilité à ouvrir ma chemise, à me débraguetter, à s'agenouiller pour rendre hommage à ma virilité. Il ne m'a pas sucé mais m'a peloté les couilles avant de me palucher un peu. J'aime l'excitation de ces jeunes mâles en rut. Ils baisent beaucoup et sont, en définitive, les maîtres du jeu. Je l'ai caressé un peu, puis nous nous sommes retrouvés enlacés sur le lit. Il était temps de passer à autre chose de plus sérieux qu'une petite branlette.

Il avait envie de se faire mettre. Il me l'a dit comme ça tout de go: «J’ai envie de me faire mettre!» J'étais ravi. J’ai pris ma queue dans mes mains et j'ai fait signe au garçon de se mettre à quatre pattes. C’est là qu'il m'a dit qu'il ne baisait pas sans préservatif, et qu'il ne se faisait jamais mettre sans, non plus, quel que soit son partenaire. Sur le moment, ça m'a déconcentré et j’ai débandé. On a discuté un peu. Tout en discutant, il m’avait pris la queue entre ses doigts et me caressait très doucement le nœud. Il me racontait comment il aimait sentir une grosse bite bien lourde comme la mienne lui défoncer la rondelle. Je n'ai pas tardé à rebander entre ses doigts agiles. Il a dit: «Ferme les yeux!» J'ai fait ce qu'il disait, et j'ai senti qu’il glissait quelque chose sur ma queue, comme du lubrifiant. C'était doux. Je me suis abandonné à ses caresses. Soudain, une sorte de paroi dure a pris la place des doigts, et ma queue s'est heurtée à ce mur de chair. J'ai compris que mon amant s'était retourné et qu'il tentait de s'empaler sur mon vit. J’ai poussé ma queue et j’ai fait céder cette paroi musclée. En agrippant vigoureusement Antoine par la taille, je me suis enfoncé avec délectation dans son boyau. J'ai compris qu’il avait réussi à me mettre un préservatif, sans que je m'en aperçoive. Ça ne me faisait plus débander, au contraire. J'étais trop heureux de pouvoir défoncer ce beau trou de balle. Le préservatif ne me gênait plus vraiment, je l'oubliais presque. J'ai accéléré la cadence alors que je prenais la bite d'Antoine à pleine main pour la branler. Finalement, j'étais tellement excité que j'ai craché toute ma purée bien au fond de son puits d'amour, alors que mon jeune pédé se secouait le nœud en répandant son sperme sur les draps et en gémissant comme un chiot. Je me suis retiré et on est resté un bon moment sans rien dire, l'un contre l'autre. Comme il est étudiant, et j'ai connu autrefois la même situation, moi qui suis très à l'aise, je lui ai donné un coup de main. Il ne voulait pas, mais pour l'occasion j'ai joué les "papas".

Il m’a parlé du sida. Je me suis rendu compte que j'étais complètement inconscient. Après j’ai été faire un test, sur son conseil. Je suis séronégatif, par chance! Depuis que je connais Antoine, je ne baise plus que SSR. Je n'oublierai jamais que c'est un jeune gay de vingt berges qui a complété mon éducation et m'a, peut-être, sauvé la vie ! .

On se revoit de temps en temps et, sans arrière-pensée, il m'a présenté plusieurs de ses copains de fac. Rien que des mecs de son âge, complètement craquants avec leurs petits culs bien moulés dans les jeans. Même si je pourrais être le père de ces jeunes mâles, ils ne font pas attention à mon âge. Même si je me montre quelquefois généreux, ils ne m'ont jamais pris pour un gigolo. Je me sens très proche d'eux et j'aime baiser avec eux, quand ils en éprouvent le désir (plusieurs copains d'Antoine, hélas! ne sont pas homosexuels). C’est comme cela que je me suis retrouvé avec trois jeunes étalons dans une soirée assez chaude, avec l’un qui me suçait la queue, l'autre qui me roulait une pelle, et le troisième qui faisait joujou avec mon trou de balle en m'enfonçant ses doigts dedans. On s'est bien défoulés. Je dois dire que j'aime faire l'amour dans la bonne humeur. J’ai coincé un de ces petits minets bien fermement et je lui ai fourré ma queue dans les entrailles. Après, j'ai senti que, par-devant, on lui happait la queue pour la lui sucer. On a passé la nuit, allant d'un corps à l'autre, c’était un vrai plaisir! Et on a fini par se faire des câlins, par se rouler des pelles, se mordiller la nuque, les seins, la peau des couilles. C'est incroyable comme ces jeunes pédés peuvent être tendres, avides de câlins et caressants sous des allures de gros durs parfois.

L’autre jour, l'un d'eux m'a dit qu'il n'osait pas être aussi tendre avec les mecs de son âge qu'avec moi. Question de pudeur, peut-être. Dans tous les cas, ce n'est pas moi qui vais m’en plaindre! Baiser avec des hommes de mon âge ne m'attire pas. Je crois que ça m'emmerde. Et si ça m’arrive, je n'ai qu'une hâte: retrouver mes petits mâles de vingt ans pour d'autres jeux coquins. Finalement, je voulais raconter tout cela, pour vous dire que je suis un mec de quarante-sept ans qui aime baiser avec des jeunes, et que j'aime autant ça qu'eux aiment baiser avec moi. Et que j'emmerde une bonne fois pour toutes tous les grincheux qui me font des réflexions, qui me traitent de micheton ou de pervers. On a l'âge de son désir et le plaisir qu'on peut offrir à l'autre, c'est tout.

Urlimit

 

 

 

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Jeudi 3 avril 4 03 /04 /Avr 11:46

 

 

 

 

 

Cette insoupçonnable jeune femme induit Gordon en tentation ... Pensant vivre une "bonne fortune",

Le jeune homme se laisse docilement entraver...mutation, magie, coup monté avec un complice? On pense à la vengeance d'une femme séduite puis délaissée. A écouter Gordon il ne regrette pas son initiation forcée...en ce cas, la Dame en est-elle pour ses frais ou était-ce son but de le rendre esclave gay ?

 

Je suis assis au bistrot seul face à une bière à la recherche d’une jolie fille dans la foule. Mais elles paraissent toutes accompagnées de garçons. Je scrute le moindre recoin pour dégoter celle qui ne serait pas trop vilaine et seule. C’est alors, que la porte s’ouvre pour faire entrer une jeune femme fabuleuse. Elle porte une jupe courte laissant apparaître des jambes fines. Son chemisier, bien ouvert, me permet de voir une poitrine bien proportionnée. Mes yeux remontent lentement vers son cou fin sur lequel je déposerais volontiers mes lèvres, pour atteindre son visage. Son maquillage est léger. Je déteste ces demoiselles qui se prennent pour un mur. Elles croient que pour être belle, il faut se peinturlurer avec du fond de teint et un rouge à lèvre bien trop prononcé. Elles n’ont pas compris la différence entre ressembler à un top modèle et ressembler à une pute. La divinité qui vient d’apparaître a des cheveux d’un blond magnifique qui tombent en cascade sur ses épaules. Je ne peux m’empêcher de la regarder, tant ca me parait être un rêve. J’espère qu’elle n’est pas attendue par un compagnon ou qu’elle n’attend pas elle-même un ami.

Mon inquiétude retombe rapidement pour un sentiment de déception. En effet, elle regarde autour d’elle semblant rechercher quelqu’un. Mais tout à coup, nos regards se rencontrent. Je ne peux, pour la première fois de ma vie, soutenir son regard et me détourne. Pourtant quelques secondes après, j’entends:

— Bonsoir.

— Heu, bonsoir, réponds-je sur un ton assez bête.

— Moi c’est Karen. Et vous?

— Heu... Matthew.

Je lui tends la main sans savoir vraiment ce que je fais. Elle me la prend pour me saluer et malgré la sensation de poigne que je ressens, j’ai mon cœur qui bat vite. J’ai l’impression que toute la salle peut l’entendre malgré le bruit qui nous entoure. Malgré la fermeté de sa poignée de main, je suis impressionné par la douceur de sa peau sous mes doigts qui s’attardent un peu trop dans sa main. Mes yeux ne peuvent s’empêcher de fixer le bleu des siens. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme, et si c’est vrai, Karen semble lire et décortiquer la mienne. Elle esquisse un léger sourire. — Enchanté de te connaître Matthew.

— Moi de même.

— Tu attends quelqu’un?

— Heu... non.

Tiens j’ai perdu mon humour habituel. Avec une autre personne, j’aurais certainement répondu «Oui, toi!», mais là j’ai l’impression que je ne peux lui mentir, ou jouer de mes charmes.

— Tu veux qu’on parte?

— Pour?

Quel crétin! J’aurais pu lui dire «où tu veux». Mais décidemment, rien ne va plus ce soir. Elle semble m’avoir prise dans ses filets.

— Ok, je rajoute rapidement.

Quelques minutes après, nous sommes enfin arrivés chez moi. Nous avons pris ma voiture. Nous avons décidé qu’elle viendrait chercher la sienne plus tard. À peine la porte ouverte, Karen se jette sur moi et me colle au mur. Ses lèvres se posent sur les miennes. Elles sont douces. Je sens l’excitation monter en moi. Monter, c’est vite dit! Je suis déjà excité depuis un petit moment. Mais là cela s’amplifie. Je ne contrôle plus rien. Je pose mes mains sur ses hanches, pour les faire glisser sur ses fesses, mais elle attrape mes poignets pour me coller les bras au mur.

— Laisse-toi faire mon ange. Elle nous prépare un whisky au mini-bar.

C’est tout nouveau pour moi. D’habitude, c’est moi qui contrôle tout mais pour la première fois de ma vie, j’apprécie ce qui se passe. Karen m’entraîne rapidement dans ma chambre. Tiens, c’est bizarre qu’elle sache où elle est; mais bon je ne veux pas réfléchir à cela pour l’instant. Je ne veux penser qu’à elle et à la baiser. Elle me renverse en arrière sur le lit et pose ses mains sur mes cuisses. Ses caresses sont douces. Elle descend lentement vers mes baskets qu’elle dénoue lentement. Veut-elle me torturer? C’est déjà fait. En effet, je bande tellement que ma queue est compressée dans le boxer que je porte. Elle enlève lentement une chaussure, puis l’autre, en profitant pour me masser le pied. Lascivement, elle remonte vers ma taille pour ouvrir ma ceinture et me libérer de ma prison de tissu. Se redressant lentement, elle ouvre son chemisier et laisse apparaître une poitrine harmonieuse avec deux seins ressemblant à deux belles poires. Je suis hypnotisé par son corps. Elle fait glisser lentement mon pantalon et mes chaussettes. Elle remonte ses mains le long de mes hanches, pour venir me caresser la peau sous le tissu de mon t-shirt que bientôt elle enlève. Allongé sur le lit, je suis en boxer, la queue raide comme jamais elle ne l’a été dans ma vie. Elle défait sa jupe, puis fait glisser ses bas. Sa culotte s’envole rapidement. Je vois son sexe avec sa toison d’or qui me subjugue. Karen vient m’embrasser sur le torse tout en prenant mes bras qu’elle relève afin que mes mains attrapent les barreaux de mon lit. Son sourire est enjôleur. Elle se redresse pour rattraper ses bas. Je devine rapidement où elle veut en venir. Elle désire m’attacher. Je ne l’ai jamais fait mais pour elle je serais prêt à tout. Je me laisse faire pendant qu’elle serre les liens autour de mes poignets.

J’ai l’impression que le jeu va pouvoir commencer. Mais à peine attaché, elle se redresse face à moi. J’ai la vue qui se brouille. Le monde autour de moi semble être flou. Le corps de Karen vacille, se métamorphose sous mes yeux. Il me semblait qu’elle avait de longs cheveux blonds mais non. Mais non, ils sont courts et bruns comme les miens. Je dois rêver. Que m’a-t-elle fait? J’essaie de me concentrer sur ce que je vois. Je regarde attentivement son corps. Plus de poitrine! Des pectoraux musclés sur lesquels se détache une toison brune. Des bras musclés. Des abdominaux dessinés. Un cou robuste. Des mains puissantes. Des cuisses velues. Un sexe d’homme! Je deviens fou? Non l’image face à moi ne bouge plus. L’homme en face de moi me sourit. Je cherche son regard; ce sont toujours ces mêmes yeux bleus qui m’ont impressionné. J’essaie de hurler, mais aucun son ne sort de ma gorge. Je suis pris au piège sur mon lit, nu à la merci d’un violeur inconnu.

— Ce n’est pas la peine, mon ange. Tu ne pourras pas parler pendant quelques minutes...je suis sans volonté...ah ce whisky...

L’homme face à moi est doté d’une queue impressionnante. La mienne doit faire dix-neuf centimètres en érection, mais la sienne doit bien faire vingt-trois centimètres. Mes idées se chamboulent dans mon crâne. Que va-t-il me faire? Que vais-je devenir? Il se penche sur mon corps, embrassant mon boxer, mouillant petit à petit de sa langue le tissu protecteur. Veut-il me faire l’amour? J’ai perdu mon érection. J’essaie de penser à autre chose. Des larmes coulent sur mes joues. Je n’ai que la certitude qu’il va me violer. Ses doigts s’insinuent sous le tissu, caressant lentement ma peau. Il fait glisser mon boxer, et attrape ma queue flasque entre ses doigts. Il dépose sa langue sur mes couilles, puis la remonte lentement vers mon gland pour l’attraper entre ses lèvres. Cela dure quelques secondes puis il engloutit mon sexe dans sa bouche. Il me suce lentement. Malgré la honte que je ressente, je ne peux m’empêcher de bander sous les assauts de sa langue. Aucune femme ne m’a encore fait une telle fellation. Et pourtant j’arrivais toujours à m’en faire faire une, même avec les plus coincées d’entre elles. Pour certaines, j’ai eu beau leur expliquer ce qu’il fallait faire, je n’ai jamais eu autant de plaisir qu’en ce moment. Ce démon savait exactement ce qu’il fallait faire pour me faire monter au ciel.

Il caresse mes cuisses, remonte lentement sur mon ventre pour atteindre mes pectoraux. Il me pince chacun de mes tétons tout en continuant sa succion sur mon sexe qu’il engloutit jusqu’au fond de sa gorge. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer. C’est souvent à ce moment que je ne tarde pas à jouir mais il arrête soudain ses caresses buccales. Il attrape mes cuisses qu’il relève et écarte. Je veux résister, mais mon corps ne m’écoute pas. Je sens quelque chose sur ma rondelle. Ça ne peut être que sa langue qui passe sur ma peau douce. C’est une sensation nouvelle pour moi. Je lâche un soupir de contentement. Sa langue s’insinue dans mon trou qui semble s’ouvrir sans aucune difficulté. Il se redresse pour me faire face, la queue bien raide qu’il approche de mon trou. Son gland est posé sur ma rosette. Il force, je ne peux résister. Sa queue rentre, je ne peux résister. Il me prend, je ne veux résister. Je suis maintenant un enculé mais je ne peux résister, et même si je pouvais, je ne le voudrais pas tellement je prends du plaisir à ses assauts. Il sort sa queue et la rentre, encore et encore. Mon trou est bien ouvert, des frissons parcourent mon corps. C’est une sensation étrange mais tellement jouissive.

— Hunnnh, oui c’est bon.

Tiens je parle de nouveau! Je pourrais hurler enfin à l’aide mais je savoure chacune des pénétrations de son sexe en moi. Il me possède et je suis à lui tout offert.

— Oh oui prends moi!

— Oui mon amour, tu es enfin à moi.

Je sens ses mouvements s’accélérer. Son souffle se faire plus rapide, ses coups plus durs. Il explose en moi hurlant sa jouissance. À peine ayant senti sa semence en moi, je Ayahuasca-2m’évanouis de plaisir.

 

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Samedi 29 mars 6 29 /03 /Mars 00:47
classé dans RECITS en raison du caractère expérimental de ce post
    
 

Cher ami

 

En "lisant" l'autre soir la vidéo Horny Fuckers

" http://www.xvideos.com/video485105/una_buena_cogida#47.3 " de ton blog j'ai eu une révélation. Ne te moque pas de moi, mais, j'ai caché l'image et seulement écouté le son. Il m'est arrivé très souvent de couper le son des vidéos que je regarde pour ne pas attirer l'attention de mon entourage. Je suis idiot car (quand c'est bien fait) c'est le contraire qu'on devrait faire : recouvrir l'image par une autre et n'écouter que le son. Combien ces gémissements, ces chuchotements, cris, grincements de la literie nous invitent encore plus dans l'intimité des personnages. A la manière des écrits, des romans, cela excite notre imagination et on s'y voit. Un gars pénétré crie. C'est une peur mêlée d'un désir de transgression. Comme quand enfants ou ados on craignait d'aller plus loin et on allait quand même, pris par la fièvre dévorante de l'interdit, de la découverte des délices de la Vie où les "Non" veulent dire "Oui", où le silence soudain veut dire encore! et que demander grâce veut dire n'arrête surtout pas !  Une vraie renaissance. Bien sûr tu auras compris que ce  n'est ni vrai des vidéos muettes ni des vidéos trop kitsch. Bien sûr on a tous une façon différente d'apprécier et, moi-même j'aime l'image...

Pour que tu en juges, je t'envoie ici l'embed code d'une courte vidéo de baise qu'on peut trouver banale alors qu'on peut retrouver par le son sans image des moments sublimes.

Merci de ce blog que j'apprécie bcp

Urlimit

La vidéo de Urlimit à écouter selon lui (c'est vrai que les imagesici sont de peu d'intérêt) :
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Jeudi 27 mars 4 27 /03 /Mars 00:46

RECIT

UN GARCON DEVOUE QUI ARRANGE BIEN DES GENS

 

 

QUE SERAIT LE VILLAGE SANS SON PROSTITUE ?

Rue de la gare, Philippe, 18 ans, attend le client. Son jean trop moulant fait ressortir un petit cul perché sur de longues jambes. Son T-shirt noir cache un corps maigre. Son visage est mince et allongé. Sa peau est blanche et ses yeux ronds n'ont plus rien d'étonnés. Une longue mèche de cheveux noirs lui balaye le front. Philippe fait les cent pas et ne pense à rien. De temps en temps, il allume une cigarette, s'adosse à un mur et regarde les gens passer. Lorsqu'il voit un jeune homme pas trop mal fait, il passe sa main sur sa braguette, essayant de faire ressortir ses avantages. Parfois il se caresse ostensiblement. Ce n'est pourtant pas sa clientèle, mais c'est sa distraction. Si l'un d'entre eux s'arrête, c'est généralement un hétéro intrigué qui veut s'instruire. Philippe a un regard de biche et nombreux sont les hommes qui aimeraient avoir une femme avec de si beaux yeux. Si le client est de la région, il fait un prix pour qu'il revienne. Si c'est quelqu'un de passage, ou mieux un homme de la capitale, il le soigne bien, on ne sait jamais. Paris a toujours fait rêver Philippe.

C'est bientôt l'heure du boucher. Philippe ne l'aime pas, mais c'est lui qui fournit en viande toute la famille. Le marché a longuement été discuté avec la mère. Contre de bons morceaux, le boucher peut le baiser tous les jours de la semaine, entre 17h et 17h15. Le contrat ne prévoit pas de dépassement, mais le rattrapage des jours fériés, car la famille de Philippe mange tous les jours. Le boucher n'a aucun mot pour lui. Lorsqu'ils montent dans la chambre de l'hôtel, Philippe se contente de baisser son pantalon jusqu'aux chevilles, d'écarter ses jambes et de se tenir solidement au lavabo. Le sexe du boucher est gras et court. Il n'entre pas en profondeur et ne blesse pas Philippe, mais lui fait mal. Le boucher ne s'est jamais intéressé à son sexe, Philippe préfère autant. Une fois qu'il a éjaculé, le boucher se rebraguette et s'en va. Philippe a remarqué qu'il ne se lave pas les mains après, mais ça lui est égal, que la viande soit souillée, il s'en fout...

La majorité des clients de Philippe sont des habitués qui le suivent depuis plusieurs années. le maître d'école du quartier au collier de barbe est son client. Il est gentil, mais Philippe ne l'aime pas non plus. Philippe le caresse jusqu'à ce qu'il bande, puis le suce. Il crache dans un kleenex le sperme et empoche un billet. Lorsqu'il reçoit un petit extra en cadeau, il le remercie rapidement et redescend vite comme si un autre client l'attendait en bas. Le curé de la paroisse voisine vient lui aussi incognito lorsque les fonds récoltés auprès des paroissiens le permettent. Philippe lui fait généralement un prix parce qu'il est propre et honnête. Et puis qui sait, si Dieu existe, autant aider ses serviteurs.

De temps en temps, les flics l'arrêtent, mais là ce sont les jours de pluie et de froid lorsqu'il est tout mouillé et que le client ne viendra pas. Alors ceux-ci le réchauffent et jouent aux cartes avec lui, en buvant une tasse de café. Lorsque vient l'heure du boucher, ils le relâchent. Au fond, ce sont des amis. Ils leur arrive même de sermonner, voire d'éconduire des clients indélicats. Les flics font leur boulot. Personne dans la ville ne se plaint. Tout le monde est d'accord, il n'y a pas besoin de créer des problèmes là ou il n'y en a pas.

Ce sont les journées de Philippe. Dans cette rue grise, sous des nuages de plomb, il fait partie du décor. Tout est gris chez lui, sa mine, son humeur, sa vie. Il ne connaît rien d'autre. C'est pour cela qu'il ne pense pas. Habitué à subir la misère, Philippe se protége en restant dans l'ignorance de tout. Il ne veut pas savoir, ni trop espérer pour ne pas avoir à souffrir plus. Pour  l'instant, sa vie est toute tracée.

La nuit venue, Philippe rentre chez lui pour déposer ses billets de banque sur la table de la cuisine. Sa mère compte, hoche la tête en signe d'approbation et Philippe s'en va. Il n'y a pas vraiment de place pour lui dans cette famille nombreuse. Il préfère passer la nuit chez des copains qu'il arrose généreusement. Souvent il dort chez des clients qu'il connaît bien. Il y va lorsqu'il veut se faire gâter. Certains lui payent le restaurant, un lieu que ne connaît aucun membre de sa famille. Il a aussi droit à des draps propres, ni chez lui, ni à l'hôtel, ils ne le sont.

Quelques-uns lui offrent une chambre séparée et ne le touchent même pas. C'est un client qui lui a fait connaître le luxe d'une nuit passée seul. Au fond, son métier lui offre certains avantages bourgeois qui le font parfois se sentir important. Comme le maître d'école ou le curé, il lui semble être une institution de la ville.

UNE RELATION ETRANGE ET PRIVILEGIEE

Un jour un inconnu particulièrement bien habillé passe devant Philippe. Celui-ci recommence son jeu et met en valeur son sexe à travers son jean. L'inconnu le regarde dans les yeux et s'éloigne. Philippe est un peu déçu parce qu'il l'avait dévisagé, mais il se garde bien de trop y penser. Il n'oublie pourtant pas l'onde de chaleur qui lui a traversé le slip. Le lendemain, l'inconnu repasse rue de la gare et s'arrête devant lui. Le jeune garçon ressent une certaine émotion, l'homme n'est pas mal. Pour un client, il est relativement jeune, car il a un peu moins du double de son âge. Il est pour Philippe à la fois jeune et mûr, il a l'âge idéal des amitiés sécurisantes. L'homme demande à monter. Lorsqu'ils se retrouvent tous les deux dans la chambre, l'inconnu hésite, il regarde la pièce avec un certain dégoût. Les draps ne lui semblent pas très accueillants. Philippe, pour une fois se sent gêné et n'ose pas se déshabiller.

Il éprouve une certaine pudeur. L'homme ouvre lui-même la braguette et descend doucement le pantalon. Philippe sent dans ce mouvement délicat, une certaine volupté. L'homme regarde son sexe, passe la main dessus et dessous, ce qui fait immédiatement bander Philippe Ensuite il le décalotte et caresse longuement ses parties génitales. Le sexe de Philippe est en pleine forme. L 'homme ouvre lui-même la braguette et, montrant toute sa jeune vigueur et la mesure de ses possibilités. Philippe aime et il pousse quelques cris non feints. il se met à son aise en s'allongeant sur le lit, après avoir ôté tous ses vêtements. L'homme en profite pour l'inspecter de pied en cap, c'est nouveau pour Philippe. son corps semble devenir un objet de désir contenu, plus qu'un assouvissement de besoin physique. L'homme lui écarte les cuisses par une caresse mettant en valeur son jeune sexe long et étroit. Il recommence à passer sa main sur celui-ci. Philippe est sexuellement surexcité, et attend qu'il veuille bien le sucer ou à défaut le branler. Son client ne s'y résout pas. Philippe veut le déshabiller, l'homme le laisse faire. Il sort de son pantalon une grosse bite molle qu'il trouve chaude et généreuse. Comme elle est belle pense-t-il. après l'avoir caressé quelques instants, il la met dans sa bouche pour en sucer le gland. A son grand étonnement l'homme ne bande pas. Philippe se dévoue pour essayer de le faire éjaculer, mais c'est en vain. Quand il comprend la situation, il n'insiste pas afin d'éviter de gêner son client. Il se caresse lui-même en approchant son sexe le plus possible du visage de l'homme, comme une invitation aux plaisirs des sens de la vue de l'odorat et du goût. L'homme sourit mais ne réagit pas davantage.

Philippe doit conclure la séance en se branlant sans simuler, pour une fois, la jouissance. L'homme souhaite payer. Philippe ne lui demande que 20€ frs. estimant que la séance ne vaut pas plus. L'homme sort un billet de 200€, le met dans la poche du garçon.

RENDRE SERVICE :  LE TRAVAIL DE L'ESCORT

Ces instants ont procuré à Philippe du bonheur. Il sait confusément pourquoi. Pour la première fois il a ressenti une émotion mêlée de gentillesse et de plaisir. L'inconnu malgré son handicap lui a apporté plus de satisfactions que les autres clients. Il est jeune, beau et... de la capitale. C'est là aussi un avantage indéniable. Sauf avec son boucher, dont le type de prestation ne peut pas laisser libre cours à son imagination, les jours qui suivent, il pense souvent faire l'amour avec son parisien lorsqu'il est avec ses clients peu ragoûtants. Pendant tout un mois, il l'attend, mais ce dernier ne vient pas. Malgré ses efforts de mémoire, son souvenir se fait de plus en plus lointain. Rue de la gare, la vie a repris son triste train-train quotidien et Philippe vend toujours son arrière-train.

L'inconnu revient pourtant deux mois plus tard. Philippe, en le voyant sortir de la gare, a hésité, car il est encore loin. Mais la démarche est bien la même. Il vient vers lui. Philippe cherche à prendre une contenance désabusée pour calmer son émotion, mais son coeur bat à tout rompre. L'homme s'arrête devant lui et lui sourit. Philippe, de bonheur, a presque envie de lui dire que pour lui ce serait gratuit, mais il n'ose pas. Il prend quelques instants son client par la main et le conduit à la chambre. Philippe attend qu'il se déshabille. L'homme le prend dans ses bras et le serre fort. Philippe rend l'émotion qui l'étreint en enfouissant son visage dans la chemise de son nouvel ami.

L'homme le retourne et tout en continuant à le serrer très fort, le déshabille avec lenteur. Il enjoint Philippe, une fois nu, à se coucher. L'homme se déshabille à son tour et le rejoint. Ils passent une heure collés l'un contre l'autre à s'embrasser tendrement. Philippe veut de nouveau lui présenter son sexe, mais l'inconnu tout en le remerciant décline l'offre. Il n'est pas là pour avoir du sexe mais de la chaleur. Celui-ci regarde ensuite sa montre, se rhabille rapidement et laisse un autre billet de 200 euros . Par pudeur Philippe fait tout d'abord semblant de ne pas remarquer le geste de son client. Se ravisant, il lui dit, en montrant le billet, que ce n'est pas pour ça mais qu'il veut qu'il revienne très vite. L'inconnu sourit à nouveau et annonce son retour pour la semaine suivante. Une fois dans la rue, Philippe le voit s'éloigner vers la gare, ce qui l'étonne. L'homme a-t-il pris le train seulement pour le voir lui? De peur de le retrouver dans le hall, il attend une heure avant d'aller regarder les horaires. Ca correspond, il vient bien de Paris, deux heures aller, deux heures retour, pour passer une heure avec lui, Philippe se sent défaillir.

La semaine d'après, l'inconnu revient à la même heure. Philippe est mal à l'aise. Il ne se sent pas si important pour faire perdre tant de temps à un homme de cette qualité. Il faillit lui proposer de venir à lui à Paris, mais se retient, car où iraient-ils? Il n'en sait rien et ne veut pas entrer indûment dans la vie privée de cet homme. Ce jour-là, ils ont fait l'amour en ne faisant que s'embrasser.

Les semaines passent et Philippe essaye d'oublier sa gêne dans les bras de son ami. Celui-ci reste discret sur sa vie mais lui dit quand même qu'il s'appelle Bertrand. Philippe ne peut plus passer cette heure sans jouir tant son envie est forte. Bertrand n'accepte que de le caresser, il doit se finir seul, mais reste lié à Bertrand par leurs bouches dévorantes.

L'hiver est revenu et Bertrand ne vient plus qu'une fois sur deux et parfois une sur trois. Philippe passe ces jours solitaires seul à pleurer à gros sanglots dans sa petite chambre sombre. Il n'en a jamais voulu à cet homme de lui avoir fait connaître le bonheur, mais cette rencontre rend plus lourd le poids de ses malheurs. Une fois où Bertrand est revenu, Philippe refuse qu'il le quitte. Après un instant de réflexion, Bertrand lui dit que ses affaires le prennent trop à Paris pour qu'il puisse passer une longue après-midi à prendre le train. Mais il a pensé que peut-être, si Philippe le veut bien, il pourrait vivre avec lui à Paris. Bertrand ne sait pas combien Philippe gagne, mais il pourrait toujours lui verser une certaine somme mensuelle pour qu'il puisse faire ce qu'il veut. Philippe bondit de joie.

L'accord prend un certain temps à être conclu, car la mère s'est soudainement prise d'affection pour son fils et ne peut pas supporter l'idée de le savoir loin d'elle, et dame, il l'aide à vivre, la vie coûte cher de nos jours! Bertrand décide de verser une pension à cette veuve méritante, que le sort a injustement frappé et que les autorités publiques laissent sans ressources.

PARIS

Philippe vient s'installer chez Bertrand qui possède un superbe 200 mètres carrés sur l'une des avenues qui donne sur l'étoile. Bertrand oblige Philippe à s'instruire. Pendant trois années il lui donne des cours privés de lettres, d'histoire de l'art et d'anglais, les trois matières qui lui semblent les plus importantes pour posséder un peu plus qu'un vernis culturel. Il lui propose aussi le piano que Philippe n'ose refuser, celui-ci ne sait pas très bien comment on apprend à en jouer. Les débuts furent très lents et Philippe se concentre trop pour bien faire et souvent il souffre tant, que plusieurs fois il a pensé à rentrer chez lui. Mais Philippe est courageux et se fie à ses précepteurs privés et la cadence des cours augmente. Déjà au bout d'un an il quitte son air ignare. Bertrand l'inscrit dans un club pour qu'il se muscle. Une fois le corps et l'esprit nourris, il reste peu de place pour l'amour. Philippe et Bertrand dorment dans le même lit et s'enlacent tendrement jusqu'à ce que Philippe s'endorme épuisé.

Trois ans ont transformé ce jeune garçon de province qui ne connaît du monde que quelques rues pavées et les mentalités écoeurantes de ses concitoyens. Il est maintenant un jeune homme beau et raffiné. Son intelligence réelle peut enfin s'exprimer. Philippe aime réellement d'amour Bertrand et ne sait comment le remercier. Bientôt Bertrand lui propose de gagner beaucoup d'argent et facilement, Philippe pourrait alors le rembourser facilement de ses nombreuses dépenses. Philippe prit peur de devoir retourner sur le trottoir. A Paris, il l'imagine la vie plus dorée certes, mais la perspective de devoir y retourner l'effraye.

Ils ne peut pas faire autrement que de suivre Bertrand, sinon il lui faudrait pratiquement retourner rue de la gare. Bertrand le conduit peu après dans un superbe immeuble d'une rue perpendiculaire aux Champs-Élysées. Une femme les accueille et commence à discuter avec eux. L'esprit de Philippe vagabonde trop pour écouter la conversation. Des photos de superbes garçons décorent les murs de la pièce. L'entrevue se termine par un accord. Philippe viendra à l'agence dès le lundi suivant. Il pense qu'après tout ses nouveaux clients seront peut-être moins sales que ceux de sa province, peut-être fera-t-il aussi plus d'argent?

Le lundi matin, Bertrand conduit Philippe à l'agence. Il lui déclare que maintenant son emploi du temps sera plus libre puisqu'il est à ,la fin deson instruction. Il aura plus de temps pour penser à son corps et à l'amour. Philippe trouvera certainement dans ce lieu des hommes avec lesquels il pourra assouvir des besoins moins bridés. Philippe en veut à Bertrand de prendre d'étranges circonvolutions pour lui annoncer qu'il devait reprendre son ancien métier. Il lui fait la tête et le quitte sans le saluer. Arrivé à la porte de l'agence, il voit un panneau auquel il n'avait pas fait attention la semaine précédente: "Handsome, agence de mannequins". Philippe se fait rapidement expliquer en quoi consiste son nouveau job. Il n'avait jamais réfléchi à l'existence possible d'un tel métier. Rassuré, ivre de bonheur, le soir il fait une telle fête à Bertrand qu'il le viole presque, du moins il essaye de le faire jouir de toutes ses forces. Il s'imagine qu'un jour pareil rien ne pourrait lui résister. Philippe échoue, mais cela n'entame pas sa bonne humeur.

Comme l'a prédit Bertrand, Philippe trouve bientôt à l'agence un jeune mannequin qui lui donne les plaisirs sexuels qu'il ne peut avoir avec lui. Philippe ne s'en sent pas coupable tellement Bertrand a insisté sur le caractère salutaire d'un tel événement. Il souhaite simplement que son amant vienne habiter chez lui car il ne veut pas se retrouver seul. Philippe n'a nullement l'intention de l'abandonner même s'il gagne maintenant de quoi vivre largement de ses propres revenus. Karl, allemand et blond est venu habiter chez eux. La situation l'agrée pleinement car il débute, il n'a pas d'argent et est bien content de trouver un si bel appartement à deux pas de l'agence. Karl est blond, si blond, que ses sourcils ne se voient presque pas. Il a une tête ronde et une mâchoire forte qui ajoute beaucoup à son charme. Il a un corps plus massif que celui de Philippe, il est légèrement moins bien bâti, mais il le bat sur la largeur d'épaules.

Philippe couche avec Karl durant la journée en attendant que l'agence téléphone pour leur donner leurs rendez-vous. Il le fait en l'absence de Bertrand, par pudeur et aussi parce qu'il a plus de temps à ce moment-là. Ses nuits il préfère les passer avec Bertrand et le corps à corps qu'ils ont ne diminue pas d'intensité. Philippe et Karl ne s'embrassent jamais en présence de Bertrand, bien que celui-ci leur ait demandé d'être naturels.

UNE ESTHETIQUE TOUTE EN DOUCEUR ET NUANCES

Le jour de l'anniversaire de Bertrand, Philippe souhaite lui faire le plus beau cadeau possible. Il écarte les montres et les autres bijoux précieux. Il écarte les voyages lointains qui lui semblent être devenus peu originaux. Il trouve une idée simple, elle est risquée mais vaut le coup qu'on la tente. Le soir même, Philippe annonce à Bertrand que Karl a dû partir précipitamment faire des photos sur la côte d'azur, ils restent tous les deux seuls. Philippe s'est fait livrer par un traiteur un dîner aux chandelles. Le repas est agréable. A la fin, Philippe déclare qu'il allait lui faire une surprise, mais que Bertrand doit pour cela se laisser conduire les yeux bandés dans sa chambre. Celui-ci se laisse faire et doit s'asseoir sur le fauteuil faisant face au lit. Lorsqu'il reçoit l'autorisation d'enlever le bandeau, il voit Karl et Philippe s'embrasser, nus sur un lit découvert.

Karl possède, comme son corps l'a laissé entrevoir, un superbe sexe. Il est si pâle pourtant qu'on ne le voit que dans certaines positions, lorsqu'il ressort sur les draps bordeaux et non sur son propre corps. La chair de son gland énorme est d'un rose laiteux comme le reste de sa peau. Nu, Karl ressemble à un gros bébé qu'on voudrait prendre dans ses bras. Il est d'ailleurs ce gros bébé. Son corps rond musclé ressemble à celui potelé d'un très jeune enfant. Les poils incolores de son sexe disparaissent et ne laissent voir que sa jeune chair rose. Philippe, à 22 ans, est son aîné de deux ans et a un réel ascendant sur lui. Karl n'a d'ailleurs pas une très forte personnalité et fait généralement ce qu'on lui dit de faire. Philippe a pensé offrir à Bertrand un spectacle que celui-ci pourrait apprécier en tant que témoin à défaut de pouvoir en être acteur. Philippe prend toutes les initiatives, il règle la mise en scène pour que son ami puisse tout apprécier. Lorsqu'il écarte de ses doigts l'anus de Karl, il lui montre combien ce dernier est propre et frais. Comme le reste du corps, la muqueuse est rose pâle. Philippe plaque dessus son gland mauve. Ce dernier qui ressort particulièrement bien sur la chair du bel allemand, s'enfonce tendrement. Il fait l'amour à Karl si fort que les deux garçons s'envolent ensemble sous les rebonds du matelas.

Tous les deux sont rapidement en nage et leurs corps glissent l'un sur l'autre jusqu'à la fin de leurs ébats. Bertrand ne sait pas qui jouit le plus fort. Le spectacle n'est pas terminé sans que Karl transforme son sexe en une fontaine généreuse sous les coups de langue de Philippe. Ce soir là, Bertrand résiste difficilement à l'envie de voir de plus près cet énorme gland.

 

EPILOGUE

Depuis cette soirée, il arrive fréquemment que Karl passe la nuit avec les deux hommes et se fasse caresser par eux deux. Philippe s'est mis à gagner rapidement plus d'argent que Bertrand et souhaite le rembourser si ce dernier peut évaluer le prix de la transformation aussi radicale de sa vie. Bertrand n'a pas besoin d'argent, il demande simplement à Philippe de payer le restaurant quand les deux ou trois sortent dîner dehors. Ainsi le "gigolo" prend l'addition et paye pour son "entreteneur" et Bertrand apprécie.

FIN

Texte sélectionné pour le blog, paru le 1998-10-03 par Pedro

 

Ce récit a été expédié par l'auteur pour sa publication sur l'archive de gai-eros 

 

 

 

 

 

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Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 02:06

Cherchant à distraire Lucas de son déracinement, nos amis, Charles, Marcel, le vieux couple, Lucas passent la soirée au "Dépôt"

 

...au sous-sol

Charles m'a donné du gel et des capotes.

— Là-bas! fais gaffe! - s'est-il contenté de me dire.

Ils m'ont suivi un peu sur la piste. Il y avait quelques autres mecs vieux. Mais mes amis c'était les mieux. Ils s'étaient habillés moderne et ne dénotaient pas du tout. C'était marrant de ne voir que des mecs danser! des mecs complètement excités, au look pas possible! Je me suis fait draguer par un beur pas mal du tout, Farid en mieux. Il s'appelait Kamel. Il a compris que j'étais un bleu dans cette boîte et il m'a fait visiter après m'avoir offert un coca au bar. Naturellement cette visite s'est terminée au sous-sol au hammam.

 

On a retrouvé un pote à lui allongé sur un matelas dans une piaule, un blond avec une queue de cheval. Quand je dis ça, c'est que l'élastique de ses cheveux était tout ce qu'il lui restait de vêtement. Il avait un beau cul et une queue très longue.

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On s'est tous trois roulés des patins et Kamel après m'avoir bien peloté m'a déshabillé. Il s'est foutu à poil aussi. Il avait une sacrée grosse bite! J'avais vachement envie de le sucer et me faire prendre! Le blond aussi! Je les ai sucé tous les deux. Kamel m'a pompé aussi pendant que le blond me léchait le cul! Après j'ai enfilé le blond pendant que le beur me prenait! Je n'ai pas oublié les capotes! Quel pied j'ai pris! Ensuite, je suis remonté voir mes amis!

— T'as l'air de t'amuser! m'a dit Marcel. T'aurais pas été faire un tour en bas?

J'ai passé un moment avec mes amis en sirotant du champagne. J'ai vu Kamel sur la piste et j'y suis retourné. Kamel était torse nu, la braguette ouverte sur son ventre plat. On voyait le début de ses poils. Il n'arrêtait pas de me frotter. J'étais super en forme et on est redescendu au sous-sol... Là, je me suis payé un Black, une première!

J'ai dormi longtemps le lendemain. L'après-midi, allongé dans un transat au bord de la piscine, j'ai pensé à Manu et aux autres et j'ai eu un petit cafard.

Le soir, Charles et Marcel m'ont invité dans un beau resto du Marais. Il y avait plein de mecs, des couples surtout même des jeunes qui avaient l'air amoureux et j'ai retrouvé le moral.


Extrait, pour mon plaisir personnel, de Gai-eros "Chroniques des Forests ou le Monde de Lucas"

 

En marge, Black Blanc, Beur, Pierre et Gilles : "VIVE LA FRANCE":

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